de Fulvio Grimaldi
traduction de Erminia Scaglione
Un reportage émouvant sur ce qui se passe vraiment en Syrie avec une attention poétique au rétablissement de la vérité et plein d'amour pour un pays si beau et gentil et ses gens brutalisés par l'agression impérialiste de l'axe du mal.
Rose du désert |
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Nous acceptons la qualification de rose comment la plus belle fleur, la fleur par antonomase , une métaphore du bien, de l'amour, de la bonté, de l'humanité qui reste soi même.Par exemple, jusqu'au moment dans lequel les États Unis ne savent pas choisir entre l'être Américains ou des simples êtres humains (pourtant nombreux entre eux dans ces derniers temps, ont recouru de cette choix), pour cette raison dans ce pays il ne pourraient pas pousser des roses et celles qui vous apparaissent aux yeux sont des faux, comme c'est fausse la nourriture c'est à dire l'hamburger de McDonald et faux le boisson, Coca Cola, et il faux aussi le président et faux- démocrate aussi, c'est à dire Barack Obama . Je commence avec cette histoire de roses, parce que quand, il y a quelque jour je suis sorti de Damas, j'avais tout derrière une traînée de parfum de roses, qui m'entoure encore et dans le cœur une sorte de Saint Graal. Mais pas du tout la connerie d' Hollywood ésotérique et crypte - maçonnique pour déments, qui en trouvant la coupe mythique comptent de saisir les rênes du monde. Le Graal, au contraire et fais de ça comme la quintessence du sang versé pour l'homme, la justice, la vérité et le bonheur. Pas par un imaginaire Christ. Par n'importe qui, par les Irakiens, les Serbes, les Afghans, les Libyens , et par nombreux autres, qui sont engagés dans la résistance contre le monstre horrible de la régression à un passé sauvage et cannibale .
Aujourd'hui, par le peuple de la Syrie.
J'ai fait un voyage vers les fleurs de la plus haute humanité, celle que nous autres dans le Nord nous sommes entrain de nous écailler les derniers pétales . Et cette fleur, la rose de Damas précisément, tintée de pourpre de sang et de passion, était devenue mon Graal personnel, essentiellement une lumière qui éclaire le bon chemin dans la nuit, exactement comment me l'a traduit en mots un homme, un Syrien, un grand arabe. Son nom est Adam Mohammed, il est responsable de toutes les communications de télévision en Syrie, avec qui pendant un banquet tenu sur l'hauteur qui vous permet de collecter dans les yeux toute la capitale, nous avons combiné la fantasmagorie d'une cuisine qui ne connaît pas des manipulations chimiques, à la discussion au sujet des certains des points cardinaux de la vie, de de Gilgamesh à Ibsen, de Thomas d' Aquino à Averroès, en parlant des Phéniciens, qui ont déposé sur les plages de Sicile du miel, des olives et des dattes et qui ont fait naitre le début au commerce entre les communautés unies par ce lac qui est la Méditerranée jusqu'à , Freud . Il a répété, et il a adressée à nous tous, le vœu que presque tous les syriens que j'ai rencontré m'ont exprimé: Il faut empêcher que cette mer, autour de laquelle naquirent les meilleurs civilisations, devient un océan, comme il voudrait celui qui construit sa domination par l'écrasement.
Je suis dans un pays où le dit du père d'Adam (un dieu?) est la source de la vie, il s'exprime par des sourires peu importe pour quelle raison, par une hospitalité qui c'est de la joie par , d'abord l'hôte, par des signes si délicats d'amitié. Pourtant c'est un pays infesté par des étrangers aux mauvaises intentions, par des visiteurs avec un couteau derrière le dos par des journalistes à qui le commettant planétaire a ordonné le slogan : au contraire tous mauvais, surtout si appartenants à un autre ordre social, ou d'une autre couleur, et une autre culture, d'une autre religion un autre genre, d' un autre âge, et même pas jusqu'à la première expérience positive. Ce qu'on ne veux pas jamais voir, car il porterait atteinte à la loi naturelle de notre supériorité, de notre droit d'y aller et de tuer ceux qui refusent la logique du différent par l' abattre et consumer.
Pour un retard de vol et d'une connexion entre avions manquée , je suis arrivé à Damas par la route d'Amman par terre. Tout chargé des technologies de tournage et d'enregistrement, au poste de la frontière syrienne, ou j'ai été regardé avec une attention sévère. Eux, oui, car ils savaient des journalistes occidentaux coincés en Libye, soit au bout d'inverser la réalité qu'ils vivaient, soit pour déplacer aux fusiliers qui manoeuvrent les consoles du Nevada ou de Sigonella les coordonnées pour éclaircir les gens en excès et pour pulvériser les installations à confier aux re-constructeurs étrangers en vertu de la mondialisation des prédateurs. Quelques coups de téléphone a atténué leur prudence, mais plutôt ce qui a été déterminante c'est la découverte dans mes bagages, des couvertures de deux entre mes films documentaires: celui ci de Plomb Durci contre Gaza et celui ci du martyre de la Libye. Plus perspicaces que que n'importe lequel dispositif électronique utilisé pour pénétrer dans votre intimité et te prendre au laisse de la peur, exactement comment ceux qui abusent de nous dans les aéroports pour lesquels nous sommes à persuader que le terrorisme ils sont les autres à le faire , les officiers de douane syriens ils m'ont compris et accepté, immédiatement, au son des tapes sur mes épaules, des boissons, de thé et des gâteaux de pâtisserie.
Je voudrais renverser le sang de Gilles Jacquier, journaliste, de France 2, les fragments de son corps jetés par l' obus de mortier sur les murs du Centre Communautaire de Homs, sur les visages des coquins d'Al Jazeera et tous les télé-diffuseurs incorporés dans l'OTAN quand ils invectivent contre «l'autocrate et sanguinaire Bashar El Assad, qui ne permettrait pas à la presse étrangère d'entrer en Syrie et de documenter celles qu'ils disent les atrocités du régime génocidaire». Gilles et des autres collègues étrangers sont allés à Homs, juste quelques heures après que j'étais là avec un groupe qui comprenait journalistes envoyés britanniques, allemands, autrichiens, espagnols, cubains, chinois, russes, turcs, japonais,et norvégiens. Le soir même, à partir des écrans des émetteurs mentionnés ci-dessus, des visages effrontés en colère avec un dédain indigné déploraient que en effet en Syrie les journalistes étrangers n'étaient pas les bienvenus. Les professionnels, peut-être avec quelqu'un d'honnête entre eux qui transmettent des histoires par ici avec aussi des petites miettes seulement de vérité, doivent être enterrés par l'ouragan de «preuves directes» et par les scénarios de la CIA dictés aux diverses et plusieurs organisations humanitaires des exilés syriens enkystés dans l'ombre de Westminster , ou de la Maison Blanche.
