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jeudi 12 avril 2012

Procès Arrigoni: Maintenant les accusés rétractent


C 'est une claire tentative  de charger tous les responsabilités   sur les deux autres membres du (présumé) groupe salafiste», qui a enlevé Vittorio, et qu'ils ont étés tués dans une fusillade avec la police et qui donc ne peuvent pas raconter leur version des événements.

Gaza 12 Avril 2012, Nena News

Trois des quatre Palestiniens accusés d'enlèvement et de l'assassinat des Vittorio Arrigoni, qui a eu lieu le 15 Avril de l'an dernier dans la ville de Gaza, ont largement rétracté les aveux qu'ils ont faits au cours des interrogatoires qui ont suivi leurs 'arrestations par la police du Hamas.

Lors de la séance qui a eu lieu ce matin devant le tribunal militaire de Gaza dans une salle pleine des amis et des connaissances de Vittorio, Mahmoud Salfiti, Tamer Hasasnah et  Jram Khader, ont déclaré qu'ils avaient avoué «sous pression» leur participation à la l'enlèvement. Jusqu'à maintenant, ils avaient dit qu'il avaient disposé l'enlèvement dans le but d'obtenir la libération du cheikh al Maqdissi, le chef du groupe salafiste Tawhid wal Jihad arrêté quelques mois avant par le Hamas. Pour la plupart ils ont nié qu'ils étaient au courant du plan de tuer le militant italien qu'ils disent, avait été secrètement mis au point par les deux «leaders» du groupe, le Jordanien   Abdel Rahman Breizat et par  Bilal Omari, les quels ont été tués peu de temps après 'l'assassinat de Vittorio dans une fusillade avec la police.

Les trois, presque à l'unisson, ils ont dit que leur seul but était de "donner une leçon à l'italien," qui, selon eux menait une vie  inadaptée aux traditions et aux sentiments religieux qui prévalent dans la bande de Gaza.

C'est une tentative évidente mené par les avocats de la défense pour décharger toute responsabilité pour l'assassinat de Vittorio Arrigoni sur  Breizat   et Omari qui ne peuvent pas donner leur version des événements. 

source : Nena News

vendredi 6 janvier 2012

VITTORIO,déception pour le développement du procès

La procédure qui avait promis vérité et justice semble s'enliser rapidement. De nouveaux détails émergent par les aveux des accusés Vittorio été traqué pendant deux mois. A le tuer ils ont étés trois personnes.

MICHELE GIORGIO

Gaza, 06 Janvier 2012, Nena News -

Il y a une limite à la compréhension des problèmes et des difficultés que dans la bande de Gaza traverse le système judiciaire. Il est inacceptable ce qui s'est passé hier à la Cour militaire de la Bande, où pendant quatre mois est en cours le procès aux accusés pour l'enlèvement et l'assassinat de Vittorio Arrigoni accomplis à Gaza cet avril dernier par une auto-proclamé cellule salafiste.

Des rumeurs ont annoncé une séance d'une importance particulière. Donc, nous espérions de voir une véritable épreuve et un débat réel, au sujet des raisons pour lesquelles a été commis un enlèvement et un assassinat qui ont généré une grande indignation dans la bande de Gaza et en Italie. Vittorio était un ami des Palestiniens, il avait entrepris de diffuser des informations détaillées sur la situation de Gaza et de chercher de protéger et , avec sa présence dans les zones à risque, les agriculteurs et les pêcheurs (les gents plus touchés par mesures de restriction appliquées aux autorités de Gaza , par l'armée israélienne). Mais les choses d'hier sont allées dans le sens inverse de ce qu'on espérait. La dernière séance a été la plus courte des neuf qui ont eu lieu depuis l'8 Septembre à ce jour et aussi le plus inutile et,à certains égards, aussi la plus paradoxale.
La première surprise est venu par Abu Amr Ghoula un des quatre accusés, en résidence surveillée, car il est accusé des infractions mineures. Abou Ghoula hier il ne s'est fait pas trouver dans la cage des accusés, en violation de l'ordre de comparaître à l'audience. Le tribunal, après avoir enregistrée son absence, il a immédiatement émis un mandat d'arrestation, mais jusqu'à hier soir au sujet de Abou Ghoula on ne savais rien. La deuxième surprise a été la rapidité avec laquelle le même tribunal, après avoir appris que la défense n'avait pas reçu certains documents relatifs aux éléments de preuve produite par le bureau du procureur militaire, a ajourné le procès au 16 Janvier. De quatre à cinq minutes en tout, il est temps de l'audience. Bon tout ça c'est inacceptable.


