vendredi 6 janvier 2012

VITTORIO,déception pour le développement du procès

La procédure qui avait promis vérité et justice semble s'enliser rapidement. De nouveaux détails émergent par les aveux des accusés Vittorio été traqué pendant deux mois. A le tuer ils ont étés trois personnes.

MICHELE GIORGIO

Gaza, 06 Janvier 2012, Nena News -

Il y a une limite à la compréhension des problèmes et des difficultés que dans la bande de Gaza traverse le système judiciaire. Il est inacceptable ce qui s'est passé hier à la Cour militaire de la Bande, où pendant quatre mois est en cours le procès aux accusés pour l'enlèvement et l'assassinat de Vittorio Arrigoni accomplis à Gaza cet avril dernier par une auto-proclamé cellule salafiste.

Des rumeurs ont annoncé une séance d'une importance particulière. Donc, nous espérions de voir une véritable épreuve et un débat réel, au sujet des raisons pour lesquelles a été commis un enlèvement et un assassinat qui ont généré une grande indignation dans la bande de Gaza et en Italie. Vittorio était un ami des Palestiniens, il avait entrepris de diffuser des informations détaillées sur la situation de Gaza et de chercher de protéger et , avec sa présence dans les zones à risque, les agriculteurs et les pêcheurs (les gents plus touchés par mesures de restriction appliquées aux autorités de Gaza , par l'armée israélienne). Mais les choses d'hier sont allées dans le sens inverse de ce qu'on espérait. La dernière séance a été la plus courte des neuf qui ont eu lieu depuis l'8 Septembre à ce jour et aussi le plus inutile et,à certains égards, aussi la plus paradoxale.
La première surprise est venu par Abu Amr Ghoula un des quatre accusés, en résidence surveillée, car il est accusé des infractions mineures. Abou Ghoula hier il ne s'est fait pas trouver dans la cage des accusés, en violation de l'ordre de comparaître à l'audience. Le tribunal, après avoir enregistrée son absence, il a immédiatement émis un mandat d'arrestation, mais jusqu'à hier soir au sujet de Abou Ghoula on ne savais rien. La deuxième surprise a été la rapidité avec laquelle le même tribunal, après avoir appris que la défense n'avait pas reçu certains documents relatifs aux éléments de preuve produite par le bureau du procureur militaire, a ajourné le procès au 16 Janvier. De quatre à cinq minutes en tout, il est temps de l'audience. Bon tout ça c'est inacceptable.


En Septembre, le procureur avait parlé d'un calendrier serré pour la réalisation du procès en pleine conformité avec, bien sûr, des droits des accusés et de toutes les parties impliquées.Sans parler des assurances données à la famille Arrigoni à l'Italie par Ghazi Hamad, ministre adjoint des Affaires étrangères du gouvernement du Hamas. Mais les mois qui sont déjà passées sont quatre et neuf sont les auditions qui n'ont pas étés suffisantes pour aller à lasubstance d'une un assassinat que le mois d'avril dernier a fait parler de soi le monde entier. Il s'agit d'un affront à notre avis, à la famille Arrigoni qui a également choisi la confidentialité, en évitant de commenter publiquement au sujet de l'enquête et du procès. Sans oublier que Egidia Beretta et Alessandra Arrigoni, la mère et la soeur de Vittorio, le mois dernier,en répondant à un appel lancé par proches des accusés, avaient ouvertement exprimé leuropposition à une possible condamnation à mort (dont on est certains à Gaza).