Il y avait eue déjà l'expérience malheureuse des observateurs de la Ligue arabe, arrivés quelques jours après Noël et que, bien choisis et expédiés par la gang réactionnaire du Golfe qui contrôle l'organisme entier, ils avaient étés contraints par les éléments de preuve à démolir le château de mensonges construit par les " témoignages de militants" et à partir duquel ils ont bombardé notre connaissance et conscience. Je les ai croisés plusieurs fois, perplexes, parce que ce qu'ils voyaient et ressentaient il ne pourrait pas correspondre à l'agenda dictée à eux par les satrapes du Golfe. Ils ont battu paume à paume la Syrie pendant des semaines et des semaines, ils sont pénétré dans tous les coins des présumées villes martyres de, Homs, Hama, Daraa, Idlib, et le pire qui est leurs arrivé était d' être entouré par des groupes de fauteurs de troubles qui dénonçaient invisibles et pas documentées atrocités du régime. En dépit d'être l'émanation toxique d'une ligue qui ne représente autre maintenant que des pétrodollars, des dictatures monarchiques et des intérêts occidentaux, Ils n'ont pas dans aucune façon étés capables de détecter des signes de la brutale répression attribué à Assad, des 5.000 morts sanctionnée par l'ONU, sur l' indication pas de ses inspecteurs, ou de tiers, mais seulement par les jamais vérifiés sources des «activistes».
Et en parlant de ces 5000 grandis en Décembre depuis quatre jours de 4000 et en rappelant les chiffres en termes de le chien de chasse au bout d'entente des guerres propagées de Srebrenica, ou des Kurdes "exterminés par Saddam", des fosses communes de Kadhafi si n'aurait pas eu en raison de la naïveté du grand public comateuse, certains auraient pu s'atteindre, un minimum de contenu sérieux ou bien des données désagrégées: au sujet de ces 5000 manifestants tués (dont plus de 300 enfants: ça produit l'effet au maximum), combien de civils, combien des milices armées, combien d'ou , combien par qui. Pour le gouvernement syrien les victimes globales, appartenants à toutes les parties, étaient après 11 mois environ 3.500, dont plus de 2000 des agents de police, avec aussi l'identification des images. Et, à la lumière des documentés adversaires armés (les rats Al-Qaïda, venus par la Libye, des militants infiltrés du Liban, de la Turquie, de la Jordanie, définis tous «déserteurs» de l'armée, l'énorme quantité d'armes, y compris provenant d'Israël, saisies à la frontière), à la lumière de la présence, dans des bases de formation en Turquie, en Jordanie et au Liban, des forces spéciales de l'OTAN et du Qatar, on est amené à croire a cause de l' inondation des probabilités à la version du gouvernement. Assad a également ordonné de ne pas utiliser d'armes à feu contre des manifestants et des civils et par ce moment la et après voire ce qui se passe, dans chaque département de sécurité.
Quelqu'un aura désobéi, peut-être a peine de la vie, mais cela fut l'ordre. Alors que ils y sont des images en abondance des snipers qui par des abris tirent sur les marches des gens, des policiers et des soldats jamais montrés en Occident dans le Grand Guignol des cadavres créé par les «activistes» et diffusé par les médias (qui ont méticuleusement caché les corps des soldats tués et leurs numéro), il n'était pas possible de trouver une photo seule de la terrible «milice» d'Assad et de ses tanks tout en tirant sur la foule. Pourtant, il aurait été facile d'en prendre une.
A propos des foules celles ci de l'opposition je les ai vu sur les écrans d'Internet et des médias et il n'y avait même pas l'ombre d'une femme dans le milieu, et même pas de celles la qui sont prisonnières dans le niqab noir si cher "aux démocrates révolutionnaires". Au lieu à Homs, partout et chaque jour dans la Place des Sept Fontaines à Damas, j'ai été submergé par des foules de femmes qui chantaient des hymnes à Bashar et à la résistance contre les conspirateurs de l'OTAN, les tyrannies fondamentalistes du Golfe et leur infanterie islamiste. Même au Caire à Tunis, et dans la Libye de M. Kadhafi, même aussi dans l'Arabie Saoudite, les premières ont été les femmes à épaissir les files. Est ce qu'Il s'agira de cette participation des femmes ou pas, le facteur discriminant entre printemps véritables et changement de régime aux ordres de l'impérialisme? Il arrivera, comme en Libye, que ces rassemblements des millions que, aucune partie ne serait capable de "contrôler" non-stop pendant des mois apparaissent dans les services d'Al Jazeera et dans la queue des médias occidentaux masquée avec fotoshop comme des manifestations de «l'opposition». En Libye, par ces "informateurs" est sortie devant les yeux un drapeau indien et aussi quelques turbans sikh dans ce qui avait été transmis comme l'insurrection à Benghazi. Pensez svp à quoi elle est capable la télédiffusion de l' Emir du Qatar: en colère car les observateurs de la Ligue arabe, malgré les renforts envoyés par les petrol-dictatures insistent de trouver acceptable la situation et ils arrivent , même à exiger la fin des violences - du jamais vu! - Aux deux côtés, elle crie la nouvelle que après huit jours depuis l'arrivée des observateurs, bien que ces derniers n'ont pas vu aucune chose comme ça, pour lui autant que 400 personnes avaient été tuées par des "milices" d'Assad. Et comme peut il illustrer cette mystification? Avec des images de l'attentat à Damas du 23 Décembre, ceci contre les services de sécurité, conçu pour donner l'impression qu'ils s'agit des victimes du régime.
Le fait des observateurs envoyés pour mettre au coin la Syrie et les attribuer responsabilités telles de justifier une agression, a été le plus étonnant autogoal depuis le début de la conspiration. Inévitablement, étant donné les directeurs, le rapport final fera toutes les acrobaties nécessaires pour criminaliser Assad et le peuple derrière lui. Mais il sera difficile d'éliminer la surprise, ou au moins les doutes, avec lesquelles les déclarations des observateurs sur le terrain ont déchiré le blindage de mensonges en vertu de laquelle les monarques le les colonialistes essayent de masquer la réalité de la Syrie.