En Septembre, le procureur avait parlé d'un calendrier serré pour la réalisation du procès en pleine conformité avec, bien sûr, des droits des accusés et de toutes les parties impliquées.Sans parler des assurances données à la famille Arrigoni à l'Italie par Ghazi Hamad, ministre adjoint des Affaires étrangères du gouvernement du Hamas. Mais les mois qui sont déjà passées sont quatre et neuf sont les auditions qui n'ont pas étés suffisantes pour aller à lasubstance d'une un assassinat que le mois d'avril dernier a fait parler de soi le monde entier. Il s'agit d'un affront à notre avis, à la famille Arrigoni qui a également choisi la confidentialité, en évitant de commenter publiquement au sujet de l'enquête et du procès. Sans oublier que Egidia Beretta et Alessandra Arrigoni, la mère et la soeur de Vittorio, le mois dernier,en répondant à un appel lancé par proches des accusés, avaient ouvertement exprimé leuropposition à une possible condamnation à mort (dont on est certains à Gaza).

Egidia Beretta et Alessandra Arrigoni cependant, elles avaient également demandé justice et clarté au sujet d'un crime qui se révèle chaque fois terrible pendant qu'ils ressortent des nouveaux détails par les aveux faits par les accusés (qui maintenant n'affirment plus de les avoir signés sous la pression). Une source journalistique de Gaza a livré au journal Il Manifesto les textes des aveux de deux des accusés, Mahmoud Salfiti et Khader Ijram, qui ajoutent des détails importants à des faits déjà connus. Ijram - pompier à la gare de la défense civile située en face du bâtiment où Victor avait vécu pendant une longue période - a fourni pendant deux mois des informations détaillées à la (présumée) cellule salafiste au sujet des mouvements du militant italien. Aux enquêteurs, il a expliqué candidement que «il n'a pas eu la force de dire non» à son ami, Tamer Hasasnah un des accusés, et selon ce qui est émergé celui qui a été jugé responsable de l'organisation technique de l'enlèvement. Plus important encore sont les aveux de Mahmoud Salfiti. Qui en répondant aux questions de la police après son arrestation, Salfiti a dit que tous les membres de la cellule avaient accepté sans hésitation, la décision prise par le «chef», Le jeune jordanien Abdel Rahman Breizat (qui a été tué avec le palestinien Bilal Omari dans une fusillade avec la police du Hamas), "d' éliminer l'otage" en face au refus par le gouvernement de Gaza de libérer le cheikh salafiste al Maqdissi qu'ils voulaient échanger avec Vittorio. Salfiti a également dit aux enquêteurs qu'ils sont étés trois entre eux à tuerl'italien et pas seulement Breizat comme, cependant, au debut on avait appris . La décision de ne respecter pas l'ultimatum et de tuer l'otage, afin de s'échapper, a été prise par Breizat mais toujours avec le consentement plein et a convaincu des autres membres de la cellule. Reste valide, toutefois l'hypothèse que l Jordanien ait réalisée des instructions d'un diecteur, par l'extérieur décidé de réduire au silence une voix désagréable. 


source: Nena News

lundi 5 décembre 2011

VITTORIO: LA SEPTIÈME SÉANCE, LA VÉRITÉ LOINTAINE...

