mardi 29 mai 2012

MASSACRE DE HOULA, INTOX, MENSONGES ET CONTRADICTIONS

Fractionnements irreversibles en Syrie?VOX CLAMANTIS – 26 mai 2012 –
Nous demandons à nos lecteurs de ne pas se laisser impressionner par la campagne médiatique au sujet du massacre de Houlé. Contrairement à l’assertion des médias et à nos premières informations puisées par ouï-dire et par supputation, l’armée syrienne régulière ne s’est pas rendue sur les lieux et n’a pas bombardé Houlé.
Il s’agit, de la part des terroristes, d’un coup monté, auquel l’opinion publique est déjà très habituée et, de la part du gouvernement d’une démission inacceptable qui laisse des civils innocents confiés à sa protection et des forces de l’ordre en nombre insignifiant être l’objets d’impressionnantes attaques de centaines de miliciens féroces, prêt à tout et armés jusqu’aux dents avec pour mission de « créer » les victimes pour exploiter médiatiquement leur sang. Ceci coïncide avec l’annonce de la visite prochaine de Kofi Annan et le but est de discréditer cette mission en rejetant tout le blâme sur les autorités syriennes légitimes. Les nouvelles que nous donnons viennent de témoins oculaires vivant sur les lieux. Ils n’ont pas pour finalité de « protéger » le régime mais de « protéger » la population civile, délaissée par le gouvernement et « livrée » à la sauvagerie des terroristes.

La vérité sur Houlé

Voici ce que nous avons reçu d’un témoin oculaire de Kfar Laha, près de Houlé :
« Les bandes armées sont sorties de Rastan et de Saan, entre Homs et Hama vers 20 heurs. Elles ont attaqué les barricades des forces de l’ordre autour de l’hôpital Al Watani (national) et ont tué et blessé près de 35 éléments des forces de l’ordre puis ont pénétré dans l’hôpital gouvernemental. A l’intérieur de l’hôpital se trouvaient les patients et les équipes sanitaires et quelques parents accompagnant les malades, près de 25 personnes. Les bandes armées ont massacré toutes les personnes présentes puis ont brûlé l’hôpital après avoir transporté les cadavres. Sur les bandes vidéo des rebelles ont voit que ceux qui transportent les cadavres le font sur des couvertures sur lesquelles est écrit en arabe « ministère de la santé ». Ceci prouve qu’ils sont les auteurs du crime. Les bandes armées se sont ensuite dirigées vers les maisons avoisinantes, ils massacrèrent leurs habitants et brûlèrent cinq maisons après avoir transporté les cadavres. Des renforts sont arrivés de la part des forces de l’ordre. Il y eut des échanges de feu et neuf des terroristes furent tués.

En chemin, ils se sont introduit dans une pharmacie et fusillèrent le pharmacien pour le punir d’avoir vendu des médicaments à un membre du service de l’ordre, et ils brûlèrent sa pharmacie.

Vers 22 heures les bandes armées se sont dirigées vers le village de Tal Daw. Ils ont investi le quartier sud et ont massacré des familles alaouites, hommes, femmes et enfants, puis ont mis le feu après avoir transporté les cadavres.

Les cadavres rassemblés ont été placés dans une mosquée à Houlé pour les montrer aux Observateurs de l’ONU comme étant un massacre perpétré par l’armée.

Diverses nouvelles de la région de Homs et de Hama


A Salamiyeh, gros village à l’Est de Hama, sur la route d’Alep, habité par une majorité d’ismaélites dont un grand nombre sont des opposants (communistes et houranis) il y avait un deuil et les gens venaient présenter leurs condoléances, des bandes armées habillés avec des « schmâkhs », couvre-tête des bédoins du désert, sans doute pour inciter les gens de Salamiyeh à croire que ce sont leurs voisins les bédoins du désert « badiyât » de Hama et fomenter la guerre civile. La bande armée de BKC ont ouvert le feu sur la foule pendant cinq minutes tuant sept personnes et en blessant un grand nombre.