J'ai été en mesure de documenter un fait, un excellent exemple en comparaison aux tumultes anti-régime andro-cratiques et absolument prives des femmes . Syriennes de chaque âge, de religion, d'ethnie, se rassemblent tous les jours sur la place en s'exhibant dans une coupe de cheveux collective . Signification? Antonia chrétienne au bras d' Amina, un musulmane, elles me l'ont expliqué, en montrant des touffes de cheveux collectés dans des tissus aux couleurs du drapeau: «C'est un signe que nous sommes égaux aux hommes et, comme eux, nous nous battrons pour notre pays; que personne ne se trompe pas en pensant que, caché sous le niqab nous irons résigner à revenir à regarder le monde à travers une fissure de deux centimètres et valoir dans les droits et dans le mariage et un tiers des hommes. "
Pas un qui n'est pas au courant des objectifs de la division occidentale et le du pillage par l'utilisation des Frères musulmans et des salafistes d'Al-Qaïda. Et qu'il ne voit pas dans l'ultra fondamentalisme, mais dit "modéré" par nous, déjà couronné de succès en Egypte, en Tunisie, au Maroc et en écrasante avancée en Libye, la fin d'une Syrie libre, laïque, libérale progressiste et souveraine. Les critiques vont plutôt dans la direction de l'établissement au quel ils sont attribuées une ossification et une distance, comme partout, et c'est pire chez nous, qui inexorablement s'accompagnent avec une corruption généralisée des hauts niveaux sociales. Certaines personnes se plaignent d'une présence obsédante des services de sécurité et ils aspirent à un Occident démocratique, qu'ils ne savent pas déjà défunt ou bien s'il a jamais existé, tout pris par la télévision et le cinéma, et pourtant ils oublient que depuis plus de 45 ans la Syrie est sous la gifle israélo-Occidental assiégée et souvent affectée en ciblant ses hommes et ses équipements, qu'elle est volée de sa terre, infestée d'espions et de provocateurs qui sont si nombreux comme un invasion des sauterelles d'Egypte. Quitter ces conditions, c'est à dire avec portes et fenêtres ouvertes fait risquer l'entrée des courants mortelles. Laissons tranquille , la Syrie, coupons donc les ongles à la rapacité des génocidaires des États-Unis, de l'UE et d'Israël et allons voir ce qui en sort comme pays.
Dans la petite église catholique à Bab Tuma, le jeune curé avec des bancs remplis de chrétiens irakiens qui sont fuis de la terreur de la croissance du fanatisme chiite ( la Syrie généreuses hôtes et nourrit un million et demi et, bien sûr aussi ça c'est un défaut aux yeux des wahhabites des salafistes , et des frères chrétiens d'Occident) plein de peur, me demande de ne pas enregistrer les mots. Les mots de la douleur et la peur qu'il suggère la perspective pour les chrétiens de Syrie de finir comme ceux ci de l'Irak. Une communauté réduite des deux tiers après la mort de Saddam. une appréhension qui hébergera bien sure même dans la foule des jeunes femmes habillées librement et aux attitudes libres et laïques qui étincellent dans le trafic humain des villes syriennes.
De sous son manteau l'évêque, Dora l'trois degrés, brille un pistolet. C'est «l'effet des menaces de mort nombreuses et du risque pour ses enfants, en allant à l'école de finir dans l'un des nombreux enlèvements des personnes qui ne sont pas alignés à la sédition golpiste d' alQaida. «Le cœur de ma théologie est la laïcité", a déclaré le prélat. "Les régimes religieux finissent par tomber, car ils ne peuvent pas offrir des solutions aux problèmes sociaux, les injustices, au besoin de liberté. La charité qu'ils pratiquent n'est pas une solution pour la justice et la dignité. Pour notre pays, la seule solution est le dialogue entre les bien intentionnés. Ce qui est nié que par ceux qui veulent mettre à feu et à sang le pays . Il va se passer quand toutes les parties seront convaincus que qu'elle ne parviendra pas une victoire totale, celle qui permettrait d'éliminer toutes les autres. Pour lancer ce dialogue est nécessaire de découper les éléments qui ne se battent pas pour la Syrie et pour son peuple, mais pour obéir à un ordre du jour étranger.Tous ceux qui vont en procession derrière Bernard Henry Lévi , un soi-disant philosophe et qui n'est autre que un pyromane escaladé sur des montagnes de corps incinérés, au le service des incendies criminels dans le monde ". Ainsi il parlait l'évêque de Damas, président du Mouvement patriotique d'opposition indépendante (IPOM), mais il faut douter que Usrael et la coupole de guerre financière occidentale soient persuadés de dialoguer en renonçant à la victoire. Pour laquelle , d'ailleurs, c'est assez le fait de réduire la Syrie en état qui a échoué, divisé déchiré par des conflits tribaux, religieux, politiques, comme tous les pays brutalisés et désertifiées par la Civilisation Supérieure, l'Irak, l'Afghanistan, la Yougoslavie, la Somalie, la Libye, et Haïti ... ça suffit qu'il n'y soit pas de souveraineté, où rôle national de premier plan, notamment les partisans de l'Iran, les Palestiniens, les Hezbollah, le Hamas, les amis de la Russie,de la Chine, où de l'Amérique latine.
Et si ne seront pas assez les fantassins islamistes,ils sont prêts soit la No Fly Zone en bombardant, soit le couloir humanitaire dans lequel greffer un «gouvernement provisoire» invoqués les deux, avec une force croissante par le soi-disant Conseil National Syrien chouchoutés par Erdogan à Istanbul, ou par les Coordonnateurs des Comités Locaux, ou par l '«Armée Libre Syrienne» créé par le Qatar, l'Arabie Saoudite et la Turquie sous la supervision de des coupe gorges français et britanniques, ou encore de la fenêtre du MI6 à Londres qui n'est autre que , l' Observatoire syrien pour les droits de l'homme. Le journaliste Jacquier était à rencontrer les familles d'Akram et Al Nuzha, dans les districts de Homs, ville diplômé par les «militants» et les médias come capital de l'insurrection. Deux obus de mortier sont arrivées sur lui et une balle de RPG. Avec lui autres sept personnes ont été tuées, et plus de 50 blessés. L' énième massacre des «révolutionnaires». Il devait avoir la même finalité que du coup de canon du meurtrier de masse du réservoir des Etats-Unis contre l'Hôtel Palestine, quartier général de nous journalistes au quel Bush avait ordonné de ne pas rester à Bagdad. Aucun de ceux qui ne sont pas incorporées dans les «forces du bien» doit être capable d'écrire, de filmer de transmettre. Nous, les journalistes étrangers dans cet endroit nous avions été le jour avant, les premières de cette nouvelle série de visites et peut-être en étant donné que notre itinéraire a été le même, nous servions aux terroristes à prendre des mesures pour le massacre.
