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lundi 9 avril 2012

Les bizarres divisions du monde arabe

Le fait que l'autorité nationale palestinienne (PNA) soit entre les mains de gens sans les compétences politiques nécessaires pour diriger le pays dans la lutte contre les envahisseurs sionistes, n'est pas une nouveauté. 
Exactement comment est également déterminé la nature réactionnaire du mouvement du Hamas, qui a donné un autre coup mortel à la cause du peuple palestinien, en retournant dans le lit de la rivière des « Frères musulmans » sous le parrainage  du Qatar et des États-Unis indirectement. Finalement ils sont tous d'accord (sauf le peuple bien sûr): ils veulent deux peuples, deux États.  Une formule indécente qui va décider la fin la résistance et qu'ira donner aux Palestiniens un petit camp de concentration où même l'eau potable ne sera pas garantie et au contraire aux Israéliens sera donnée la garantie de facer l'opinion publique mondiale sans les « J'accuse » des organisations humanitaires sur le traitement des Arabes. En face à cette catastrophe, le peuple palestinien ne peut plus compter sur sa classe dirigeante, corrompue et politiquement inappropriée. Une preuve encore de cet échec a eu lieu ce samedi 7 avril dernier, lorsque la conférence organisée par «Stato & Potenza» sur la question palestinienne et les ennemis internes et externes. 


Parmi les conférenciers il avait été invité S.E. HANI GABER, Consul de l'Autorité Nationale Palestinienne en Italie, qui a refusé de participer en raison de la présence dans la salle d'armoiries de la République de Syrie et du Mouvement de Résistance libanaise « Hezbollah ». Peut-être c'est possible que « son eminence », aurait il préféré une initiative basée sur la paix entre les Palestiniens et les Sionistes ? On parle de ces bouffonneries typiques de la gauche politiquement correcte (parrainée par Israël), où apparait  le drapeau israélite et le drapeau palestinien avec écrit un beau « Shalom »!, et aussi des nombreuses poignées de main et fausses sourires, et pour ça donc la mort des arabes peut elle continuer pas perturbée ?


Pourquoi s'embêter pour le drapeau de la Syrie et du Hezbollah ? Parce qu'ils sont les seuls, avec la République islamique d'Iran, à lutter vraiment contre l'entité sioniste, et si la Palestine sera un jour libérée il sera possible , grâce à cet axe politique et militaire. Les formations VRAIMENT résistantes tels que le Front Populaire Commande Général, d'Ahmed Jibril et le Djihad islamique, en sont parfaitement conscientes. Par conséquence, les représentants de l'Autorité Palestinienne n'acceptent pas la présence des Libanais, des Syriens et des Iraniens. Alors que nous n'accepterons  jamais de reconnaître Monsieur Gaber comme le représentant de la Palestine.  




source:http://www.statopotenza.eu/3162/le-strane-divisioni-del-mondo-arabo







Réunion-débat: « La Palestine entre ennemis internes et externes », Samedi 7 avril Brescia Italie



Haut-parleurs inclus :
DOTT. CARLO REMENY, Journaliste, directeur de l'Agence d'information Arabmonitor (http://www.arabmonitor.info/)
Il serait du intervenir S.E. HANI GABER, Consul de l'autorité nationale palestinienne en Italie
DOTT. ALESSANDRO IACOBELLIS, Stato & Potenza – Expert du Moyen-Orient
DOTT. ANDREA GIACOBAZZI, Auteur de livres historiques : “Il fez e la kippah” et “L’Asse Roma-Berlino-Tel Aviv”.
OUDAY RAMADAN, Communiste Italien-Syrien
MAHDI SASSO, de l’Asso. Islamique Imam Mahdi
Présente et modère, STEFANO BONILAURI


http://youtu.be/BHzkxahETSE

http://youtu.be/PjuRqbV4NkI

http://youtu.be/UQJ6b5PPDPU

http://youtu.be/OQPiOMZm8-4

jeudi 1 mars 2012

Hamas Adieu à la Syrie


29.02.2012
Le mouvement islamique palestinien a coupé ses liens avec le régime de Bashar El-Assad, qui l'a protégé et soutenu pendant une dizaine d'années. Beaucoup des dirigeants en exil, à commencer du leader Khaled Meshaal ils se sont installés aux Qatar 
La sortie du Hamas de la Syrie est complète et définitive. Le bureau de l'organisation à Damas n'est pas fermé mais dans ses vides chambres on ne s'entend un seul mot. Le mouvement islamique palestinien a coupé ses liens avec le régime de Bashar El-Assad, qui l'a protégé et soutenu pendant une dizaine d'années. Beaucoup de dirigeants en exil, à commencer par le leader Khaled Meshaal ont déménagé à Doha au Qatar qui est devenu le nouveau sponsor du Hamas et a voulu prendre la place de l'Iran sont parmi les principaux partisans du mouvement. Autres cadres, comme le numéro deux de l'organisation, Musa Abu Marzuk, s'est installé au Caire. Donc c'est de l'Égypte que les groupe des leaders du Hamas a décidé vendredi dernier de proclamer pour la première fois en publique son affectation par Assad et de soutenir ouvertement la révolte en Syrie. 
Un déménagement qui a eu lieu alors qu'il était tenue à Tunis, la réunion des soi-disant « Amis de la Syrie » et qu'aussi indique un refroidissement des relations avec Téhéran, alliés de Damas,que même s'il y a quelques semaines, avait reçu comme un chef de l'Etat, le premier ministre Ismaïl Haniyeh du Hamas, et aussi avec le mouvement chiite libanais Hezbollah, allié de Téhéran et Damas. Propre Haniyeh ce vendredi dernier, a célébré la révolte contre El-Assad. « Je salue tous les gens du printemps arabe ou plutôt de hiver islamique . Je salut le peuple syrien héroïque combattant pour la liberté, la démocratie et les réformes, » dit le premier ministre du Hamas en face d'une foule de milliers de personnes qui se sont réunies en face de la mosquée de Azhar au Caire, la plus grande école de théologie des sunnites. « Non, non à l'Iran, non au Hezbollah la Syrie est islamique », a répondu à la foule avec une référence évidente à la composition alawite et donc chiite, du régime de Damas. 
Le éloignement du Hamas du le régime syrien n'est pas seulement le résultat d'un repositionnement politique, plus pragmatique et modéré, sous l'impulsion de son dirigeant sortant Khaled Meshaal. Et il ne vise certainement pas à soutenir la démocratie et des réformes en Syrie, les chefs du Hamas en effet sont restés pendant des années à Damas, bien protégés par le père Assad et ensuite par le fils Assad et ils n'ont jamais ouvert leurs bouches au sujet des violations des droits de l'homme et des libertés refusées aux Syriens. Le Hamas, et beaucoup des gens le souviennent, qui est un mouvement sunnite et pas seulement islamique et il a du faire un choix du champ en face au conflit syrien qui prend de plus en plus les caractéristiques d'un affrontement sectaire entre minorité alawite au pouvoir et la majorité sunnite. Dans la décisions du Hamas a joué un rôle aussi le petit mais entreprenant Royaume du Golfe (proche allié des États-Unis) le Qatar, qui après avoir soutenue activement l'intervention de l'OTAN en Libye, a renforcé son statut dans la région. Doha finance la Fraternité musulmane et des mouvements similaires à la Tunisie, l'Égypte, la Libye et la Syrie. Et le Hamas - qui a eu sa naissance en 1987 par les frères musulmans de Gaza- a compris que son « tournant modéré » s'accompagnera d'une généreuse contribution de l'émir du Qatar.

MICHELE GIORGIO
envoyé à Gaza du Manifesto