Dans le village de Shiphoniyeh, près de Kattineh, à 15 kms au Nord de Homs, des bandes armées se sont introduites en grand nombre et ont massacré deux familles : Abdallah Abdel Nabi et ses six enfants ainsi que son voisin et son fils. Ils ont aussi brûlé les maisons avant de se retirer.

Toute la campagne de Kusayr est à feu et à sang, dans un vide sécuritaire effrayant. Depuis deux semaines la guerre civile a commencé entre les villages sunnites et les villages chiites (métoualis). Les sunnites du village de Saargi –des contrebandiers et des bandits- ont commencé par tuer et kidnapper des civils des villages chiites dans les villages de Safsafé, Zeyté, Hawik. Pour se protéger les chiites ont dû prendre les armes car les sunnites les attaquaient avec des fusées, des mitraillettes et des mortiers, et des RPG. Les chiites ont été pris de cours car ils n’étaient pas armés mais certains possédaient des armes individuelles. Les chiites on kidnappé deux sunnites de la famille Hseykeh et jusqu’à présent l’atmosphère est très tendue. Un contentieux ancien opposait ces deux villages mais ils avaient célébré une grande réconciliation avec la présence du Cheikh Naïm Qassem, le vice-président du Hezbollah. On avait invité les villages d’alentour et les notables chrétiens de Kusayr y étaient invités. Malheureusement la consigne des bandes armées est d’allumer à tout prix le conflit religieux et, en l’absence des forces de l’ordre ou devant leur impuissance il n’y a pas d’autre alternative pour les habitants que de se protéger des bandes armées en prenant eux-mêmes les armes.

Comme nous l’évoquions dans notre article d’hier les villes et les villages se dirigent vers une autonomie sécuritaire à partir d’alliances et d’équilibres tribaux subtiles et invraisemblables (par exemple comme nous le disions, l’accord réalisé entre Nebek et Flitta était : « ne kidnappez plus nos ressortissants sinon nous interdirons aux habitants de Flitta d’entrer à Nebek ».

Le régime est-il en train d’accepter la réalité d’une désaffection de facto de sa présence sécuritaire en vertu de laquelle la mosaïque syrienne se fracture dans une logique d’affinités confessionnelles, tribales ou politiques, au gré des alliances, des rejets, des trahisons pour un réalignement à la manière libanaise ? Sinistre perspective…. 

source:Vox Clamantis

La nature des blessures 

Pensez vous que les présumés bombes de Bashar puissent égorger les gens ? Ou plutôt, c'est probable que ça c'est l'oeuvre des mains des sales mercenaires du Golfe et de l'OTAN soi disant salafistes ? Mais les rats croient ils que nous sommes tous des cons ? Il s'agit d'une image à envoyer à notre presse de merde européenne comme à la CNN pour demander des explications sur comment ils font à déclarer une quantité tellement grand de bobards... Dans ce cas par example dites moi la quelle bombe est capable d'égorger?

E.Scaglione 

source de la photo: د.مصطفى المعايطة


















Terroristes à Hula


la vérité au sujet de Hula exposé, les terroristes qui tirent des missiles RPG parmi lescivils et qui prennent abri dans les maisons des civils et dans le quartiers














Et encore une autre prouve qu'il ne s'agissait pas de l'armée:

Un des criminels impliqués dans le Massacre de AlHoula



Hélas pour eux il ne s'agit pas un crime complet:


Un terroristes de groupes d'opposition a affiche cette vidéo provenant du lieu du bombardement et ensuite a accusée l'armée syrienne des tirs chars et de tirs d'artillerie. Mais ls ont oublié de retirer les éléments de preuve qui condamnent, eux et leurs mensonges.
Ils ont les médias sionistes à le servir , nous avons Dieu et notre terre, pour ça nous allons les battre avec la volonté de Dieu.



UNE VIDÉO QUI ANALYSE TOUTES LES INCOHÉRENCES DE LA VIDÉO SUR CE QUI S'EST PASSÉ DANS LA NUIT DU VENDREDI ET SAMEDI DERNIER À HULA.