Nous avons marché dans la ville de 900 mille habitants partout. Comme indiqué depuis mon arrivée par voie terrestre en provenance de Jordanie au long de la série de villes, qui à partir de de Daraa ont été définies foyers d'une émeute irréductible avec une séquence de décès entre 30 et 40 par jour, et bien aussi ici la vie qui se passait était normale, certaines parmi les boutiques fermées, (ici les «rebelles» veulent
de l'argent de protection, si pas tu a des ennuis ...), beaucoup aussi ouvertes , des nombreux étalages, des places et des rues centrales entourée par l'agitation du trantran du shopping, des gens en promenade , des sonnettes du travail. Pas même l'ombre d'un réservoir, d'un véhicule blindé, des soldats, ou même long de des routes d'accès de grand visibilité désertique . Nous nous sommes mélangés au peuple, sans gardes, sans aucune mesure de sécurité et nous n'avons obtenu, autre que rejettes au terrorisme des islamistes et du désir de la paix. Pas que à Homs et dans des lieux similaires ils n'y soient pas des opposants et que n'ils y soient des éléments cachés armés à la solde de la déstabilisation. Un groupe traditionnel et consolidée des Frères Musulmans a été un terrain fertile pour ça. Il l'a bien compris quoi signifie le jeune cinéaste français. Mais nous aussi, quelques heures avant, mais encore sans des résultats tragiques pour l'instant.
Ils nous ont fait aller à l'hôpital civil (soins , santé et éducation gratuite en Syrie, une très grave provocation à la mondialisation). Certains sanitaires, aucun malade, si non dans la salle d'urgence, un hôpital vide. Une collègue de la RTL allemande, hystérique et provocatrice à 360 degrés, comment il peut l'être une un sujet décérébré a cause de son ignorance, et de ses préjugés et aussi d'arrogance explose en colère: "Vous êtes des idiots, vous nous faite visiter un hôpital vide, donc vous nous cachez vos victimes ..." Qui nous a accompagnés à l'intérieur, des Syriens, souvent des étudiants, résidents à l'étranger, mais qui sont venus comme bénévoles en se précipitant dans leur pays pour donner avec des compétences linguistiques, une main dans la gestion des médias étrangers, alors, nous amènent à voir les voies fenêtres et des couloirs perforé par des balles. L'imbécile collègue qui n'a pas compris l'explication qui nous a été donnée au début: "nous vous emmenons à voir un un hôpital vide des patients, car il a été attaqué à plusieurs reprises par des éléments armés. Les insurgés ne veulent pas faire fonctionner la ville, ils veulent la paralyser à partir par les structures de base comme celle-ci et ensuite en blâmer Assad. En cas de blessure ils veulent te faire mourir".
Il avait raison, le gouverneur de la province de Homs, Ghassan Al Abudl lors de la visite de l'hôpital vide quand nous a dit que c'était instructif. Un autre ce gouverneur qui, comme tous les Syriens qui j'ai rencontré, il exprime sa stupéfaite plus qu'en colère, constatation du "décalage entre la réalité effective et la réalité rapportée par les médias", et des offres rejetées des réformes de façon systématique, et il nous jure qu'ils n' y sont pas des zones sous contrôle des rebelles, qui reflète comment pendant 11 mois de répression armée auraient du alors conduire à un bien plus grand nombre de victimes, qui a vu des manifestations de 200, 300 personnes, et entre eux pas plus de 10 rebelles armés qui tirent sur des policiers, transformées par les médias dans des immenses rassemblements pacifiques et celles ci d'un million et demi des pro- Assad tues et ignorés. Le jour avant, à Homs ont étés tués sept civils chrétiens et 10 policiers tous enregistrés dans les morgues, mais Al-Jazira a rapporté 17 manifestants tués par les militaires.
Comme quand je me promenais dans une Tripoli animée et paisible et Al Jazeera délirait des combats dans les rues et de la prolifération habituelle de "déserteurs de l'armée du dictateur ". Ici il y eu aussi quelque déserteur, mais il porte les degrés et on lui a rempli le compte en banque à Londres. Au contraire ils continuent d'être arrêtés des hommes armés par la Turquie et du Liban, d'où il les envoie Saad Hariri, ancien Premier ministre un ami d'Israël et de l'OTAN. Voila donc les données du gouverneur au sujet de l'ensemble du territoire du pays depuis Mars 2011: 3707 tués, dont 2 100 policiers et soldats, 324 enlevés et qui ont disparus, dans la province: 415 soldats, 503 civils, 186 corps pas identifiés. Des contacts avec l'opposition? Il n'en existent pas. Cette politique n'a ni programme, ni représentation et nous ne négocions pas avec l'opposition armée.
S'il a été vidé par la peur des attaques terroristes le grand hôpital civil de Homs, ceci de l'armée, lequel aux blessés frappés par les snipers on ne peut pas les refuser est tout plein. Ils y sont les agents et les militaires dans des conditions , parfois désespérée comme ceux que j'ai vu dans les hôpitaux de Sliten et Tripoli en Libye mais au moins ils ont échappé aux horreurs infligées aux civils et aux soldats que nous voyons dans les images des téléphones mobiles montrées à nous au quartier du Centre Communautaire, ensuite visité , avec aussi conséquences tragiques, par le groupe de Gilles Jacquier. C'est une expérience éprouvante. Des centaines de femmes et les personnes âgées qui viennent devant les caméras avec des photos encadrées de leurs proches tués avec des atrocités horribles dans les téléphones mobiles et des séquences de torture infligé par les «rebelles» aux victimes, égorgements, corps démembrés, des procédures exactement les mêmes pratiquées à Benghazi, Misurata, Tripoli occupée contre les noirs et "les gheddafiens", d'elles sont les garants les milliers de mercenaires en provenance de Libye déménagé ici du commandant militaire des rats à Tripoli, le fondateur d'Al-Qaïda en Libye Abdel Hakim Belhadj. Ces pères, ces mères, ces filles et ces sœurs, chassés par les partisans du colonialisme en revenant d'une galerie de la terreur quotidienne, ils ont des beaux visages arabes marqués par une douleur que ni larmes ni aucun cris d'angoisse sont capables des vous illustrer. On allume un léger souffle d'espoir quand ils nous demandent , tous avec insistance, comme l'invocation à un saint, de dire là-bas, hors du pays au moins, nous la vérité. C'est «sur cette humanité sanglante que la barbarie des mercenaires de l'OTAN a fait pleuvoir, peu après, ses armes, en s'emportant, au-delà qui cette vérité risquait de de l'emmener avec lui, sept membres de cette communauté et en laissant des dizaines des blessés, des mutilés, des aveuglés.
