Affichage des articles dont le libellé est salafistes. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est salafistes. Afficher tous les articles

jeudi 12 avril 2012

Procès Arrigoni: Maintenant les accusés rétractent


C 'est une claire tentative  de charger tous les responsabilités   sur les deux autres membres du (présumé) groupe salafiste», qui a enlevé Vittorio, et qu'ils ont étés tués dans une fusillade avec la police et qui donc ne peuvent pas raconter leur version des événements.

Gaza 12 Avril 2012, Nena News

Trois des quatre Palestiniens accusés d'enlèvement et de l'assassinat des Vittorio Arrigoni, qui a eu lieu le 15 Avril de l'an dernier dans la ville de Gaza, ont largement rétracté les aveux qu'ils ont faits au cours des interrogatoires qui ont suivi leurs 'arrestations par la police du Hamas.

Lors de la séance qui a eu lieu ce matin devant le tribunal militaire de Gaza dans une salle pleine des amis et des connaissances de Vittorio, Mahmoud Salfiti, Tamer Hasasnah et  Jram Khader, ont déclaré qu'ils avaient avoué «sous pression» leur participation à la l'enlèvement. Jusqu'à maintenant, ils avaient dit qu'il avaient disposé l'enlèvement dans le but d'obtenir la libération du cheikh al Maqdissi, le chef du groupe salafiste Tawhid wal Jihad arrêté quelques mois avant par le Hamas. Pour la plupart ils ont nié qu'ils étaient au courant du plan de tuer le militant italien qu'ils disent, avait été secrètement mis au point par les deux «leaders» du groupe, le Jordanien   Abdel Rahman Breizat et par  Bilal Omari, les quels ont été tués peu de temps après 'l'assassinat de Vittorio dans une fusillade avec la police.

Les trois, presque à l'unisson, ils ont dit que leur seul but était de "donner une leçon à l'italien," qui, selon eux menait une vie  inadaptée aux traditions et aux sentiments religieux qui prévalent dans la bande de Gaza.

C'est une tentative évidente mené par les avocats de la défense pour décharger toute responsabilité pour l'assassinat de Vittorio Arrigoni sur  Breizat   et Omari qui ne peuvent pas donner leur version des événements. 

source : Nena News

jeudi 1 mars 2012

Hamas Adieu à la Syrie


29.02.2012
Le mouvement islamique palestinien a coupé ses liens avec le régime de Bashar El-Assad, qui l'a protégé et soutenu pendant une dizaine d'années. Beaucoup des dirigeants en exil, à commencer du leader Khaled Meshaal ils se sont installés aux Qatar 
La sortie du Hamas de la Syrie est complète et définitive. Le bureau de l'organisation à Damas n'est pas fermé mais dans ses vides chambres on ne s'entend un seul mot. Le mouvement islamique palestinien a coupé ses liens avec le régime de Bashar El-Assad, qui l'a protégé et soutenu pendant une dizaine d'années. Beaucoup de dirigeants en exil, à commencer par le leader Khaled Meshaal ont déménagé à Doha au Qatar qui est devenu le nouveau sponsor du Hamas et a voulu prendre la place de l'Iran sont parmi les principaux partisans du mouvement. Autres cadres, comme le numéro deux de l'organisation, Musa Abu Marzuk, s'est installé au Caire. Donc c'est de l'Égypte que les groupe des leaders du Hamas a décidé vendredi dernier de proclamer pour la première fois en publique son affectation par Assad et de soutenir ouvertement la révolte en Syrie. 
Un déménagement qui a eu lieu alors qu'il était tenue à Tunis, la réunion des soi-disant « Amis de la Syrie » et qu'aussi indique un refroidissement des relations avec Téhéran, alliés de Damas,que même s'il y a quelques semaines, avait reçu comme un chef de l'Etat, le premier ministre Ismaïl Haniyeh du Hamas, et aussi avec le mouvement chiite libanais Hezbollah, allié de Téhéran et Damas. Propre Haniyeh ce vendredi dernier, a célébré la révolte contre El-Assad. « Je salue tous les gens du printemps arabe ou plutôt de hiver islamique . Je salut le peuple syrien héroïque combattant pour la liberté, la démocratie et les réformes, » dit le premier ministre du Hamas en face d'une foule de milliers de personnes qui se sont réunies en face de la mosquée de Azhar au Caire, la plus grande école de théologie des sunnites. « Non, non à l'Iran, non au Hezbollah la Syrie est islamique », a répondu à la foule avec une référence évidente à la composition alawite et donc chiite, du régime de Damas. 
Le éloignement du Hamas du le régime syrien n'est pas seulement le résultat d'un repositionnement politique, plus pragmatique et modéré, sous l'impulsion de son dirigeant sortant Khaled Meshaal. Et il ne vise certainement pas à soutenir la démocratie et des réformes en Syrie, les chefs du Hamas en effet sont restés pendant des années à Damas, bien protégés par le père Assad et ensuite par le fils Assad et ils n'ont jamais ouvert leurs bouches au sujet des violations des droits de l'homme et des libertés refusées aux Syriens. Le Hamas, et beaucoup des gens le souviennent, qui est un mouvement sunnite et pas seulement islamique et il a du faire un choix du champ en face au conflit syrien qui prend de plus en plus les caractéristiques d'un affrontement sectaire entre minorité alawite au pouvoir et la majorité sunnite. Dans la décisions du Hamas a joué un rôle aussi le petit mais entreprenant Royaume du Golfe (proche allié des États-Unis) le Qatar, qui après avoir soutenue activement l'intervention de l'OTAN en Libye, a renforcé son statut dans la région. Doha finance la Fraternité musulmane et des mouvements similaires à la Tunisie, l'Égypte, la Libye et la Syrie. Et le Hamas - qui a eu sa naissance en 1987 par les frères musulmans de Gaza- a compris que son « tournant modéré » s'accompagnera d'une généreuse contribution de l'émir du Qatar.