Egidia Beretta et Alessandra Arrigoni cependant, elles avaient également demandé justice et clarté au sujet d'un crime qui se révèle chaque fois terrible pendant qu'ils ressortent des nouveaux détails par les aveux faits par les accusés (qui maintenant n'affirment plus de les avoir signés sous la pression). Une source journalistique de Gaza a livré au journal Il Manifesto les textes des aveux de deux des accusés, Mahmoud Salfiti et Khader Ijram, qui ajoutent des détails importants à des faits déjà connus. Ijram - pompier à la gare de la défense civile située en face du bâtiment où Victor avait vécu pendant une longue période - a fourni pendant deux mois des informations détaillées à la (présumée) cellule salafiste au sujet des mouvements du militant italien. Aux enquêteurs, il a expliqué candidement que «il n'a pas eu la force de dire non» à son ami, Tamer Hasasnah un des accusés, et selon ce qui est émergé celui qui a été jugé responsable de l'organisation technique de l'enlèvement. Plus important encore sont les aveux de Mahmoud Salfiti. Qui en répondant aux questions de la police après son arrestation, Salfiti a dit que tous les membres de la cellule avaient accepté sans hésitation, la décision prise par le «chef», Le jeune jordanien Abdel Rahman Breizat (qui a été tué avec le palestinien Bilal Omari dans une fusillade avec la police du Hamas), "d' éliminer l'otage" en face au refus par le gouvernement de Gaza de libérer le cheikh salafiste al Maqdissi qu'ils voulaient échanger avec Vittorio. Salfiti a également dit aux enquêteurs qu'ils sont étés trois entre eux à tuerl'italien et pas seulement Breizat comme, cependant, au debut on avait appris . La décision de ne respecter pas l'ultimatum et de tuer l'otage, afin de s'échapper, a été prise par Breizat mais toujours avec le consentement plein et a convaincu des autres membres de la cellule. Reste valide, toutefois l'hypothèse que l Jordanien ait réalisée des instructions d'un diecteur, par l'extérieur décidé de réduire au silence une voix désagréable. 


source: Nena News

Aspettando l'articolo del Manifesto da tradurre...