Ni Homs, ni Daraa, ni Alep ou Damas ou d'autres villes ils apparaissent militarisées, comme on pouvait s'attendre d'un "régime qui massacre sa population". Moins de circulation des agents armés que dans une de nos grandes villes et à l'égard d'un pays de la sphère Atlantique, comme par exemple le Mexique de la présumée guerre de la drogue et de la vraie guerre de classe , la Syrie est une aire de jeux pour enfants. Peut-être trop aussi, si la pre-veille du Noël 2011 a été célébrée par le terrorisme de l'OTAN, par des tierces parties, avec des voitures piégées contre les bâtiments de la Sûreté Nationale, 25 morts, 50 blessés dans un centre-ville, bondé du vendredi de vacances. Il est possible que les mesures de protection soient insuffisantes, il est possible que les autorités syriennes ne s'attendaient pas une telle escalade monstrueuse de terrorisme, mais il est fort possible que les maîtres du terrorisme mondial ceux qui savent comment faire tomber les tours jumelles et faire sauter les métros et les trains et tuer l'un après l'autre les scientifiques nucléaires iraniens aient essayé de donner une démonstration d'une guerre contre laquelle à la fin, ils n'y sont pas de défenses. La guerre de la peur, avant même la mort. Chez nous, la menace de l'abîme de la ruine méritée, pour compléter l'abattage sociale. Par eux arrive, la menace que votre vie et la vie de vos enfants s'accrochent sur le fil d'une Parque du destin dont les ciseaux ne connaissent aucune trêve, pour vous faire renoncer à la résistance et pour vous ramener à l'esclavage colonial . Face à ce "sequitur" (séquence) plutôt que obscènes, ils nous apparaissent grotesques les tentatives de «l'opposition», des assassins de la coalition la plus sauvagement féroce des États-terroristes de l'histoire, de charger sur les épaules du "régime"la responsabilité des attentats . Il y a une sorte de transfert ici: ils pensent que on peut faire croire aux gens qui aussi autres gens ici peuvent accomplir des crimes contre leur propre peuple , des quels ils sont très pratiques , à partir du 11 Septembre 2001.
Il a été un autre vendredi le 6 Janvier, que j'ai eu une expérience directe de tel terrorisme par les empreintes claires de spécialistes USraéliens. Choix des cibles, la manipulation et l'utilisation de d'opérationnels finales organisation et ressources, qui ne sont pas des,systèmes maîtrisés par la foule désordonnée de mercenaires en provenance de Libye, du Qatar, et de l'Afghanistan. Cette fois l'explosion (la voiture piégée, ou un homme-bombe?), pas loin des bureaux du gouvernement a eu lieu en face de la station de police du quartier central d'Al Maidan, sous un viaduc où il était placé le stationnement des voitures de police et des bus de la ville et où il était la rivière de la foule vers et à partir de la mosquée: 26 morts, des centaines de blessés ,11 agents de police, des autres civils à pied ou en bus. Le viaduc a été choisi comme une chambre d'explosion pour obtenir le maximum de massacre. Carnages de cette façon ont toujours une marque un mandataire. Ce dernier il est toujours le même, celui ci des missiles sur les maisons des hommes, celui ci des assassinats ciblés, celui ci de «la guerre de basse intensité». Celui ci du terrorisme d'Etat .
Avec une course comme des fous entre les voitures dardants de et vers le site du massacre, sirènes de la police, pompiers, ambulances, nous atteignons la place alors d'ou ils sont entrain d'enlever les derniers corps. Ceux qui peuvent encore tels les définir, parce que, par les murs, les trottoirs, les voitures éventrées, les plafonds, se rassemblent, entre vastes piscines de sang encore rouge vif qui serpent sur le sol, en formant des arabesques splatter tels que ceux créés par les ruisseaux de sang d'abattoirs sur la terre, inégaux, des fragments d'êtres humains, des demi crânes, des mains, des intestins des grumeaux indiscernables, tout au long des plusieurs des sièges dans les bus. Taches de sang sur le ventre du viaduc qui passe sur nous à 15 mètres de hauteur. Tout autour le silence de ceux qui vont travailler, un comprimé silence entrain de collecter, d'analyser, en rinçant, entrain de numéroter, et de circonscrire . Silencieux et pâles dans les bureaux, en se promenant sans aucun sens, les policiers du bâtiment dont les vitres ont été brisées, les murs sont fissurés, les meubles et les choses se sont dispersés et mélangés comme dans un jeu de Shanghai.
Un silence qui dure pour des instants éternels et, finalement, il est marbré de cris lointains de proche en proche, toujours plus fort et plus fréquents:, Allah, Bashar, Surya u bas. A la fin elles seront des milliers, des femmes en tête, en criant comme des ménades dans la tragédie grecque: entre des slogans à Bashar et la Syrie elles s'ouvrent de l'espace parmi la foule, aigus, ils sont les cris de ces femmes. Il semble quelque chose d' instinctif et immédiat. Mais si vous vous approchez vous entendriez un discours articulé, en anglais aussi lorsque elles vous reconnaissent comme un étranger, au sujet du terrorisme des réels États voyous, de la stratégie du colonialisme, au sujet de l'horreur de la tyrannie des islamistes , au sujet d'Israël qui est derrière chaque ennui subi pendant un demi-siècle dans ce pays, et au sujet de l' irréductibilité des choix d'un peuple ancien, conscient, courageux, très civilisé, et bon. Ils sont toujours les femmes, qui se montrent aux yeux devant nous pour donner des mots à la douleur, à la colère, à la clarté des choses. Comme en Amérique latine, en Egypte, en Libye, en Irak,ce sont les femmes a donner intensité aux contradictions véritables et, à s'assumer l'avant-garde. Meilleures que les autres, elles savent sur leur peau quoi c'est en jeu.