MICHELE GIORGIO
envoyé à Gaza du Manifesto


mercredi 7 décembre 2011

7 ème audition ce matin pour Vik

7 ème audition ce matin 05/12/2011 pour Vik une grande présence d'amis et de proches des accusés, le procès commence par l'écoute d'un autre témoin, Abdel Razek Abou Harb, 40 ans résidant à Gaza, qui travaille au ministère de l'incendie (où ils travaillent aussi les autres accusés) les avocats de la défense s'opposent. 

L'avocat: nous nous opposons car "ce texte n'est pas écrit dans les procès-verbaux de l'enquête et donc son témoignage n'est pas légal. Nous n'avons pas eu communication de ça rien et alors il dit ce témoin pour nous, il n'est pas "acceptable.

Accusation: Le témoin a déjà publié sa déclaration, et si vous regardez attentivement entre les copies de l'enquête, il y a lu aussi. Pour nous la preuve ça va, nous n'avons pas d'autres questions à poser. La défense au contraire veut toujours allonger le temps donc demande qu'ils soient ajoutés des autres témoins clés, et lui demande de retarder le procès encore.

Juge: Le témoin sera entendu au tribunal et nous refusons la demande de la défense de l'omettre et de reporter la session. Le témoin présent est déjà écrit dans les actes avec sa déposition.

En suite il fait un reproche aux avocats de la défense: 
Juge: Vous ressemblez àdes enfants assis en classe qui n' écoutent pas la leçon, vous ne faite jamais aucune référence à l'enquête de la cause et demandez toujours références sans aucune intervention au sujet des actes d'accusation. Abdel le témoin est entendu 

Juge:. Est ce que tu connais quelqu'un des accusés? Est ce qu'ils y sont tes proches parmi eux? confirme tu ta déposition déja publié?

Abdel: J'ai des relations avec l'un des accusés, je ne connais qu'un seul, je confirme la déposition relâchée sans aucune pression sur moi.

Procureur: Il nous suffit la déposition on a pas d'autre questions. 

Avocat: connaissez vous les accusés? 

Abdel: seulement le 2 eme , Hasasna, je le connais parce qu'il est un co-travailleur.En tant que moi il travaille à Rimal dans les pompiers 

Avocat: Dans ton témoignage, quand on te demandait de quel parti faisait partie cette personne, tu a répondit qu'il était salafiste, pourquoi? l'ai tu connu avant ou après les faits? Abdel: J'ai répondu que j'ai entendu que c'était un salafiste, après les faits. 

Avocat: Avez-vous remarqué quelque chose de bizarredans son comportement avant que les faits? Est ce qu'ils y sont des motifs ou des preuves pour démontrer qu'il avait un rôle dans ce parti? 

Abdel: Je n'ai jamais été un ami de lui, je ne l'ai jamais fréquenté, donc je ne sais pas. 

Avocat: Vous avez dit que vous avez vu la victime souvent accompagnés par des femmes, sais tu s'il avait des relations sexuelles avec eux?

Abdel: Non, je ne sais pas.

Avocat: A tu jamais vu les femmes sortir tard dans la nuit de son domicile?

Abdel: Oui j'ai vu des femmes allant et venant de l'appartement. 

Avocat: A tu quelque chose de plus, quelque chose de bizarre ou qui n'était pas bonne?

Abdel: Non, je n'ai jamais vu rien d'étrange. 

Il est appelé le second témoin, mais Ahmad n'est pas présent, alors la défense a une autre fois demandé de reporter la session. Intervient dans la cour Khader Jreme un proche de l'accusé et demande au juge que soit entendu l'accusé et que sa position soit finalisé, ils y sont 8 mois, qu'il est détenu et la garantie vient à expiration (?) Les autres accusés sortent de la cage,en ne laissant que Khadr Jreme tout seul, le juge décide d'entendre ce qu'il a à dire la défense (l'Avocat Najar) à l'égard de son client.

