6 heures du matin heures locale de jeudi , il a commencé le cessez-le-feu exigé par le plan Annan en Syrie.
Une situation stable et villes paisibles, mais les terroristes opposés à El-Assad ne se sont pas arrêtée. À Alep, en fait, un bus militaire et a été fait sauter et il est mort d'un officier syrien tandis que des autres 24 soldats ont été blessés.
Donc une provocation flagrante, comme pour dire à El-Assad que le cessez-le-feu doit arrêter seulement ses défenses mais pas la fureur des terroristes.
Mais, alors qu'en Syrie, la situation était calme et le seul incident de violence a été, entre autres, contre les forces gouvernementales, les pays occidentaux ont commencé à menacer.
Au sommet du G8 à Washington, la Clinton et William Hague ont commencé à dire que si le cessez-le-feu ne fonctionnera pas ils reprendront à soutenir l'appui de l'opposition armée.
Pendant ce temps, le chef du soi-disant Conseil National Syrien, a incité par les médias occidentaux le peuple syrien à des manifestations contre le gouvernement. En effet, une autre manière de saboter le plan Annan et e créer des affrontements.
Il l'a noté également l'Ambassadeur de Russie à l'Organisation des Nations Unies Vitali Churkin et il a dit qu'invoquer des événements à ce stade, c'est vraiment irresponsable.
La Chine hier aussi s'est exprimée en saluant le début du cessez-le-feu, et en appelant à la solution du problème syrien par le biais de négociations.
Comme c'est facile à comprendre, la solution de la crise en Syrie est à portée de la main, mais il existe un effort même trop évident des puissances occidentales d'effacer la chance d'arriver à une telle solution.
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