Mis à jour le 19 Décembre l'audience contre les assassins de Vittorio Arrigoni. Rien de pertinent pour établir la vérité. Encore pas de responsables de l'enlèvement et assassinat du jeune activiste italien, tué à Gaza ce 15 Avril dernier 

MARTA FORTUNATO


Beit Sahour (Cisjordanie), 05 Décembre 2011, Nena News - «Dans la maison de Victor ont été beaucoup de femmes?". Avec ces mots, l'avocat de la défense s'est tourné vers le seul témoin entendu aujourd'hui pendant le septième jour du procès aux ravisseurs et assassins de Vittorio Arrigoni. Cette fois encore la session, qui a duré 45 minutes, et s'est concentrée sur des questions secondaires et trompeuses et l'accusation n'a pas encore enquêté sur la véritable raison qui a conduit les quatre accusés - Tamer Hasasnah, Mahmoud Salfiti, Khader Jramet Amer Abou Goula - à enlever et tuer Vittorio Arrigoni ce 15 avril dernier. Le procès a été reporté au 19 Décembre et s'est terminé sans que aucun élément nouveau soit émergé pour établir la vérité. Ce matin, dans le tribunal militaire de la ville de Gaza, l'accuse a continué la présentation des témoins commencé lors de l'audience de 4 Novembre dernièr. La défense s'était initialement opposé à l'écoute des témoignages de ceux qui sont appelés par l'accusation, en disant qu'il n'a été pas écrit dans les actes. Le juge a demandé à la défense de lire les documents des actes avant l'audience et l'a accusée d'être «comme des enfants à l'école», contraires à tout et pas du tout intéressés à résoudre l'affaire. L'un des deux témoins, qui aurait dû être entendu aujourd'hui, ne figurait pas dans la cour,tandis que le second, un collègue de Tamer Hasasnah, n'a fait que confirmer les déclarations faites pendant l'enquête. Ces dépositions qui n'ont pas été lues, mais seulement confirmés, en empêchant ainsi au nombre de spectateurs présents dans la salle d' apprendre ce que a été émis par le témoin immédiatement après l'assassinat de Vittorio.
 La défense a demandé le report de l'audience, mais quelqu'un de la famille de l'accusé Jram Khader a demandé que le procès devait être terminé. L'avocat de la défense a déclaré que Khader n'est pas accusé par les actes d'avoir pris part à l'enlèvement ou à l' assassinat de Vittorio, mais, au contraire il fut le premier à parler et à coopérer avec la police. L'accusation a été d'un avis différent: Khader n'aurait pas seulement pris part à l'enlèvement, mais il aurait lui même mentionné le nom de Vittorio au chef des salafistes. Alors que la défense a demandé la libération de Jram, le procureur a déclaré que la pénalité que Khader devra payer sera la réclusion à perpétuité ou la peine de mort.

L'audience a été ajournée au 19 Décembre.

Après plus de six mois depuis le brutal assassinat de Vittorio et après presque trois mois depuis la première audience, le procès aux ravisseurs de Vik est toujours en haute mer. Les temps rapides assurés par le gouvernement du Hamas n'ont pas été respectées et la vérité est encore loin d'être.
Cette séance, comme les deux précédents s'est terminée dans une impasse. Trois des quatre accusés restent en prison après la décision du 3 Octobre dernier de libérer Abu Amer Ghoula, accusé «seulement» d'avoir offert un refuge à deux leaders salafistes Breizat et al-Omari. Les accusés ont admis d'avoir enlevé Vittorio mais ils refusent tous les accusations à l'égard de l'assassinat du jeune activiste italien. Ils indiquent Breizat et al-Omari comme les deux meurtriers. Toutefois, les deux ont été tués lors d'une fusillade avec la police ce 17 avril dernier.

source: Nena News
VITTORIO: SETTIMA UDIENZA, VERITA’ LONTANA

mercredi 23 novembre 2011

Demain le sixième audition procès aux assassins de Vittorio

J'espère que le procès finalement arrive au point crucial et qui soient clarifiés les raisons de l'enlèvement et du meurtre de Vik 



