mercredi 14 septembre 2011

Ce soir la à GAZA

affiché par Marna Silvana mardi 13 Septembre
Traduction par Erminia Scaglione

Ce soir la à GAZA, cher, cher Viittorio, mon ami, mon fils, est ce que tu te souviens de la nuit où je t'ai rencontré?  dans la pauvre et nue petite salle, avec le sol en granit, où nous avions établis des matelas pour dormir nous de la mission:
Nous étions arrivés la ba, à Gaza, après un voyage de deux jours, pleins de crainte qu'il recommençait à pleuvoir des bombes israéliennes…
Tu entras par la porte, je me tournai , les autres alors vinrent vers toi pour t'embrasser en souriant et après se tournant vers moi ils nous présentèrent:
- C'est Renza, une infirmière elle est venue ici pour nous aider… Vittorio elle est Renza… -
Je te regardait en te serrant la main perplexe, et je demandai:
- Mais tu es qui? -
Les autres se tournaient en me regardant étonnés, mais comment c'était possible qui j'ignorai qui étais tu? Comment c'était possible?
Tout le monde savait qui était … Vittorio… Qui? Arrigoni.
je me sentis émbarassée. Mais pourtant je venais de mon hôpital italien dans la vielle Florence, toujours entre douleur et souffrance, 
QU'EST-CE QUE TU VEUX QUE JE EN SAVAIS QU'EST-CE QUE SE PASSAIT EN… PALESTINE?
Au contraire pour moi comme pour beaucoup de gents,
Palestine était synonyme d'Israel. ( Combien des choses j'ai appris parmi toi, depuis ces temps!!! )
Alors mon cher Vittorio, te souviens tu quand à ce point les amis présents, en riant me demandaient: - Mais comment est possible qui tu ne connais pas Vittorio…??? Essaye tu de deviner… -
Bon, deux seconds pour en penser je l'ai prix mais la seule chose qui j'ai pensé de dire a été…
j'ai éclaté : - T' a dit Arrigoni? Peut être celui ci des tomates pelée en boite?-
Il fut ainsi que je vis ta déception masquée d'un sourire…
Et j'ai compris d'avoir dit une bêtise. Pourtant tous les autres se pliaient du rire.
Et après ce moment ils s'engagèrent à diminuer mon ignorance historique et politique.
À ça tu a contribué chaque jour passé ensemble dans les routes martyrisées de "ta" Gaza.
Et chaque soir, lorsque nous revenaient fatigués dans ces petites salles et nous partageons nôtres pensées, nos expériences, tu avec ton féroce mal au dos.
Te souviens tu quand tu a découvert de pouvoir bénéficier des mes massages professionnels?… - Oui je t'ai dit, je suis aussi un phytothérapeute et diplômée -
Oh combine t'a été content, à la fin du massage tu te sentis de nouveau en forme et  tu ne finis plus de me remercier… Le résultat fut  que autour de nous il commençait à se former une quelque comme celle ci du Bureau de Poste: Tout le monde avait un douleur où une "contracture"…
Donc toutes les soirs en recomptant les bombes, je prodiguai mes soins phytothérapeute.
Mon cher Vittorio, il me reste de toi un doux souvenir avec ce petite poupée qui tu m'a donnée," Ce petit enfant avec les mains serré derrière le dos, qui tourne les épaules au monde entier… Exactement dans la façon dans la quelle le monde entier tourne les épaules aux enfant de Palestine"… ( Handala)
Un symbole de ta Palestine.
De cette façon tu m'ai expliqué et enseigné, moi une pauvre ignorant occidentale, la quelle est la vrai humanité.
Pas la mienne dispersée entre les blancs lits d'un moderne hôpital…
Mais plutôt l'humanité d'un jeun homme, de l'âge de mon fils, qui a su aimer inconditionnellement, plus que soi même, jusqu'à donner sa propre vie, aux plus martyrisés fils… d'un Allah mineur.
Merci Vittorio.
Merci à ta mère aussi, qui a su créer un fils diffèrent des autres et spécial, presque unique.
Merci à toi, jeune homme extraordinaire, qui a voulu donner pour l'éternité ses rêves au vent du désert de Gaza, ce vent qui ne manque jamais de pousser les nuages au-delà des limites de la liberté.
Et lorsque les mouettes écrasés des bombes recommencent à voler…
Ils accompagneront tes idées et ton âme là-haut au-delà de chaque méchanceté humaine.
Au delà de chaque cruelle souffrance.
La où peut être, tu trouvera un monde juste…
Nous ne t'oublierons jamais de la vie.



Témoignage écrit de Renza Martini le 15 avril 2011


Image en haut: illustration de Erminia Scaglione

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