J'avais vu des gens déchiquetés par les bombes, brûlés par le phosphore, fusillés , marqués à vie par la torture, des enfants serbes mourants hors des incubateurs pas en fonction a cause des bombes de D'Alema, des dévastations sans fin, des corps blanchis, vidés de leur sang, extraits par les décombres, un ami journaliste de l'Irak, Ayub, brisé par un missile à Bagdad. Mais combien j'ai été giflé par la vue du carnage d'Al Maidan n'a pas aucune possible comparaison. Le cerveau est tout court-circuitée par excès des stimulations dans une façon qui est au-delà de l' imaginable. Une prise de conscience s'impose: ils y sont, ils y sont les Untermenschen, le sous-humains, et pas seulement ceux qui ont inventé ce terme , ils sont maintenant ceux qui étaient alors de l'autre côté. On est joint à la caméra comme une bouée de sauvetage et on filme on filme tout autour, on filme jusqu'au moment des enterrements, immédiates, le jour après, selon la règle islamique où ils apparaissent dess imams, des prêtres chrétiens, des ministres, des dignitaires et la foule habituelle immense, composée en face de la rangée épuisante des cercueils avec le drapeau nationale, mais qui éclate dans des invocations frénétiques et des malédictions à la clôture de la cérémonie. A l'intérieur de la mosquée les hommes à genoux et qui, avec les mains avancées, pleurent sur des cercueils, des drapeaux et des photos des humains volés de leur vie.
Ils ressemblent le trailer du film: "Syrie".
En voyageant à travers des villes et des villages, en voyant par la voiture courir les étals pleines de comestibles, des magnifiques et variés légumes, brillant montagnes, des fruits, du pain, des gâteaux, de la viande, et des foules qui vont se relayer en se promenant à travers Hamidiyeh le meilleur souk du Moyen-Orient, scintillant de tissus et de bijoux, elle ne semble pas avoir causé des effets si forts, la grêle des sanctions qui empêchées à l'ONU, par la Russie et la Chine, sont illégalement imposées par divers gouvernements et organisations de l'Alliance des fossoyeurs, des États-Unis, de l' Union européenne , du Règne Uni et de la France. Et par la Ligue arabe, cette Hydre aux têtes couronnées, fouet des serpents secoué en première personne par l'obèse despote du Qatar Hamad bin Khyalifa Al Thani expression morphologique de sourde ruse, d'arrogance et de corruption.
En ayant pris la tête du bâton de l'offensive vendéenne , à côté des plus prudents Saoudiens , ce protagoniste de l' involution arabe, après avoir contribué avec de l'argent, des moyens, des médias et des mercenaires à la désintégration de la Libye, il est maintenant le partisan le plus véhément de l'intervention militaire arabe en Syrie . L'émir prétendait pour un période à être anti-israélien, mais il s'est avéré au contraire un allié crucial en devenant le trésorier de la confrérie des mercenaires musulmans islamistes, et de ces Frères Musulmans, qui sont depuis le debout toujours un cheval de Troie des intérêts occidentaux, qui depuis plus d'un demi-siècle rêvent une revanche contre les le nationalisme arabe anti-impérialiste et anti-israélien socialiste et laïque de Nasser,de Saddam Assad, de Kadhafi , de Bouteflika,de Boumediene, de El Hamdi (Yémen) et de Nimeiry. Mais si les étals et les boutiques sont bondées et Damas s'étouffe dans le smog, d'un trafic d'un niveau romain, chaotique, mais civile, c'est rare écouter la corne et jamais des insultes et des bagarres entre les conducteurs qui nous rendent des brutes en comparaison , dans mon hôtel mauresque, évocation fidèle des Milles et une Nuits, entre des fontaines, des poteries, des laitons polis pour le café, des plantes luxuriantes, je suis le seul hôte pour une cinquantaine de chambres. Mais aucun membre du personnel a été licencié en raison de la crise et tous me remplissent d'une exubérance d'attentions et des sourires qui devrait normalement être répartie entre des nombreux clients. Le personnel est arabe, kurde, druze, chrétien, et musulman. Ils se comportent comme si l'hôtel était au complet: ils polissent les laitons, ils traitent les fleurs, il balayent et lavent, ils te portent chaque deux minutes le CIAI qui est le thé à la menthe qui en comparaison rend le Twining-thea eau coloré. Tout doit être à sa place quand ils retourneront les clients. Car ils seront de retour dans une Syrie victorieuse. Pendant ce temps, ils prennent soin de son amitié avec moi, après le récit et les questions relatives aux enfants, aux souvenirs d'école, l'explosion inévitable de la colère contre les médias en tant que faux et traitres, dont eux gens évolués, ils ont une connaissance directe, comme en explosant de rage contre l'ennemi sur le terrain et aux portes. Premier sur la liste, sans faillir, c'est l'émir du Qatar, la menace d'anéantissement de tout ce qui a été acquise au cours des années, des siècles. Ils ont un flair fin les mecs eihn? Conscientes du colonialisme, féroce mais pas encore vaincu les Syriens, ils en savent reconnaître instantanément la réapparition, et tous les collabos qui le facilitent. Parmi eux, chaque observation attentive, ces gars-là se montrent à moi comme une famille solidaire et affectueuse. La casser en les ayant obscurcis pour les faire battre les uns contre les autres, voila c'est ça l'arme de l'Empire, avant qu'il intervienne un complexe militaire-industriel moteur de la barbarie néo-libérale et de la solution finale.