Avocat: l'accusé est détenu depuis le 16 avril 2011 depuis environ 8 mois. Il a nié son implication dans l'enlèvement et dans l'assassinat, devant cette cour.
Il est actuellement chargé d'une accusation grave sans aucune preuve de son implication dans les événements. En outre les dates du rapport du Procureur général sont fausses entre la premiere et la deuxième interrogation. Nous déduisons qu'il ne fait pas partie de cette charge, il a avoué et a découvert ce qui s'était passé en travaillant avec la sécurité intérieure, il a tout dit et il a aidé la justice à prendre les autres accusés. Ce n'est pas juste qu'il reste en prison et il doit quitter immédiatement car il n'existe aucune preuve contre lui. Conséquent, nous demandons que l'accusé Jreme soit libéré parce que innocent et pas impliqué dans ce procès 

Accusation: L'accusé a été arrêté conformément à la loi 82/2000, car il était considéré comme faisant partie du groupe. Conformément à la loi 204 / 1936 (loi turque), il a agi avec les autres pour l'enlèvement de la victime et il a signalé l'objectif et il a accepté avec d'autres au sujet des modalités et desobjectifs de l'enlèvement. La demande a été que le gouvernement devrait accepter la libération d'un détenu. Pour ces accusations, le Code prévoit la peine de mort par pendaison ou la prison à vie. L'accusé est donc considéré comme dangereux et le ministère publicdemande qu'il ne soit pas libéré sous caution, car il pourrait contaminer les éléments de preuve et ça ne permettrait pas la continuation du procès.

Avocat: Selon l'Accusation tous les éléments de l'acte d'accusation sont dans le fichier que vous avez dans vos mains. En fait, si nous regardons bien les actes, dans les informations il n'est pas indiquée en aucune façon sa participation au meurtre de la victime. 

Juge: Nous rejetons la demande de libération de l'accusé Khader Jreme. Le procès est mis à jour au ce 19 Décembre 2011 prochain.



lundi 5 décembre 2011

VITTORIO: LA SEPTIÈME SÉANCE, LA VÉRITÉ LOINTAINE...

Mis à jour le 19 Décembre l'audience contre les assassins de Vittorio Arrigoni. Rien de pertinent pour établir la vérité. Encore pas de responsables de l'enlèvement et assassinat du jeune activiste italien, tué à Gaza ce 15 Avril dernier 

MARTA FORTUNATO


Beit Sahour (Cisjordanie), 05 Décembre 2011, Nena News - «Dans la maison de Victor ont été beaucoup de femmes?". Avec ces mots, l'avocat de la défense s'est tourné vers le seul témoin entendu aujourd'hui pendant le septième jour du procès aux ravisseurs et assassins de Vittorio Arrigoni. Cette fois encore la session, qui a duré 45 minutes, et s'est concentrée sur des questions secondaires et trompeuses et l'accusation n'a pas encore enquêté sur la véritable raison qui a conduit les quatre accusés - Tamer Hasasnah, Mahmoud Salfiti, Khader Jramet Amer Abou Goula - à enlever et tuer Vittorio Arrigoni ce 15 avril dernier. Le procès a été reporté au 19 Décembre et s'est terminé sans que aucun élément nouveau soit émergé pour établir la vérité. Ce matin, dans le tribunal militaire de la ville de Gaza, l'accuse a continué la présentation des témoins commencé lors de l'audience de 4 Novembre dernièr. La défense s'était initialement opposé à l'écoute des témoignages de ceux qui sont appelés par l'accusation, en disant qu'il n'a été pas écrit dans les actes. Le juge a demandé à la défense de lire les documents des actes avant l'audience et l'a accusée d'être «comme des enfants à l'école», contraires à tout et pas du tout intéressés à résoudre l'affaire. L'un des deux témoins, qui aurait dû être entendu aujourd'hui, ne figurait pas dans la cour,tandis que le second, un collègue de Tamer Hasasnah, n'a fait que confirmer les déclarations faites pendant l'enquête. Ces dépositions qui n'ont pas été lues, mais seulement confirmés, en empêchant ainsi au nombre de spectateurs présents dans la salle d' apprendre ce que a été émis par le témoin immédiatement après l'assassinat de Vittorio.
 La défense a demandé le report de l'audience, mais quelqu'un de la famille de l'accusé Jram Khader a demandé que le procès devait être terminé. L'avocat de la défense a déclaré que Khader n'est pas accusé par les actes d'avoir pris part à l'enlèvement ou à l' assassinat de Vittorio, mais, au contraire il fut le premier à parler et à coopérer avec la police. L'accusation a été d'un avis différent: Khader n'aurait pas seulement pris part à l'enlèvement, mais il aurait lui même mentionné le nom de Vittorio au chef des salafistes. Alors que la défense a demandé la libération de Jram, le procureur a déclaré que la pénalité que Khader devra payer sera la réclusion à perpétuité ou la peine de mort.

L'audience a été ajournée au 19 Décembre.