Sto aspettando l'articolo del Manifesto da tradurre… Senza speranze, nonostante l'annuncio roboante di rivelazioni inedite degli assassini, so dai resoconti di Rosa Schiano e dall'articolo di Nena-News che si è trattata della solita macchietta di cinque minuti di udienza, in cui gli accusati o i testimoni non si presentano in aula, uno dei primi addirittura a piede libero, le carte non ci sono o non vengono consegnate in tempo tecnico alle parti, un colpo di martello sul banco e via… ancora si rimanda a Gaza. Si rimanda non una sentenza, ma si rimanda un udienza processuale, in cui si dovrebbe per ambito specifico, soltanto indagare sui fatti e cercare di motivare attraverso la ricerca di un movente un crimine barbaro, su una delle persone a cui tanti troppi hanno voluto bene, perché con un impegno sociale coraggioso e senza ripensamenti, se lo è davvero meritato. E invece niente, dopo nove mesi ancora niente, un papocchietto in aula dopo l'altro e poi il silenzio. Già il silenzio… Un silenzio che è un cazzotto nello stomaco dopo l'altro per chi lo ha amato, conosciuto, apprezzato e seguito, per chi di Vittorio era un amico, perché anche questo Vik aveva come dote, sapeva dare di se indistintamente a tutti, non solo ai palestinesi. Faceva sentire il suo calore umano a chiunque avesse la fortuna di mettersi in relazione con lui e con il suo cuore generoso. Motivava la gente, il suo esempio e parlo dell'interezza della sua persona, perché includo anche l'ambito della sua capacità di comunicare, dava spunto per un coinvolgimento non solo nel destino di questo popolo martoriato, ma di tutti i popoli o meglio gli esseri umani martoriati e sofferenti del pianeta. Non a caso la gente che componeva la rete dei suoi contatti era stranamente eterogenea in senso di appartenenza ideologica e culturale. E' vero anche che smuoveva critiche rabbiose, ma quelle al contrario del suo pubblico, rivelavano testé la loro connotazione ideologica e dimostravano il disturbo mediatico che una voce così chiara e limpida può dare a chi è deciso a mantenere lo status quo a qualunque costo, profittando dell'ingiustizia più totale. E qui che queste critiche cadevano e che risultavano zoppe, nel non riuscire a nascondere la loro matrice… Ce ne sono state tante, oserei dire troppe ed ignobili, ma non hanno fatto altro che rafforzare l'immagine di questo nocchiero solitario del bene che si scagliava sulla sua barchetta contro titani, senza nessuna paura e con la sola arma della sua coscienza limpida di idealista d'altri tempi. Non so chi ci ha tolto Vittorio, o almeno si, so chi sono gli assassini, ma non so perché e non lo so perché questa corte militare si sta comportando in ambito processuale in maniera ignobile oserei suggerire mafiosa … Così come è mafioso l'atteggiamento del nostro governo, che dovrebbe anche a dispetto delle proprie posizioni politiche a riguardo, prendere provvedimenti ed immediatamente a questo punto per intimare che si faccia chiarezza sulla sua morte e non perché è Vittorio, ma perché Vittorio è un cittadino italiano…  Ma nessuno dice niente, chiede niente neanche a casa nostra, silenzio assoluto, silenzio amaro e silenzio altrettanto criminale di chi ce lo ha tolto, rubandogli la vita. E quindi mafiosi, onerosi e schiavi del sistema siamo anche noi se non cominciamo a parlarne…
Vorrei dire qualcosa di più diretto, ma non lo faccio perché dovrei sparare a zero su tanti dei nostri anche  ed andare nello specifico e non interessandomi affatto una rissa da 4 soldi, come quelle a cui spesso ho assistito, taccio... C'è una rete di complicità in questo silenzio, non solo nazionale, ma internazionale, si ha paura che lo scomodare persone sminuisca la causa, ma è il contrario invece. Chi ci tiene e veramente non può non tuonare contro questo stato di cose, con Vik è morta una speranza dei Palestinesi e cioè quella di avere qualcuno vicino a loro come esseri umani, qualcuno che si preoccupava di portare alla luce le loro istanze, senza per altro avere l'esigenza di mettersi un un etichetta, un marchio di fabbrica che ne definisse l'appartenenza. Vittorio è stato grande soprattutto per questa sua spontaneità che si è tradotta nel suo semplice appello ad un'empatia umana nel rapportarsi al problema Palestina, proprio perché lui questo appello lo faceva, da essere umano puro e semplice . La verità dei sentimenti e degli ideali, sconcerta i potenti, piccoli o grandi del mondo che siano, perché li obbliga a guardarsi dentro ed a misurarsi con piccole persone, di ben più alto livello morale ed il confrontarsi con loro, sparendo come corpuscoli in questo confronto. Ecco perché questo apparato cerca nel rallentare ed ostacolare la ricerca della verità, di arrivare al silenzio, perché Vittorio li fa svanire anche dopo morto, davanti a lui, un puro, chiunque di loro e parlo anche di gente che è  coinvolta nella causa, fa ribrezzo. Scusate lo sfogo ma in questi giorni ricorre la morte di Impastato che è un altro di quei personaggi che per molti versi a Vittorio mi rimanda per una serie infinita di istintive analogie e correlazioni, soprattutto mettendo in relazione gli ambiti in cui si muovevano entrambi, apparati corrotti ed immorali contro cui hanno lottato, con il potere immenso e temibile della parola…