Gaza, 23 novembre 2011, Nena News –


S'ouvre demain à la Cour militaire de la ville de Gaza la sixième audition dans laquelle on verra à la barre quatre Palestiniens accusés d'avoir enlevé et tué en avril dernier, le journaliste italien et activiste Vittorio Arrigoni. Il est à espérer que le débat entre enfin au point crucial. La dernière audience au début de novembre, n'avait fait enregistrer nouveautés importantes et elle a été fermé après 50 minutes. Il est souhaitable que le procureur demandera aux accusés – Tamer Hasasnah ,Mahmoud Salfiti , Khader Jram et Amer Abu Ghoula, ce dernier deja sorti de prison, parce qu'il est accusé d'infractions mineures – pour savoir pourquoi Victor a été enlevé ce 13 avril dernier et pourquoi il a été tué dans la nuit entre le 14 et le 15 avril. Les accusés au cours des enquêtes ont dit qu'ils appartiennent à une cellule salafiste dirigée par le jordanien Abdel Rahman Breizat et par Omari Bilal palestinien Gaza, tous les deux tués dans une fusillade avec la police deux jours après le meurtre de Victor. Sur les raisons de l'enlèvement la famille Arrigoni prévoit que finalement pleine lumière soit faite, en considération de l'engagement réalisée par Vittorio pour protéger les droits des Palestiniens de Gaza, assiégés par les israélien  . 

Nena News

vendredi 21 octobre 2011

Vittorio Audience Flash, Vérité encore très loin...

À l'ouverture du procès le Procureur militaire avait garantis des temps très rapides. Mais après quatre audiences le débat s'est arrêtée aux retroussements de la scène du crime. Personne n'a pas demandé aux accusés pourquoi  Vittorio a été kidnappé et plus tard tué.

MICHELE GIORGIO
Rome 21 Octobre 2011, Nena News

20 minutes. Seulement 20 minutes est durée hier, devant à la Court militaire de Gaza City, la quatrième audience du procès contre les responsables de l'enlèvement et de l'assassinat de Vittorio Arrigoni. Peut des répliques et le juge ha établi la cinquième audience au 3 de novembre. S'évanouissent donc les rassurantes données au début de Septembre par les chef de la Procure sur des temps rapides de la justice militaire. Jusqu'à aujourd'hui on n'a pas encore écouté par la voix des quatre accusés– Tamer Hasasnah, Mahmud Salfiti, Khader Jram e Amer Abu Ghoula – les raisons pour les quelles ils projetaient l'enlèvement, avec le Jordanien Abdel Rahman Breizat et avec Bilal Omari (les deux tués par la police) et pour la quelle raison ils décidèrent dans la nuit entre le 14 et 15 avril de tuer Vittorio. Le mois dernier l'avocat Khader Jram a rapporté les explications données par son assisté pendant les interrogatoires, en disant qu'elles étaient dues à un "manqué respect de la moralité et des coutumes locales". Mais ces ne sont pas convaincants et à la distance de six mois tout le monde, à commencer par la famille Arrigoni, s'attendent de connaître la vérité sur le meurtre de Vittorio, activiste engagé à soutenir les droits de Gaza et de tous les Palestiniens. Hier en salle il y avait encore Meri Calvelli l'activiste italienne qui est en train de suivre le procès depuis la première audience. Meri Calvelli a rapporté à "Il Manifesto" que le Procureur a présenté en salle un téléphone mobile contenant les images de Vittorio tenu en otage , ( répandues par les kidnappeurs sur youtube ) et un ordinateur avec un hard disk extérieur dans le quel elles ont étés retrouvés. Le téléphone et l'ordinateurs appartiennent à Tamer Hasasnah qu'il les a reconnus comme propres mais il a dit de ne pas être l'auteur de la vidéo et des photos. La cour a acquis aux actes tout ce qu'a été produit par le  public ministère malgré les objections de la défense. Et elle a ensuite ajourné le procès.