Après plus de six mois depuis le brutal assassinat de Vittorio et après presque trois mois depuis la première audience, le procès aux ravisseurs de Vik est toujours en haute mer. Les temps rapides assurés par le gouvernement du Hamas n'ont pas été respectées et la vérité est encore loin d'être.
Cette séance, comme les deux précédents s'est terminée dans une impasse. Trois des quatre accusés restent en prison après la décision du 3 Octobre dernier de libérer Abu Amer Ghoula, accusé «seulement» d'avoir offert un refuge à deux leaders salafistes Breizat et al-Omari. Les accusés ont admis d'avoir enlevé Vittorio mais ils refusent tous les accusations à l'égard de l'assassinat du jeune activiste italien. Ils indiquent Breizat et al-Omari comme les deux meurtriers. Toutefois, les deux ont été tués lors d'une fusillade avec la police ce 17 avril dernier.

source: Nena News
VITTORIO: SETTIMA UDIENZA, VERITA’ LONTANA

mercredi 23 novembre 2011

Demain le sixième audition procès aux assassins de Vittorio

J'espère que le procès finalement arrive au point crucial et qui soient clarifiés les raisons de l'enlèvement et du meurtre de Vik 



Gaza, 23 novembre 2011, Nena News –


S'ouvre demain à la Cour militaire de la ville de Gaza la sixième audition dans laquelle on verra à la barre quatre Palestiniens accusés d'avoir enlevé et tué en avril dernier, le journaliste italien et activiste Vittorio Arrigoni. Il est à espérer que le débat entre enfin au point crucial. La dernière audience au début de novembre, n'avait fait enregistrer nouveautés importantes et elle a été fermé après 50 minutes. Il est souhaitable que le procureur demandera aux accusés – Tamer Hasasnah ,Mahmoud Salfiti , Khader Jram et Amer Abu Ghoula, ce dernier deja sorti de prison, parce qu'il est accusé d'infractions mineures – pour savoir pourquoi Victor a été enlevé ce 13 avril dernier et pourquoi il a été tué dans la nuit entre le 14 et le 15 avril. Les accusés au cours des enquêtes ont dit qu'ils appartiennent à une cellule salafiste dirigée par le jordanien Abdel Rahman Breizat et par Omari Bilal palestinien Gaza, tous les deux tués dans une fusillade avec la police deux jours après le meurtre de Victor. Sur les raisons de l'enlèvement la famille Arrigoni prévoit que finalement pleine lumière soit faite, en considération de l'engagement réalisée par Vittorio pour protéger les droits des Palestiniens de Gaza, assiégés par les israélien  . 

Nena News

vendredi 21 octobre 2011

Vittorio Audience Flash, Vérité encore très loin...

À l'ouverture du procès le Procureur militaire avait garantis des temps très rapides. Mais après quatre audiences le débat s'est arrêtée aux retroussements de la scène du crime. Personne n'a pas demandé aux accusés pourquoi  Vittorio a été kidnappé et plus tard tué.

MICHELE GIORGIO
Rome 21 Octobre 2011, Nena News

20 minutes. Seulement 20 minutes est durée hier, devant à la Court militaire de Gaza City, la quatrième audience du procès contre les responsables de l'enlèvement et de l'assassinat de Vittorio Arrigoni. Peut des répliques et le juge ha établi la cinquième audience au 3 de novembre. S'évanouissent donc les rassurantes données au début de Septembre par les chef de la Procure sur des temps rapides de la justice militaire. Jusqu'à aujourd'hui on n'a pas encore écouté par la voix des quatre accusés– Tamer Hasasnah, Mahmud Salfiti, Khader Jram e Amer Abu Ghoula – les raisons pour les quelles ils projetaient l'enlèvement, avec le Jordanien Abdel Rahman Breizat et avec Bilal Omari (les deux tués par la police) et pour la quelle raison ils décidèrent dans la nuit entre le 14 et 15 avril de tuer Vittorio. Le mois dernier l'avocat Khader Jram a rapporté les explications données par son assisté pendant les interrogatoires, en disant qu'elles étaient dues à un "manqué respect de la moralité et des coutumes locales". Mais ces ne sont pas convaincants et à la distance de six mois tout le monde, à commencer par la famille Arrigoni, s'attendent de connaître la vérité sur le meurtre de Vittorio, activiste engagé à soutenir les droits de Gaza et de tous les Palestiniens. Hier en salle il y avait encore Meri Calvelli l'activiste italienne qui est en train de suivre le procès depuis la première audience. Meri Calvelli a rapporté à "Il Manifesto" que le Procureur a présenté en salle un téléphone mobile contenant les images de Vittorio tenu en otage , ( répandues par les kidnappeurs sur youtube ) et un ordinateur avec un hard disk extérieur dans le quel elles ont étés retrouvés. Le téléphone et l'ordinateurs appartiennent à Tamer Hasasnah qu'il les a reconnus comme propres mais il a dit de ne pas être l'auteur de la vidéo et des photos. La cour a acquis aux actes tout ce qu'a été produit par le  public ministère malgré les objections de la défense. Et elle a ensuite ajourné le procès.

cet article et' état publié le 21 octobre 2011 du quotidien IL MANIFESTO

jeudi 20 octobre 2011

Vittorio: Quatrième audience du procès

Aujourd'hui la Court Militaire de Gaza City a mis au jour au 3 Novembre le procès aux responsables de la mort de Vittorio Arrigoni. L'audience concernait principalement  les éléments présentés par le Procureur et retrouvés sur la scène de l'assassinat.