mercredi 4 janvier 2012

Syrie : invasion des éléments terroristes parrainé par l'ouest


Points névralgiques et incidents- Le Terrorisme
31.12.2011

Un Official des services secrets des États-Unis est le véritable chef de file de le « armée syrienne libre »
Le parti des frères musulmans, lance un appel pour une intervention militaire...Contre la Syrie, la Turquie a une milice formée par les États-Unis. Le journal égyptien al-Arabi a dit vendredi que un colonel provenant d'États-Unis au nom de Cleveland est entrain de superviser les activités de formation et d'armement et qu'il est le véritable leader de le « armée syrienne de libre ». La publication affirme que Cleveland est entrain de se déplacer entre les champs de la formation de son organisation. Le colonel qui est chargé de la création d'une armée composée d'hommes armés opposés au gouvernement syrien, appelée « Armée syrienne libre », dit que les États-Unis ont créé des bases de formation en Turquie au nord, à l'est du Liban et à Arbil en Irak.
Le parti des Frères Musulmans, qui exige l'intervention militaire de la Turquie contre la Syrie, a une milice formée par les États-Unis et leurs services de renseignement. Ils sont aussi entrain de leurs fournir soit des données et soit des équipements techniques.
Le journal a ajouté que les services secrets qui font de financement et qui armeent les mercenaires pour combattre l'armée de la Syrie exigent que tous les groupes armés se donnent le nom d'« armée libre ».
Les membres des frères musulmans ont également admis d'être à l'origine des manifestations dans la province de Daraa, dans le sud et de Jisr al-Shughour dans le Nord, et qu'ils ont l'intention de former des zones tampon comme un prologue à l'intervention militaire. Cet article témoigne que la page « Révolution syrienne » sur Facebook est gérée par un réseau d'intelligence de Bruxelles qui a été formé avant même de ceux événements en Syrie.

Lisa Karpova
Pravda.Ru

traduction: E.Scaglione
http://english.pravda.ru/hotspots/terror/31-12-2011/120128-Syria_invasion_of_terrorist_elements-0/

Ascoltare il nostro connazionale Salah Hamouri ci spinge al massimo rispetto.

Noi, francesi, possono essere orgogliosi del nostro connazionale Salah Hamouri quando lo si ascolta  parlare: la morigeratezza e la calma di quest'uomo che ha subito e subito ancora la più totale ingiustizia ci forza al massimo rispetto.  Questa intervista ci fornisce anche  informazioni sulle condizioni di non-vita nelle prigioni del razzista dello stato di Israele.  Non posso non  fare una nota sul fatto che Salah parla francese con l'accento di lì, a differenza di soldato dell'esercito israeliano razzista e impostore che intendeva imporsi su di noi come connazionale senza essere in grado di articolare neanche una parola nella nostra lingua .  Non posso che provare vergogna per le istituzioni francesi  (ed i grandi partiti UMP e PS) acquistati da Israele e che difendono criminali israeliani piuttosto che dei francesi attaccati e imprigionati da Israele (Salah, ma anche diversi giornalisti francesi e diversi attivisti francesi che sono stati arrestati, imprigionati o feriti dai soldati israeliani senza che le corrotte autorità intervenissero minimamente).


source: Ecouter notre compatriote Salah Hamouri force le respect


Ecco l'intervista tradotta di Salah e sotto-titolata in italiano




Les marionnettes de Rothschild déstabilisent la Syrie

Exactement comme nous l'avons vu arriver en Libye, les terroristes sont marquées avec le nom de « forces de l'opposition » par les médias occidentaux ; et se défendre contre un terroriste est considéré comme une violation des « droits de l'homme »