De l'acharnement des sanctions agressives contre la Syrie, qui est ciblée comme dans les cases de l'Irak, de l'Iran et de la Libye, à plier sur les genoux la résistance populaire à travers des guerres entre gens pauvres et des frustrations dont donner la charge au gouvernement, l'effet le plus dramatique et visible est la disparition du tourisme, qui est la deuxième rentrée la plus importante l'économie syrienne. Et après ils y sont les innombrables énormes bâtiments populaires inachevés . Des squelettes décharnés aux cercles noirs, généralement ils montrent l'habituel vol des fonds souverains à l'étranger, l'effondrement des importations, la paralysie industrie du bâtiment, secteur productif portant de l' économie. Si le pays est, grâce à une florissante industrie agro-alimentaire largement auto-suffisant au plan alimentaire, si les produits textiles traditionnelles syriens ne nécessitent pas d' une intervention étrangère pour répondre aux besoins internes, le tourisme des inégalées beautés naturelles et richesses historiques très bien préservés, il a été la première victime de la démagogie et de l'irruption des gangsters armés, plus que tout, cette fanfare médiatique engagée au bout de la transformer une couleuvre dans un serpent cobra. Ils en souffrent fortement tous les services liés à l'hôtellerie, au transport, à la restauration, aux produits de l' élégant artisanat arabe. Elle deviendra bien sure encore plus sérieuse, dans l'absence d'une défaite de la conspiration coloniale- réactionnaire la pénurie du carburant et du mazout. La Syrie , pays qui est modeste, producteur de pétrole a juste assez pour la consommation domestique, mais il a perdu les même très profitable débouchés extérieurs et a une très limitée capacité de raffinage. L'affaiblissement de ces hydrocarbures ira avoir l'effet désiré et une fois déjà réalisé en Irak (Souvenez vous d'un demi-million des victimes de l'embargo occidentale?) et en Libye, c'est à dire, la paralysie de la vie sociale et économique, qui a eu comme seul résultat des difficultés d'arriver au travail, aux installations scolaires et de la santé, aux marchés et pour rejoindre les familles. L'alliance avec l'Iran, et avec la moitié du Liban, les échanges commerciaux avec la Jordanie, hostile mais, pourtant attentive à ses intérêts économiques, le soutien de la Russie et de la Chine ont empêché jusqu'à présent de graves conséquences. Mais maintenant, ce serait le moment que dans les environnements anti-guerre du monde, on se dirigeait vers la dénonce du terrorisme génocidaire et qu'on fait des pressions pour arrêter les sanctions et les embargos qui ne visent pas, comme ce serait en Palestine, à punir les oppresseurs du peuple, mais hélas ils sont finalisés à l'usure de ceux qui au contraire résistent aux oppresseurs et aux agresseurs, en les faiblissant dans la santé, dans la morale et dans la fidélité à leur pays.
Un autre hôpital, un militaire cette fois dans la capitale. Dont le directeur est le général Maurice Mawad, un chrétien qui débute en se demandant pourquoi c'est si faible la voix du Pape au sujet des tragédies qui bouleversent les peuples arabes. Il plainte, avec une véhémence dictée par une participation directe dans le deuil de ses camarades au service de la patrie, le honteux camouflage par les médias occidentaux, des soldats qui sont tombés sous le feu des fils renégats du peuple syrien en s'immolant dans sa défense. Il se demande quoi, il aurait fait Barack Obama si dans son pays la communauté musulmane s'était soulevé contre l'Etat et elle aurait appelé comme des renforts, aussi gens comme des trafiquants de drogue mexicains et colombiens, ou bien s'il subissait des sanctions et des «opérations spéciales» russes et chinoises. Lorsque j'ai lui demandé si la Syrie n' aurait pas l'impression d'être isolée dans ce contexte géopolitique et géographique, avec autour d'elle des ennemis dans presque toutes les frontières et dans la soi-disant «communauté internationale», après avoir cités les prévisibles amis Russes, Chinois, Iraniens, Irakiens, même les Irakiens du régime chiite , il réaffirme un principe - Ils y sont des gouvernements qui sont à nous hostiles, et pas des peuples - et ça est si vrai, dans un monde composé du 99% contre l'1%, c'est à dire le fait de voire comment il est déformé par les tyrans oligarchiques des médias.
Il reprend également ce concept al Mourad Elias, qui est le président de l'Union des Journalistes et l'ancien directeur du journal Baath, quand il dit qu'un gouvernement peut résister si il est isolé dans le contexte international, comme par exemple Cuba, mais qu'il ne peut pas résister aussi une journée seule si il est isolé par son peuple et s'il ne soutient pas surtout la composante de son peuple la plus dans le besoin. Avec Elias on m'offre également l'occasion d'entrer dans le sujet de la situation institutionnelle et des réformes en cours. «Ils y sont neuf partis politiques dans le pays et au parlement, deux entre eux ils sont communistes, tous subventionnés dans l'organisation, la promotion et les publications. Seulement le Parti Baath il est auto-financé. Nous demandons à tous ceux qui veulent créer un parti de soumettre 7000 signatures recueillies en proportion au nombre de la population dans toutes les provinces. C'est vrai que le parti Baath avait un rôle dominant, mais ça fut une nécessité pour la naissance et la croissance du pays, afin d'assurer l'unité et la résistance constante aux agressions extérieures. La majorité des suffrages n'a jamais manqué et je peux assurer que les moyens de communication dans les mains de l'Etat n'ont jamais été à sens unique et trompeurs comme les vôtres ou vous prétendez de vous récolter la réalité ».
Maintenant, il me dit encore le journaliste, «il est à l'œuvre sur la nouvelle constitution un comité de 27 personnes. Ils y sont représentés le Parti Baath et toutes le oppositions politiques, les diverses religions, les Kurdes, et en plus les meilleures entre nos avocats. Le projet sera soumis au parlement exprimé par un vote libre et contrôlée, le Parlement proposera des modifications, on sera donc la reconnaissance du président et ensuite la légitimité parmi le vote populaire Il restent trois points essentiels aux quels on ne peut pas renoncer: le rôle du président, la laïcité et le pluralisme religieux, la relation conflictuelle avec Israël . Et il se termine par une référence à l'Évangile: "Jésus avait seulement 12 apôtres, et il fut assez seulement un entre eux qui a pris l'argent et il a changé l'histoire. Nous sommes 23 millions en Syrie, et des Judas, il y n'a peu." La large route entre les villages et le rien noirci d'un désert qui a rendu ces gens forts, parfois durs, toujours en voyage et la recherche entre eux pendant des millénaires, où s'élèvent des preuves d'intelligences fortes et indomptables lointaines dans le temps, confuses dans l'air vibrant entre des montagnes pierreuses, est en grande partie la même qui mène à Bagdad en provenance d'Amman. C'est «le chemin de Damas, des révélations qui déterminent des déclenchements historiques. Je l'ai parcouru plusieurs fois pendant plusieurs décennies, quand Damas et Bagdad scintillaient de force, de justice, de dignité. Qualité intolérable pour les loups-garous, qui de leur nuit de la raison et de la terreur, ils se sont lancés famines sur ces routes de l'humanité en chemin. En 1991, l' "opération Tempête du désert", quand pendant trois mois les américains lancèrent plus des bombes sur l'Irak que sur l'Allemagne tout au long de la durée de la Deuxième Guerre mondiale, dans les années '90, lorsque la boucle de l'embargo a exécutés 1,5 millions d'innocents, dont 500 mille enfants en 2003 quand, avec "l'opération Frappe et Terrorise"" le pays a été cannibalisé, mais ensuite jamais remis en soumission, si elle n'est pas la soumission d'une clique de vendeur de patries. Et comme d'habitude je me trouve à respirer le parfum des dattes, du thé, des olives, de la viande de mouton rôti, du charbon de bois, et des briques de boue, et de toute cette humanité chaleureuse, un cordon ombilical fait de sourires, de souvenirs et de fraternité qui me lie à ces personnes comme l'assoiffé il est lié pour la soif à l' oasis dans le désert. "Que la Syrie, et que surement les meilleurs Arabe vivent." Dit Maxime Gorki, le grand écrivain russe révolutionnaire: "Tout le monde, mon ami, tout le monde vit pour quelque chose de mieux à venir. Voilà pourquoi nous devons respecter et être attentifs envers chaque homme. Qui en sait quoi il a dans lui , pourquoi il est né, et quoi il pourra faire. "Adam Mohammed me l'a répété à la façon arabe: "Vous avez à considérer bon chacun que vous rencontrez. Jusqu'au moment de la première expérience négative ".