article de 
Marta Fortunato

Bethléem 20 Octobre 2011 Nena News- S'est passé ce matin dans la Court Militaire de al Mashtal à Gaza City la quatrième audience du procès pour l' enlèvement et l'assassinat de Vittorio Arrigoni. Établie au début le dernier 17 Octobre, l'audience a été ajournée selon la demande du procureur militaire a présentés aujourd'hui dans la salle d'audience des nouveaux éléments qui ont été trouvés sur les lieux du crime devant la maison des accusés: un téléphone mobile Jawwal contenant la reprise de l'enlèvement de Vittorio, qui a été utilisé pour demander le rachat, et un ordinateur avec un hard disk externe dans lequel ont été trouvés nombreuses photos de l'assassinat de Vittorio, qui a eu lieu le 15 avril dernier. Un rapide audition, 20 minutes seulement, qui sera mis à jour le 3 Novembre prochain. Tous les objets trouvés et considérée comme preuves par le Procureur Tamer Hasasnah appartiennent à l'un des quatre jeunes Palestiniens, membres d'une présumée cellule salafiste de Gaza, accusés du meurtre de l'activiste italien. Tamer a reconnu que les objets trouvés sont de sa propriété, mais il a dit de ne pas êtrel'auteur de la vidéo et les photos qu'ils contiennent. Avec lui, sont accusés dans l' assassinat de Vittorio Mahmoud Salfiti, Khader Jram et Amer Abou Ghoula. Selon l'accusation, trois d'entre eux avaient prémédité l'assassinat avec le leader du groupe, Abdel Rahman Breizat, tandis que selon la version de la défense, ils n'étaient pas au courant des véritables intentions de leur chef. En outre des objects électroniques, le Procureur a présenté comme des éléments contre les accusés la découverte de deux motocyclettes, utilisés pour l' assassinat de l'activiste italienne: l'une a été utilisée par Hasasnah mais est appartenant à Mahmoud Salafiti, tandis que La deuxième est détenue par un des deux leaders du groupe salafiste qui ont été tués après l'enlèvement de Vittorio dans un conflit avec les forces de sécurité du Hamas. L'avocat de la défense s'est opposé à la preuve présentée par le Procureur en déclarant qu'il ne le savait pas et n'avait pas reçu ce matériel documentaire et a contesté l'endroit et le moment de la découverte de ces objets. Toutefois, la Cour n'a pas accepté de l'opposition de la défense et a pris aux actes ce que a été présenté par le Procureur. La troisième audience, du 3 Octobre dernièr, avait fermé avec la décision de libérer Abu Amer Ghoula, accusé «seulement» d'avoir offert un refuge à deux leaders salafistes, et al-Omari Breizat, qui ont été tués dans la nuit du 15 avril. Amer, bien que libre, est encore chargé d'avoir assassiné l'activiste militant italien qui tous les jours, à travers des journaux et des sites internet, racontait la souffrance de la population de Gaza et qui accompagnait les agriculteurs et les bergers palestiniens menacés par le feu de l'armée israélienne. 

Source : Nena News

jeudi 22 septembre 2011

Les suspects de l'assassinat de Arrigoni font une réclamation d'aveux forcés

GAZA (AFP) - Un tribunal militaire de Gaza jeudi joué les confessions allégués de quatre hommes accusés en avril d'enlever et assassiner l'italien Vittorio Arrigoni militant de la paix. Parmi les quatre hommes, tous en provenance de Gaza, deux sont accusés d'assassinat, un tiers d'avoir aidé à l'enlèvement et le meurtre, et un quatrième d'avoir fourni la maison où le corps de Arrigoni a été retrouvé pendu, quelques heures après qu'il a été arraché. Les accusés ont comparu au tribunal de la ville de Gaza sans manettes et en civil. Ils semblaient calmes et ils ont répondu aux questions de trois juges de la Cour.

L'accusation a présenté quatre CD contenant les prétendument filmées  des confessions de chacun des défendeurs. Les juges ont appelés chacun des accusés au banc pour observer une partie de leurs prétendus confessions qui ont étés joué sur un ordinateur portable, qui n'était pas visible au public du tribunal. "Est-ce que c'est votre confession?" l'un des juges a demandé à Tamer al-Husasna, 25 ans, qui est chargé d'assassinat.

«Oui, mais elle a été prise de moi par la force,» répondit-il, en alléguant qu'il avait été torturé par les forces du Hamas de la sécurité intérieure. Les trois autres accusés ont également affirmé que leurs aveux ont été extorqués par la torture, même si ils n'ont donné aucun détail de leurs mauvais traitements. Un avocat en observant le procès au nom d'un groupe de droits de l'homme de Gaza a déclaré sous couvert d'anonymat que le procès avait été ajourné au 3 octobre, lorsque la poursuite a été prévu de présenter des témoignages supplémentaires.