cet article et' état publié le 21 octobre 2011 du quotidien IL MANIFESTO

jeudi 20 octobre 2011

Vittorio: Quatrième audience du procès

Aujourd'hui la Court Militaire de Gaza City a mis au jour au 3 Novembre le procès aux responsables de la mort de Vittorio Arrigoni. L'audience concernait principalement  les éléments présentés par le Procureur et retrouvés sur la scène de l'assassinat.

article de 
Marta Fortunato

Bethléem 20 Octobre 2011 Nena News- S'est passé ce matin dans la Court Militaire de al Mashtal à Gaza City la quatrième audience du procès pour l' enlèvement et l'assassinat de Vittorio Arrigoni. Établie au début le dernier 17 Octobre, l'audience a été ajournée selon la demande du procureur militaire a présentés aujourd'hui dans la salle d'audience des nouveaux éléments qui ont été trouvés sur les lieux du crime devant la maison des accusés: un téléphone mobile Jawwal contenant la reprise de l'enlèvement de Vittorio, qui a été utilisé pour demander le rachat, et un ordinateur avec un hard disk externe dans lequel ont été trouvés nombreuses photos de l'assassinat de Vittorio, qui a eu lieu le 15 avril dernier. Un rapide audition, 20 minutes seulement, qui sera mis à jour le 3 Novembre prochain. Tous les objets trouvés et considérée comme preuves par le Procureur Tamer Hasasnah appartiennent à l'un des quatre jeunes Palestiniens, membres d'une présumée cellule salafiste de Gaza, accusés du meurtre de l'activiste italien. Tamer a reconnu que les objets trouvés sont de sa propriété, mais il a dit de ne pas êtrel'auteur de la vidéo et les photos qu'ils contiennent. Avec lui, sont accusés dans l' assassinat de Vittorio Mahmoud Salfiti, Khader Jram et Amer Abou Ghoula. Selon l'accusation, trois d'entre eux avaient prémédité l'assassinat avec le leader du groupe, Abdel Rahman Breizat, tandis que selon la version de la défense, ils n'étaient pas au courant des véritables intentions de leur chef. En outre des objects électroniques, le Procureur a présenté comme des éléments contre les accusés la découverte de deux motocyclettes, utilisés pour l' assassinat de l'activiste italienne: l'une a été utilisée par Hasasnah mais est appartenant à Mahmoud Salafiti, tandis que La deuxième est détenue par un des deux leaders du groupe salafiste qui ont été tués après l'enlèvement de Vittorio dans un conflit avec les forces de sécurité du Hamas. L'avocat de la défense s'est opposé à la preuve présentée par le Procureur en déclarant qu'il ne le savait pas et n'avait pas reçu ce matériel documentaire et a contesté l'endroit et le moment de la découverte de ces objets. Toutefois, la Cour n'a pas accepté de l'opposition de la défense et a pris aux actes ce que a été présenté par le Procureur. La troisième audience, du 3 Octobre dernièr, avait fermé avec la décision de libérer Abu Amer Ghoula, accusé «seulement» d'avoir offert un refuge à deux leaders salafistes, et al-Omari Breizat, qui ont été tués dans la nuit du 15 avril. Amer, bien que libre, est encore chargé d'avoir assassiné l'activiste militant italien qui tous les jours, à travers des journaux et des sites internet, racontait la souffrance de la population de Gaza et qui accompagnait les agriculteurs et les bergers palestiniens menacés par le feu de l'armée israélienne. 