Par exemple :

On parle des bombardements de l'armée régulière syrienne, mais les maisons détruites ne sont pas indiqués ; 

les corps des enfants sont exempts de débris et encore sans (reste cadavérique) "rigor mortis" ,(donc c'est à l'évidence qu'ils ont été tués depuis peu de temps avant d'être filmés), mais comment c'est possible qu'ils étaient tous ensemble dans le même emplacement ou bien comment c'est possible qu'ils ont choisit de rassembler tous les corps en si peu de temps ?


Un autre massacre de l'armée reguliere fabriqué que j'avais affiché il y a un peut de temps sur ma page: Azione Antimperialista








Cette vidéo a été tournée par "l'opposition" afin d'accuser le gouvernement d'avoir commis le massacre, dans cette vidéo il y a un certain nombre de preuves que le massacre a été effectué par l' ASL: 

1 - La famille assassinée, c'est la famille d'un officier de l'armée syrienne (Mohammad Sawwaf) resident à Houla et "PAS" un officier de l'ASL.

2 - L'enfant mort présenté dans la vidéo portait un drapeau syrien sur sa main, et pas le drapeau de l'ASL avec 3 étoiles rouges.

3 - Vous pouvez entendre des voix entrain de crier: "Où est l'armée syrienne?!", Bien sûr, ils veulent que l'armée syrienne soit là pour les protéger.

4 - Nous sommes conscients que le caméraman était debout prenant la vidéo, tandis que l'homme à côté de lui était entrain de mendier de l'aide pour secourir les blessés.Pourquoi a t-il donc continué à filmer la vidéo en le considérant plus important que sauver des blessés, en sachant que de cette vidéo on a eu premier chargement sur les chaînes YouTube de l'opposition.

5 - Le caméraman ne fait autre que des allusions à propos du fait que l'armée syrienne doit être impliqué dans le massacre, mais il n'a pas dit clairement, pourquoi il avait peur que les gens autour de lui qui savaient bien que l'ASL en était responsable , iraient après lui car il irait s'impliquer dans le crime .

L' ASL armée "d'opposition" a bombardé la maison et elle a tuées des familles des loyalistes syriens, et entrain de le faire elle s tout filmé pour l'utiliser contre Assad.
-A


DECLARATION DE BAN AL JAFARI DEVANT L'UN

"Il n'est pas honteux si l'ennemi pénètre dans votre terre, mais il serait honteux si il la laisse intact»

"Mon gouvernement ménagera chaque effort possible pour trouver les responsables des massacres et de les traduire en justice. Le Conseil de sécurité devrait se réunir à nouveau pour savoir qui paie, et finance et incite ces criminels, et ceux-ci doivent également être déférés à la justice. Ils y sont certains membres de l'ONU qui carrément disent qu'ils feront tout leur possible pour armer ces terroristes, avec des « armes pas mortelles», je n'ai aucune idée de c'est quoi une arme pas mortelle "

"Le gouvernement (syrien) affirme que ces groupes sont actifs dans le pays, comme certains groupes d'opposition. Le Front al-Nusra a revendiqué la responsabilité d'au moins six des récents attentats," a déclaré Ban.



Carnage Houla : entre vérité et arnaque


Il serait incrédule de croire les versions des faits véhiculées par les différentes factions de l’insurrection syrienne sur ce qui se passe en général et s’est passé dans la localité de Houlé, (que tout le monde appelle désormais Houla).
D’innombrables fois, celles-ci ont fait preuve de mensonges ou d’omissions, comme ce fut flagrant dans l’affaire des Libanais kidnappés par l’ASL.

Concernant le carnage horrible de Houlé, très peu de données sont sures et certaines. Seule une enquête peut trancher.
La donnée la plus certaine reste le bilan final de ses victimes: 114 personnes massacrées d’une façon horrible,  dont 32 enfants de moins de 10 ans. 
Mais qu’en est-il du quand et comment ils ont été tués : très peu en parlent. Quoi de plus facile d’accuser le régime, comme c’est le cas  dirigeants occidentaux et arabes, relayés par les agences et les medias, à la veille de la visite du responsable onusien Kofi Annan et d’une réunion du Conseil de sécurité.
Les observateurs ne manquent pas de le constater qu’à chaque fois qu’il y a une échéance onusienne, il faut s’attendre à une escalade sécuritaire imputée au régime.