Les trois autres accusés dans le cas sont , Mahmoud al-Salfiti de 23 ans, qui est chargé d'assassinat, Khadr Faruk Jerim, 25 ans, qui est accusé d'avoir aidé dans l' enlèvement et assassinat, et Amer Abou Ghola, également de 25 ans, qui aurait fourni la maison dans laquelle l'enlèvement a eu lieu et Arrigoni a été tué plus tard. Arrigoni, un membre de longue date du mouvement pro-palestinien de solidarité internationale, a été enlevé le 14 avril. Peu de temps après sa disparition, un groupe salafiste inconnu a publié une vidéo sur YouTube montrant un Arrigoni meurtri et ensanglanté et en menaçant de le tuer dans  30 heures si le Hamas n'aurait échoué à libérer un groupe de prisonniers jihadistes. Les forces de sécurité ont trouvé le corps de Arrigoni peu de temps après, en avance sur la date limite, dans une maison abandonnée dans le nord de Gaza.

Parmi ceux qui le groupe a exigé être libéré a été un leader du groupe salutiste  Tawhid wal Jihad (Unité et Guerre Sainte), qui a nié toute implication dans l'incident. Le Hamas rapidement a arrêté plusieurs des suspects dans l'affaire, et une semaine plus tard, a fait une descente dans une maison où trois autres suspects auraient été cachés. Deux ont été tués durant le raid, et un troisième a été placé en détention. La mort de Arrigoni a choqué la communauté locale et les travailleurs humanitaires internationaux et des activistes dans la bande de Gaza, où il avait vécu et travaillé pendant plus de trois ans avant sa mort.

mercredi 7 septembre 2011

IL MANIFESTO Vik Arrigoni pour demain le procès


Update sur cet article: La première audience a eu lieu aujourd'hui dans le procès pour l'assassinat du activiste italien Vittorio Arrigoni qui a brusquement pris fin lorsque le président de la Cour a refusé d'admettre l'avocat de la famille Arrigoni, Iyad al-Alami du Centre pour les droits de l'homme à Gaza, dans le démarches. Il avait une procuration de la famille Arrigoni. Le procès a été reporté pour le 22 Septembre.


source: New details emerge as Arrigoni murder case goes to trial by MICHELE GIORGIO on SEPTEMBER 8, 2011 Update from Michele Giorgio's Facebook page:

IL MANIFESTO 

Vik Arrigoni pour demain le procès

07/09/2011
 Michele Giorgio

traduction par Erminia Scaglione

Vittorio Arrigoni a été étranglée entre 23 heures du 14 avril et une heure du15me. Il était encore vivant dans la vidéo tournée par ses ravisseurs et mise en ligne. Le visage tuméfié et ensanglanté du militant et journaliste italien montré par les images filmées a été le résultat de coups durs qu'il avait reçu, en particulier l'un frappé à la tête avec la crosse d'un fusil par Bilal al Omari, son compagnon occasionnel du club de gym, dans le premières phases de la saisie afin d'arrêter sa tentative de se libérer et à s'échapper. À rapporter nous ces détails ci et beaucoup d'autres d'avance de l'ouverture, demain à Gaza City du procès contre quatre Palestiniens accusés d'enlèvement et de l'assassinat de Vittorio, a été hier Mohamed Najar, avocat de Jram Khadr, 26 ans, un des jeunes palestiniens du camp de réfugiés de Chati, avec une affectation dans les pompiers, qui a avoué qu'il avait lui-même indiqué Victor comme l'étranger à capturer au groupe, (prétendument) salafiste qu'en avril dernier, sous le commandement du Jordanien Abdel Rahman Breizat, a revendiqué l'enlèvement de Vik. Najar, en nous montrant des photocopies des documents officiels reçus par le bureau du procureur militaire, a lu les passages les plus pertinents des confessions faites par les accusés pendent les interrogatoires. C'est "la vérité des accusés" - Mohamed Salfi, 23 ans d'Karama; Tarek Hasasnah, 25 ans deChatt, Amer Abou Ghoul, 25 ans de Chatt et Khadr Jram - qui peut-être ne correspond pas entièrement à ce qui s'est passé. En outre, les deux autres membres du groupe des ravisseurs le jordanien et le palestinien Breizat Omari, considérés les «leaders» de la cellule salafiste, ne peuvent pas dire leur version. Ils ont été tués quelques jours après la découverte du corps de Vik pendant le Blitz fait, dans leur retraite de Nusseirat par une unité spéciale du Hamas. Cependant, il est la première fois, cinq mois après l'assassinat de Vittorio, qui est révélée, même partiellement, les fichiers d'enquêtes menées par le bureau du procureur militaire du Hamas, (tous les quatre accusés sont membres avec des différentes tâches des forces de sécurité) et qui a été jamais livré à aux avocats de la famille Arrigoni. Il ya deux jours qu'il est enfin arrivé à Gaza en provenance d'Italie la poursuite, (basé sur les critères fixés par le mouvement islamique) en faveur du Centre palestinien pour les droits de l'homme, qui représentera les parents de Vik à l'audience demain. Il est à espérer que le Hamas ne peut pas trouver plus d'excuses pour ne pas la reconnaître.