Ils sont venus de l'ancienne Ugarit, aux côtés de la Latakiyah d'aujourd'hui, les Phéniciens qui ont déposé sur les plages de Trinacrie des offres des biens précieux, des aliments rares, et pourpre, du bien-être donc pour l'intérieur et l'extérieur. Ils ont obtenu en retour, zinc, fer, soufre. Et donc depuis ça ils commençaient d'autres échanges à niveau, de poésie, d'industrie, des sciences. Et ils commençaient aussi des d'autres communautés, encore plus grandes et plus colorées, à partir des ces côtes, ensuite , quelqu'un du notre circuit a jugé bon de lancer une Cartago Delenda Est. Incorrigibles et ingrats, de cette côte, nous maintenant répondons encore une fois avec le fer, mais avec le fer du crime, qui ne construit pas, mais au contraire il apporte la mort. Quoi peut nous intéresser si cet Etat, où ce sont enterrés les graines de notre connaissance, ne correspond pas au millimètre aux configurations sociales dont nous rêvons. C'est un notre problème. Quoi c'est important est qu'une nation, porteuse des valeurs humaines supérieures aux nôtres et donc elle est une garante du progrès humain lorsque de ce côté se trouvent les fossoyeurs, c'est au contraire qu'elle soit sous attaque par les forces de la fin du monde. Et même si la fin du monde est écrite, sans relâche, dans le firmament, ce n'est pas la peine de lutter contre ces monstres, ont ils donc les dragons, avant aussi que l'homme, empêché l'évolution vers l'harmonie? Ce n'est pas la peine d'embellir un éventuel épilogue en lançant des missiles de dignité dans les mâchoires du monstre? Quelqu'un dans le cosmos il doit le connaître et il doit continuer. Si non, à quoi servons-nous en existant?
Fulvio Grimaldi
MondoCane
le contre-blog
Veuillez signer (avec votre nom de famille,e nom et adresse), On espere qui la c'est fois qu'ils les laissent en paix ! SIGNEZ ET FAITES CIRCULER L'APPEL SUIVANT CONTRE LES SANCTIONS, LES AGRESSIONS ET LES MENACES DE GUERRE AVEC LA SYRIE ET L'IRAN. Générez des groupes à ce propos sur Facebook.
Bernd@freundschaft-mit-valjevo.de
À l'adresse ci-dessus, vous pouvez envoyer les adhésions à l'appel qui est né en Allemagne, et il a déjà recueilli des milliers de signatures et qui devrait devenir international.
Arrêtez les préparatifs de guerre !
Supprimez l'embargo !
Solidarité avec les peuples de l'Iran et la Syrie !
Dix mille morts, une population traumatisée,
une infrastructure en grande partie détruite,
un État désintégré :
Voici le résultat de la guerre menée par les États-Unis et l'OTAN pour piller les richesses de la Libye et la position de dominateurs coloniales. C'est préparé désormais ouvertement une guerre contre la Syrie et l'Iran, des pays stratégiquement importants et riches en termes des ressources minérales en menant une politique indépendante et pas soumise aux ordres des puissances occidentales. L'agression de l'OTAN contre la Syrie ou l'Iran pourrait conduire à se diriger à une confrontation avec la Russie et la Chine, avec des conséquences inimaginables. Avec les menaces constantes de la guerre, le placement des forces militaires sur les frontières de la Syrie et l'Iran, comme avec des actes terroristes et de sabotage effectué par des forces spéciales infiltrés, les États-Unis et les pays de l'OTAN cherchent d'imposer à ces États une condition d'urgence qui sert à les faiblir. Cyniquement et avec mépris pour les droits de l'homme, les États-Unis et l'Union européenne tentent avec pénalités et sanctions de paralyser le commerce et les échanges financiers de ces deux pays. L'économie de la Syrie et l'Iran vient de tomber dans une crise aiguë qui faudrait augmenter le chômage croissant et de cette façon au bout qu'ils s'aggravent considérablement les livraisons de biens essentiels. Afin que les évenctuels conflits intérieur ethniques et sociaux doivent être accentuées et qu'ils se développent dans une guerre civile, afin de créer des prétextes pour une intervention militaire depuis longtemps programmé. Cette est la stratégie de sanctions et de pressions militaires menée par l'Union européenne et par notre gouvernement. Nous appelons les citoyens, les partis politiques, les syndicats, les mouvements de paix, les églises parce qu'ils s'opposent systématiquement à cette politique de guerre. Nous appelons notre gouvernement à suspendre immédiatement et sans condition les mesures disciplinaires contre la Syrie et l'Iran ; -Nous devons faire appel à nos gouvernements pour qu'ils ne participent pas en aucune manière à une guerre contre ces États et pour qu'ils ne permettent l'utilisation d'installations nationales pour l'agression de l'OTAN ; -nous demandons à eux de s'engager à niveau international pour mettre fin à la politique de chantage et des menaces de guerre contre la Syrie et l'Iran. Les peuples de la Syrie et l'Iran ont le droit de décider tous seuls et souverains l'ordre politique et économique de leur société. Nous devons demander le maintien de la paix et exiger qu'il soit absolument respecte le principe de non-ingérence dans les affaires intérieures des autres États.
Pour signer on line:
http://www.freundschaft-mit-valjevo.de/wordpress/?tag=iran#
Fulvio Grimaldi, www.fulviogrimaldicontroblog.info
source: http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2012/01/la-rosa-purpurea-di-damasco.html
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