Tués à bout portant et non dans des bombardements

 
Or, une autre donnée est aussi sure qu’apparente, celle montrée à travers les images des victimes présentées par les chaines de télévision et sur la toile et que très peu tentent de décortiquer : l’horreur des images étant à elle seul dissuasive.

Ainsi, la majeure partie des victimes, surtout les enfants montrent des traces de balles dans la tête et le visage, un peu mois dans la partie supérieure du corps. L’un d’entre eux pourrait laisser croire qu’il a été égorgé. Mais l’éventualité d’une balle tranchante est aussi plausible. Un bébé semble quant à lui avoir été assommé d’une hache à la tête aussi. 
L’une des photographies montrent des traces de sang sur le mur.
Il en découle que la plupart des martyrs ont été liquidés  à l’arme à feu, à bout portant.

Ces images affreuses sapent la version disant « qu’ils ont péri dans des bombardements intensifs des forces gouvernementales », version  véhiculée par l’Organisation syrienne des Droits de l’homme (OSDH) à travers les agences internationales à longueur de la journée de vendredi 25 mai puis du samedi.  Lorsqu’il y a bombardement, cela veut dire que les maisons sont détruites ou endommagées et que les cadavres ne peuvent qu’être délabrés et poussiéreux. Ce qui n’est pas du tout le cas dans le carnage de Houlé. Les maisons sont intactes, on voit à peine les traces de coups de feu sur les murs ou les sols. 
Les victimes semblent avoir été abattues une à une, dans les chambres, dans les couloirs ou sur les étages...

Même les observateurs onusiens dépêchés sur les lieux du massacre n’ont pas distingué cette nuance. Après avoir imputé aux forces gouvernementales la responsabilité du massacre, ils ont observé que la ville a été bombardée aux obus de char.

Les images sapent aussi la deuxième version des faits, différente de la première, mise en exergue par  des journaux arabes financés par l’Arabie saoudite comme dans le journal arabophone publié à Londres Al-Hayat, et dans lequel Il est question de « voyous du régime (chabbiha) qui ont investi les périphéries de la ville après des manifestations, puis ont ouvert le feu dans ses rues, ont perquisitionné ses maisons et ont égorgé la plupart des femmes et des enfants à coups d'armes blanches ». Elle avance l’assassinat aux armes blanches de la plupart des victimes. Ce qui est aussi inexact. Constats : cette version évite de constater qu’elles ont été tuées à bout portant. De plus, elle évite de signaler que des bombardements intensifs ont eu lieu. Il est vrai que ceci aurait sapé leur logique des évènements, sachant qu’il est incompatible de bombarder intensivement une région et de l’investir en même temps. 
   
Cette diversité des versions a même été constatée par le site en ligne syrien Syria Truth (opposition de gauche hostile au régime et à l’insurrection en même temps) et qui avait évoqué dans son numéro de samedi « un massacre commis par les forces gouvernementales lors de bombardements intensifs contre la région de Houlé dans le cadre d’accrochages avec des dizaines d’homme armés takfiris».

Il rapporte entre autre la version avancée par le Comités de coordination de la révolution qui évitent quant à eux d’accuser l’armée régulière et accusent les habitants alaouites : «  la région de Houlé est habitée par une majorité sunnite, alors que les villages situés au sud sont habitées par une minorité alaouite et ce sont ceux-là qui ont attaqué les villages ... », relate le CRC.

Des accrochages: pourquoi personne n'en parle

 Hormis cette diversité, un cordon ombilical relie ces versions des différentes factions de l’insurrection syrienne : elles évitent toutes d’évoquer qu’il y a eu des accrochages entre les forces de l’ordre et les insurgés. 
Il s’agit là d’une leur ligne éditoriale, depuis l’éclatement de la crise syrienne, qui veut laisser croire que les forces de l’ordre ouvrent le feu contre les civils et non contre les hommes armés. (Quoique  les images vidéos mises en ligne ne montrent jamais ceci).  Ce qui aurait pour effet d’alléger ses torts au regard de l’opinion publique.