Depuis que la déstabilisation de la Syrie a commencé il y a environ neuf mois, la couverture médiatique occidentale a souligné seulement manifestations « pacifiques » contre le Président Bachar al-Assad, ainsi que ceux qui ont été victimes de son régime. Les sources de ces allégations sont anonymes ou liés à l'argent des États-Unis et en Grande-Bretagne. On parlait très peu au contraire de la violence perpétrée par les forces de l'opposition comme la libre de l'armée syrienne en Syrie. Même les griefs pro-Assad ont été ignorées.
Dans le mois de novembre, Abdulhakim Belhadj, l'ancien dirigeant du Libyan Islamic Fighting groupe islamique combattant qui a contribué à renverser Mouammar Kadhafi, a rencontré, en Turquie, les dirigeants de l'armée syrienne libre en s'accordant sur le fait d'envoyer des combattants libyens pour former des troupes syriennes. Les nouvelles autorités libyennes avaient déjà offert de l'argent et des armes à feu en alimentant la grandissante insurrection contre Bachar al-Assad.
Le groupe libyen de combats islamique (LIFG) a été formé et armé par l'OTAN. Ils sont liés à Al-Qaïda qui opère dans le cadre de la CIA. Il n'y a aucun doute qu'ils utilisaient un faux drapeau attaque contre le peuple syrien. Ils sont commises des atrocités donnant ensuite la faute à Assad. Assad, affirme que les militants islamistes de l'étranger sont la véritable source de troubles et qu'ils ont tué environ 2 000 de ses hommes.
Le Washington Post a révélé que le "armée syrienne libre ' (FSA) dans les dernières semaines a grossis les rangs de son armée, en encouragent les soldats à changer de camp de la tranchée. Bien que leur nombre n'est pas connu, nous savons qu'ils sont dirigés par le Colonel Riyad al-Assad, un ancien Colonel dans l'armée de l'Air syrienne qui a fait défection en juin. Depuis ce temps, l'armée a toujours utilisé des tactiques de guérilla pour lutter contre les forces gouvernementales, en complétant des attaques rapides ou en mettant des bombes à bord des autobus ».
Toutes les fonctionnalités sont adaptées au modèle des opérations spéciales de l'Ouest et il est également vrai que il s'agit de terrorisme. Aider ces terroristes est un acte de guerre. Exactement comme nous l'avons vu arriver en Libye, les terroristes sont marquées avec le nom de « forces de l'opposition » par les médias occidentaux ; se défendre contre un terroriste est considéré comme une violation des « droits de l'homme ».
Récemment, la Ligue arabe a envoyé un petit groupe d'observateurs en Syrie pour vérifier si le Président Bachar al-Assad maintient sa promesse de mettre fin à la répression de la révolte contre son gouvernement. Les observateurs ont noté que la violence a été seulement renforcée par leur venue.
Compte tenu de la flagrante psy-op qui est déjà en place, la Mission des observateurs semble avoir des fins comme bouts:
1) Legitimer futures sanctions économiques contre la Syrie par l'étranger en condamnant Assad indépendamment de son comportement.
2) éventuellement surveiller une zone tampon qui permettrait des grandes expéditions d'armes et de munitions dans les zones contrôlées par les rebelles. Les expéditions, naturellement, arriveraient sous forme d'aides « humanitaires », comme nous l'avons deja vu en Libye.

L'idée de la Ligue arabe qui surveille une zone tampon a été suggérée auparavant par les terroristes.
Les groupes d'opposition principale ont signé un Pacte dans lequel « ils refusent n'importe la quelle action militaire qui puisse faire tort à la souveraineté ou la stabilité du pays, toutefois l'intervention arabe n'est pas considérée comme étrangère ».

Donc, violer la souveraineté de la Syrie semble bonne chose si à le faire ce sont des arabes déjà financés par l'Ouest.

Aussi, l'idée que la Ligue arabe aurait dans quelque sorte offrir une évaluation objective du régime Assad est une mascarade.

L'organisation a des registres où condamne n'importe quel pays qui se refuse d'accorder sa souveraineté aux intérêts étrangers. Ses membres ont été soigneusement contrôlées à l'avance. Tout ce qui est évidemment essentiel pour établir une dictature des multinationales (mondialiste) à la quelle jusqu'à présent, la Syrie a été un obstacle.

source: http://www.informarexresistere.fr/2012/01/03/le-marionette-dei-rothschild-destabilizzano-la-siria/#axzz1iQUWeew1

Changement de Obama : de l'enlèvement et la torture jusqu'à l'assassinat


La promesse de la la chute des politiques pure et dure de stratégie de la terreur de son prédécesseur, qui a aidé Barack Obama à gagner l'élection présidentielle, est apparemment hors de la table. La réalité politique, c'est que l'administration actuelle fait tout à fait la chose opposée. Longtemps avant de devenir président des États-Unis ou de gagner un prix de la paix Nobel, Barack Obama était un professeur de droit constitutionnel. Sa campagne électorale promettait d'inverser les abus et la politique de son prédécesseur George W. Bush.
Trois ans plus tard, de nombreux défenseurs de droits civiques, qui une fois avaient applaudi "yes, we can", se sont trouvés déçus. « Pas seulement l'administration Obama a bloqué la responsabilisation de la torture et a refusé de l'enquêter et de la poursuivre en justice. Il a maintenu essentiellement le concept de détention indéfinie. Il a ressuscité des commissions militaires. Et aussi, il a élargi les meurtres ciblés – ils ont augmenté sous le régime de la tubulure de gestion de Obama, et il a même autorisé l'assassinat d'un citoyen américain,"explique Maria LaHood au Center for Constitutional Rights.