Pour quoi Vittorio a été tué à Gaza où il avait passé les dernières années de sa vie et où il jouissait de l'estime de beaucoup de Palestiniens? L'avocat Najar a une longue réponse àcette question que plusieurs des gents se posent depuis des mois "Par les confessions et déclarations de mon client et des autres inculpés c'est clair que l'intention du groupe, de manière informelle pas une véritable organisation, était de saisir un Occidental pour obtenir la libération du cheikh Abdel-Walid al-Maqdissi, arrêtés par le Hamas pour des activités subversives ", a déclaré Najar. "Breizat était retourné à Gaza (la première fois il yest entré il y a un an et il était revenu avec des faux documents, entre Février et Mars du 2011, ndlr) dans le but exprès de trouver un moyen pour libérer le cheikh Maqdissi que a été son maître en Jordanie ", a ajouté l'avocat en faisant valoir que" grâce à l'enlèvement les jeunes voulaient affirmer l'existence de leur cellule armée (idéologiquement liée àTawhid wal Jihad, ndlr) et qu'ils n'avaient aucune intention de tuer l'italien ". Vrai où Faux?Najar soulève ses épaules. "C'est ce quoi j'ai lu dans les actes." Pourquoi lui c'est à dire Vittorio Arrigoni? "Mon client (Jram) qui travaillait dans la caserne des pompiers en face d'un bâtiment fréquenté par Vittorio m'a dit qu'il avait insisté beaucoup sur ce nom parce qu'il était connu dans la bande de Gaza et, selon lui, l'Italien menait une vie mal adaptée aux coutumes locales, et trop occidentale " Pratiquement , l' avocat a déclaré: "Le bout del'enlèvement était de faire liberer avant tout Maqdissi et immédiatement après avoir donné une leçon à l'italien: l'écraser, lui faire peur pour ensuite le libérer."
Mais choses se sont passèes autrement et Vik a été brutalement tué. "La police du Hamas, (le soir du 14 avril, ndlr) a reconstruit dans quelques heures la dynamique de l'enlèvement et a arrêté Jram immédiatement et Khadr Jram qui suivait les mouvements de Vittorio Arrigoni, qui lui avait parlé le soir de l'enlèvement et il avait rapporté ses mouvements aux complices. Pour éviter la capture de sorte Breizat a tué l'Italien et les autres deux complices ont essayé de faire perdre ses traces, ainsi que deux les autres (al Omari et Salfi, ndlr), mais ils ont été rapidement identifiés ". La figure du Jourdain, décrite comme homme froid et calculateur par les autres membres du groupe, reste mystérieux, même dans l'enquête menée par le Hamas. Avec le défilement des actes l'avocat Najar a déclaré que le bureau du procureur militaire n'a pas été capable d'établir les liens entre Breizat et "forces extérieures"concernés à l'élimination de Vittorio Arrigoni, mais les enquêteurs ne les excluent pas.

L'impression que nous avons acquis, hier est que pendant le procès L'avocat Najar et les légales des autres accusés adosseront à Breizat et à al Omari, qui ne peuvent plus parler, les principales responsabilités . Salfiti, par exemple, a déclaré lors de son interrogatoire que lorsque Vittorio a été tué ", il était aux toilettes" et n'a rien vu. Hasasnah a donné une version similaire. Jram, au contraire prétend d'avoir joué un rôle secondaire, et pas du tout opératif , dans la gestion de la saisie et al Goula dit qu'il a seulement loué l'appartement utilisé par les ravisseurs pour cacher Vittorio et qu'il n'avait jamais entendu parler des intentions du groupe armé. Donc nous allons voir un intensif " pète en gueule". En attendant Jrar se déclare "très désolé" d'avoir insisté sur l'enlèvement de Vik et il espères dans une condamnation à peu des années de prison. C'est au juge militaire Abou Omar Atallah de clarifier l'événement en mettant un terme à la réticence des autorités du Hamas qui pendant cinq mois n'ont pas publiée aucune déclaration sur l'assassinat de Vittorio. Et  même la date du procès n'a pas été encore annoncé.



GAZA CITY (Ma’an) -- The first session of a trial to sentence the murderers of Italian activist Vittorio Arrigoni is due to start on Thursday in a Gaza court. 
The Italian activist and journalist was murdered after being kidnapped by a group that identified itself as Salafist, on April 15, 2011.
He was found hanged in a house northwest of Gaza City.
Hamas security forces were able to find the group responsible for the murder in An-Nuseirat refugee camp, three days after the murder.
Clashes erupted between the group and Hamas forces killing two of the accused murderers.

A third was injured and a fourth detained.
President Abbas condemned the murder of Arrigoni as a "grotesque and disgraceful crime."
News of the Italian activists' murder was greeted with widespread condemnation and demonstrations and vigils were held across the West Bank in his memory.







