19/01/2012
On assiste à un' augmentation de l'intérêt des entreprises financières multinationales pour les business "pauvres", à partir des pensions jusqu'aux prestations de sécurité sociale. Tout devient une occasion pour les privatisations, l'imposition des comptes courants et des cartes de crédit (voir la «flexi-security»). Il faut «libéraliser», mais les assurances deviennent obligatoires sur tous: en plus des femmes au foyer, les professionnels doivent désormais être assurés et les conducteurs, au lieu d'un coupon, ils doivent avoir une puce électronique.
L'assaut du lobbying des banques aux affaires pauvres a déterminé que même la catégorie de conducteurs se trouve maintenant dans le collimateur. La «libéralisation» des taxis a déjà eu lieu depuis des années aux Etats-Unis, où presque tous les chauffeurs de taxi sont des immigrants. Des travailleurs de l'Inde, du Pakistan ou des Slaves ont été contraints dans leur propre pays des 'emprunter avec certaines agences financières, pour être amenés après à émigrer afin de pouvoir payer au moins les intérêts sur leurs dette. L'émigration n'est pas un choix, mais une conséquence de la dette personnelle, et si la «corporation» des chauffeurs de taxi n'est pas hors du chemin, les agences financières n'ont aucun moyen de percevoir une rémunération des dettes. Il ne faut pas dire donc, car c'est clair que les agences financiers font partie de presque toutes des sous-groupes des grandes banques internationales. [1]
Considérons donc à ce point combien la question des migrants rendra plus facile de gouverner cette «libéralisation», qui sera réduite à un conflit raciale-ethnique, en mettant les victimes les unes contre les autres. Contre la «corporation» des chauffeurs de taxi pourront également être utilisés des accusations de racisme et de xénophobie.
Déjà dans ce moment la, des chauffeurs de taxi sont ciblés par les médias, et pas seulement comme un obstacle à la «croissance», mais - comme nous avons découvert par le programme TV «Report» - ils sont même une bande des fraudeurs fiscaux. Entre peu de temps, c'est probable que aux chauffeurs de taxi il seront également attribués à des crimes contre l'humanité, des violations des droits l'homme et la lapidation des femmes adultères.
Ces tons de psyco-guerre impérialistes contre les "sociétés corporatives" ne sont pas une anomalie de la propagande, mais ils sont tout à fait conformes, car l'objectif la libéralisation du commerce est dans le "Business & Economics Program" du Conseil Atlantique, l'organe de direction de l'OTAN.
Mais quoi a faire l'OTAN avec la «gouvernance» de l'économie mondiale? Il semble hors de propos. L'OTAN ne s'occupe pas seulement des bombardements, au contraire les bombardements sont effectivement utilisés pour gérer l'entreprise, c'est la synergie entre les banques et les bombes: Les bombardiers et bombanquiers.
Parmi les membres de la conseillère du groupe "Business & Economics Program" qui traite des «libéralisations», il y a aussi un tel professeur Mario Monti, président de l'Université Bocconi de Milan. Les nouvelles viennent du site web du Conseil de l'Atlantique [2].
La chose ridicule est que quelqu'un s'inquiète du fait que Monti soit dans la Trilatérale et dans le Bilderberg, même lorsqu'il fait partie du Conseil de l'Atlantique. En bref, Monti n'est pas un n'importe le quel garçon des courses ou , mais il appartient à la ligue des lobbyistes; Et tout ça explique pourquoi la Merkel et Sarkozy le traitent avec grande déférence. Monti, au sein du Conseil Atlantique du Nord est considéré comme une sorte de prophète, au quel tous pleins d'anxiété poser des questions quant au sort de l'économie mondiale. Monti aux questions répond toujours avec les sottises habituelles, mais avec son style unique très sobre. L'entrevue a été publiée en 2009 et elle se trouve dans le site web du ConseilAtlantique [3].
Parfois les journalistes se réveillent de leur léthargie au sujet du marché pour tout à coup découvrir qu'il ya du lobbying déguisé. Il semble que les analyses de Standard & Poor soient triviales banalités ou même absolue émérites sottisses bonnes a rien, du type: si les mesures anti-crise iront échouer, alors l'économie européenne par conséquence ira mal tourner. Il semble même que Standard & Poor soit sous le contrôle direct de la droite américaine et des républicains, et que la propriété de l'agence de rating soit dans les mains des fonds d'investissement. Donc les agences de rating ne seraient qu'un signal de départ pour le vol d'un pays déterminé. Mais comment aurait pu la presse européenne découvrir cette magouille? C'est réveillée soudainement, même la Consob, qui a demandé à l'agence de vigilance européenne Esma, une enquête sur les conflits d'intérêts des agences de rating [4]
Dommage c'est que après ça tous vont ensuite re-tomber en léthargie et qu'ils continuent à traiter comme des «techniques» d'autres lobbyistes comme Mario Monti et ses ministres.Aujourd'hui, l'OTAN est l'organisation de lobbying bancaire la plus puissante, dans laquelle la part du lion est interpreté par la JP Morgan, Deutsche Bank et comme d'habitude par la Goldman Sachs. Un autre fournisseur de prédictions précieux sur l'économie mondiale, en effet considéré le numéro un de l'industrie, est Robert Zoellick, directeur exécutif de la Banque mondiale. Zoellick est devenu une sorte de divinité tutélaire du Conseil Atlantique du Nord,et il est servi et vénéré et aussi écouté religieusement. Ou bien c'est quoi qu'on nous dit dans le site web du Conseil Atlantique.[5] Le curriculum de Zoellick, publié par la Banque mondiale, dénote, toutefois le manque habituel d'originalité: car en effet il vient par Goldman Sachs, où il était vice-président [6]
Alors pourquoi la Consob ne se décide pas à demander à l'ESMA également d'enquêter sur les conflits d'intérêts de l'OTAN et de la Banque mondiale?
[1] http://www.prestiti.it/finanziarie
[2] Business and Economics Advisors Group
[3] 5 Questions for Mario Monti
[4] Intervista al presidente Consob Vegas: «Abbiamo chiesto all'Esma di indagare sul declassamento»
[5] Robert Zoellick Assesses the World Economy
[6] Robert B. Zoellick 11th Chief Executive of World Bank - Biography
source: ANARCHISMO.COMIDAD
"MARIO MONTI, LOBBISTA DEI BOMBANCHIERI DELLA NATO"
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