 L'auteur de renommée dans le monde et érudit Noam Chomsky estime que l'administration Obama a changé les engrenages et accéléré des pratiques illégales dans une vitesse surmultipliée.

« Il y a un décalage entre les politiques de Bush et de l'Obama sur ça. La politique de Bush était kidnapper des personnes, de leur porter à Guantanamo ou à Bagram ou dans quelque autre chambre de torture et de tenter d'extraire des informations. La politique de Obama est juste de les tuer. Ils vous tuer partout dans le monde. Et l'assassinat de Ben Laden a été un point de l'affaire, il a dit RT.

Un autre a été le drone qui a assassiné d'Anwar al-Awlaki, un ecclésiastique né aux États-Unis. Le président Obama a décrit l'homme comme « le chef des opérations extérieures d'Al-Qaida dans la péninsule arabique. »
À part ceux deux ils Y sont des centaines en plus tués par les drones d'USA. Le nombre des attaques par les drone pendant les deux premières années sou Obama a dépassé le total effectué pendant les 10 ans de Bush.

« Si un président McCain aurait fait la même chose exactement que le président Obama est entrain de faire, il aurait été dénoncé par beaucoup de libéraux. Il est un de ces moments dangereuses dans l'histoire des États-Unis. Nous l'avons vu un peu avec Clinton dans les années 1990, quand un démocrate à fait sa campagne et s'est engagés à changer le pays et le monde a poussé actuellement par conséquence l'ordre du jour de la droite avant qu'un républicain pourrait avoir si ils auraient pris le pouvoir,", dit le journaliste basé à New York et auteur Jeremy Scahill. Car Obama se prépare à sa campagne de réélection, les groupes des libertés civiles qui croyaient dans ses mots la première fois ils l'ont maintenant quittés pour juger le commandant en chef au sujet ses actions.

« Les guerres des États-Unis sont des formes de terreur absolue »Sara Flounders, du International Action Center dit à RT que le nouveau projet de loi viole les bases des droits démocratiques que les États-Unis prétendent de lutter pour le monde entier.

« Il y a la menace de la détention de masse sans jugement, sans frais, en étant détenu par l'armée américaine, qui auparavant ne pouvait pas légalement
s' appliquer au sein des États-Unis, mais seulement dans le monde. »

Les USA revendiquent ça et parlent pour la démocratie et droits de l'homme dans le monde entier, mais en réalité les guerres des États-Unis sont des formes de terreur absolue.

« Il n'y a pas d'autre moyen d'expliquer la détention illégale secrète, la torture, les enlèvements, les assassinats ciblés, des attaques de drones sur les pays avec lesquels les Etats-Unis ne sont pas même dans une guerre déclarée, » elle croit, en ajoutant que cela arrive à un moment de nouvelles émeutes dans les États-Unis.

« Il arrive à un moment où il y a eu un mouvement de masse –– Occupy Wall Street – dans plus d'une centaine de villes à travers le pays, et chacun de ces mouvements d'occupation a été arrêté illégalement par la police ».

Flounders souligne que le président Obama a brisé les promesses qu'il fit, comme celle de fermer Guantanamo et s'est transformé pour être encore plus réactionnaire, en promettant et en élargissant l'ordre du jour des États-Unis. à l'étranger « contre les droits de travailleurs des gens d'ici chez soi. »

« Et tout cela est dans un période de grande crise économique et les misère pour des millions de personnes ici, une énorme crise capitaliste de l'économie », a souligné l'analyste.

source: https://www.rt.com/news/obama-torture-change-killing-103/