Gaza - Palestine Presse -       

La complexité d'un tribunal palestinien du gouvernement de Gaza aujourd'hui a écarté sa première session pour examiner la question de la solidarité du procès contre les tueurs du pacifiste italien Vittorio, qui a été tué dans la ville de Gaza, le 14me du mois d'avril. Le journaliste italien pacifiste Vittorio enlevé pendant moins de vingt quatre heures avant qu'il a été tué par ses ravisseurs, et trouvé pendu dans la zone du projet Amer au nord-ouest de la ville de Gaza. Forces de sécurité du gouvernement, trois jours après par le siège du groupe responsable de l'enlèvement et l'assassinat dans le camp de Nusseirat, où des affrontements violents ont eu lieu au moment ont conduit à la mort de deux des accusés de l'assassinat et ont blessé un troisième et embarqué un quatrième avec son arrestation. Il s'avère que l'un des ravisseurs est un ressortissant jordanien, et il a été transféré à Amman, où ont eu lieu là-bas ses obsèques .




Du journaliste italien Michele Giorgio

"Le premier jour du procès aux assassins de Vittorio Arrigoni est retardé au 22 Septembre"

Le premier jour du procès des tueurs de Vittorio Arrigoni a pris fin en un ajournement hâtif au 22 Septembre. Vittorio a été kidnappé et après quelques heures étranglé dans la bande de Gaza en avril dernier. Le juge en chef n'a pas permis d'entrer à Eyal-Alami avocat du Centre des Droits Humains à Gaza qui a reçu le patronage de la famille de Vittorio.


From Italian journalist Michele Giorgio

"Vittorio Arrigoni's trial put off until 22 September"

The first day of the trial to Vittorio Arrigoni's killers ended in an hasty adjournment to September 22 . Vittorio was kidnapped and strangled after a few hours in the Gaza Strip last April. The Chief Justice didn't allow to get in Eyal-Alami lawyer of the Human Rights Center in Gaza who received the patronage from Vittorio's family.




Breaking news: Procès Arrigoni
de Meri Calvelli, activiste italienne à Gaza: - Il nous a faits un certain effet entrer dans le tribunal et de voir les prévenus, qui riaient , trop sûrs de soi même pour le dégoûtant crime qu'ils ont fait. Le procès de toute façon a été renvoyé au 22 septembre. -


http://www.facebook.com/notes/international-solidarity-movement/vittorio-arrigoni-trial-day-one/10150784519335258

8 September 2011 | International Solidarity Movement, Gaza

The trial of four surviving defendants in the April 14 kidnapping and murder of Italian journalist and International Solidarity Movement activist Vittorio Arrigoni began today in a Gaza military court.


The hearing, which began at 10:30 am, was open to the public. Two International Solidarity Movement members, along with a number of Vittorio’s Palestinian and international friends, observed it.


It was held in a light, airy hall in Gaza’s military court compound. The four defendants, Abu Ghoul, age 25, Khader Jram, age 26, Mohammed Salfi, age 23, and Hasanah Tarek, age 25, appeared to be in good health, occasionally smiling or waving to family in the courtroom.


Proceedings began with a request by attorneys from the Palestinian Center for Human Rights (PCHR), which holds power of attorney for Vittorio’s family in Bulciago, Italy, that they be allowed to participate in the trial.


Military judge Abu Omar Atallah responded that while Palestinian military law does not allow for participation in criminal trials by third parties, the case and its files would be open to PCHR as well as the public.


After the PCHR attorneys moved their chairs from the front of the courtroom back into the public seating, prosecutors attempted to introduce the video contents of a compact disk, as well as a forensic report on the crime scene, as evidence.


The defense counsel responded that the prosecution had not yet made these materials available to them, and that they would need time to review them before deciding on their legal strategy.


Prosecutors also asked that testimony from their witnesses be postponed to allow them further time to prepare. The defense counsel objected, noting that testimony had been scheduled to begin today.


Taking these positions into account, Atallah opted to allow time for the preparation of witnesses by the prosecution, and the review of evidence by the defense. Before adjourning the court at 11:30 am, he scheduled its next hearing for Thursday, September 22.





vendredi 2 septembre 2011

Un Ramadan rouge sang

Un Ramadan rouge sang

Hier lors de la fête à la fin du Ramadan au Pakistan, des musulmans chiites ont été tués de 7 à l'explosion d'une bombe devant la mosquée où ils s'étaient rendus pour célébrer. Plus de 20 personnes ont été blessées, 12 d'entre eux sont très graves. Du début du 2011 jusqu'à maintenant, environ 4500 chiites ont été tués dans les attaques menées à l'ordre de la maison royale saoudienne par wahhabites / salafistes!

4500 chiites tués dans les attentats pendant huit mois au Pakistan aurait dû demander un effort international par l'ONU, par les Etats-Unis, l'UE, l'OTAN, Amnesty International, etc, etc ..... c'est cent fois plus important de «l'urgence» avec laquelle ces organisations des Etats ont déplacé leur «guerres humanitaires» contre l'Afghanistan, l'Irak et la Libye, mais rien au contraire, et en plus ils nous donnent juste un peu de nouvelles sporadiques avec leurs médias corrompus qui tentent de désinformer plutôt que d'informer!