Ces accrochages ont par contre été évoqués dans la conférence de presse du porte-parole du ministère des affaires étrangères Jihad Makdessi.
« Des centaines de personnes, armées de différentes sortes "d'armes lourdes" ont lancé l'assaut contre la localité de Houlé après s'être rassemblées en groupes dans plusieurs régions,...,  les forces de sûreté et du maintien de l'ordre n’ont pas quitté leurs positions et étaient en état de légitime défense», relate Makdessi. Lequel a tenu à notifier qu'aucune char n'était entré à Houlé et que l'artillerie n'était pas du tout pointée sur la zone du massacre.

Selon lui, les hommes armés s'étaient rassemblées vendredi à 14heures  puis ont mené leur attaque à bord de pickups transportant des armes lourdes dont des mortiers, des mitrailleuses lourdes, des projectiles anti-char. (Des armements acheminés dernièrement via la frontière libanaise, selon les aveux des chefs de l’insurrection au quotidien Al-Akhbar)

Il a ajouté que les forces gouvernementales dans cette région ne se trouvaient que dans cinq positions, "toutes en dehors de la zone du massacre", et que l'offensive entamée à "14heures s'était poursuivie jusqu'à 22h , faisant trois martyrs parmi les éléments des forces de l'ordre, et 16 blessés dont les blessures de certains sont fort graves. Il a aussi fait état de corps carbonisés du fait des armes lourdes employées. (Samedi, les autorités syriennes avaient organisé les obsèques de 23 soldats et éléments des forces de l’ordre tués vendredi.)

Makdessi reconnait aussi, que certaines régions sont désormais sous le contrôle des insurgés. Le gouvernorat de Homs est sans doute le plus concernée.

Régions incontrolables et zone tampon

L’aveu est soutenu par les témoignages des rescapés de Houla qui ont quant à eux fait état de pressions monstres qu’ils subissent de la part insurgés, les sollicitant à se rallier à l’insurrection et demandant aux hommes de rejoindre leurs rangs. Et comme ils ont refusé, on leur a dans un premier temps incendié leurs champs agricoles. Ainsi que l’hôpital public. 

Autre indice de ce contrôle : ce sont, comme le montrent le vidéos sur la toile, les insurgés qui ont organisé les obsèques des martyrs de Houla. Les éléments des forces de l’ordre étant totalement absents.
Plus encore, samedi, d’autres massacres ont été perpétrés dans les villages de Shoumariyé et de Tel Do, dans la province de Homs et qui semblent s'inscrire dans le prolongement de celui de Houla. Dans le premier, ce sont les 8 membres de la famille Abdallah et deux autres de la famille Ello qui ont été massacrés. Une vingtaine de maisons y ont été incendiés. Alors que dans le deuxième village, les insurgés ont tué trois hommes, une femme et trois enfants de la famille Sayyed.

Au fil de ces massacres, une conclusion est incontournable: après avoir vidé le gouvernorat de Homs des chrétiens, et des alaouites,  il s’agirait maintenant de le vider des musulmans sunnites, qui soutiennent encore Bachar el-Assad. Ce qui rime d’ailleurs avec les évènements de la ville libanaise du Nord, Tripoli, limitrophe de Homs, visant à l’évacuer de l’armée libanaise...

Le tout pour y instaurer la zone-tampon...

source: Al-Manar

Ouday Ramadan detto Soso:

Ouday Hr dit Soso


Et volia la preuve que le massacre de Haule a été commis par les rats .
Ils simuler le bombardement, le visage du meurtrier se voit, détail au 9.01 minute: un des enfants tué a dans son bras droit est le drapeau de partisans du président. Les pauvres enfants tués ne sont rien d'autre que ceux enlevés par environ un mois. Le mensonge est souverain dans le monde des bourgeois.





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