Source : Nena News

vendredi 23 septembre 2011

VIK: deux accusés DÉNONCENT aveux extorqués

Tamer Mahmoud Hasasnah et Salfi, deux des quatre accusés de l'enlèvement et assassinat de Vittorio Arrigoni, affirment d'avoir avoué le crime sous la pression de la police de Gaza. Il pourrait juste être une stratégie de défense adoptée par les avocats des accusés.

de Michele Giorgio


Gaza, 23 septembre 2011, Nena - News. Hier dans la salle d'audience du tribunal militaire il était de Gaza City, en tant qu'observateur, Gilberto Pagani, avocat de la famille Arrigoni qui est arrivé mercredi soir dans la bande de Gaza.
 L'avocat, assis aux côtés de collègues du Centre palestinien pour les droits de l'homme (représentant la famille de Vittorio à Gaza), a pu assister à une audience, qui a marquédeux des quatre accusés dans l'enlèvement et l'assassinat du militant italien, en dénonçant qu' ils avaient avoué le crime sous des fortes pressions des enquêteurs et d'avoir subis des mauvais traitements. Ils ne pouvaient pas être présents au contraire les deux militants de laFlotille de la Liberté italienne, Germano Monti et Giuseppe Marella, qui étaient encore en attente depuis plusieurs heures au passage de Rafah. Les deux ont après fait savoir que les autorités frontalières palestiniennes et le Hamas, n'ont pas consideré documentation suffisante ce qui a été présenté au terminal de la frontière et, par conséquent, ils n'ont pas autorisé leur entrée dans la bande de Gaza.
En toute probabilité, ils retourneront immédiatement en l'Italie. Hier a été minime, la présence de journalistes dans la salle d'audience. D'ailleurs, cette dernière audiencecomme celle la du 8 Septembre (qui a ouvert le processus) n'ont pas trouvé place significative dans les chroniques de la presse locale. Au procès, cependant, ont étés témoins une vingtaine d'amis de Vittorio, palestiniens et italiens.
L'audience a débuté hier avec le témoignage de Youssef Abdel Ali, un agent des services de sécurité responsables de la verbalisation des interrogatoires. Abdel Ali a déclaré que les accusés ont signé sans aucune contrainte. Mais tandis que deux des accusés, Amer AbouKhader et Jram Ghoul, ont confirmé ce qu'ils avaient avoué pendant l'enquête, les autres deux , Tamer Mahmoud et Hasasnah Salfi, prétendent d'avoir subi "une forte pression" les jours suivants à leur arrestation. Les deux ont dit qu'ils avaient signé des aveux "en boîte", mais qu'ils les avaient signés dans un climat d'intimidation très fort des enquêteurs.
 Version qu'ils ont répété après le visionnement du film de leurs confessions, que le bureau du procureur militaire a mis à la disposition des juges. Le juge qui préside, à ce stade, a donc fait faire retour en salle d'audience l'agent Abdel Ali Youssef qui a insisté de ne pas avoir vu aucun acte d'intimidation contre les deux suspects et a seulement dit que, avant la signature ils avaient été maintenus dans des menottes et avec les yeux bandés.
La défense a ensuite souligné au tribunal un écart entre procès-verbal de l'interrogatoire etla déclaration faite par les accusés dans la vidéo tournée par les enquêteurs. Le Président a donc demandé au bureau du procureur militaire d'expliquer ce qui s'était passé et a appeléle médecin Alaa Khalil Astal à témoigner ce qui a effectué l'autopsie sur le cadavre de Vittorio. Mais l'homme n'était pas dans la salle. La procédure à ce point a été renvoyée au 3 d'Octobre.


Declaration de deux activistes de la Flottilla Italia en FB:

Pino Marella

IL PROCESSO AI PRESUNTI ASSASSINI DI VITTORIO ARRIGONI e' stato rinviato al 3 ottobre gli imputati hanno affermato che le confessioni gli sono state estorte e dunque li dovranno reinterrogare dunque il processo si allunga,la piccola delegazione italiana domani rientra in italia,ricordo che solo l'avvocato della famiglia ARRIGONI HA AVUTO IL PERMESSO DI ENTRARE A GAZA metre io ed un altro compagno siamo rimasti bloccati al valico di Rafah abbiamo tentato in tutti i modi di passare ma non ci siamo riusciti comunque ebbene chiarire che il valico di Rafah e' chiuso e gli egiziani fanno il bello e cattivo tempo e gli ingressi si fanno con il contagocce appena in italia ve la racconto tutta in questo momento ho una connessione di fortuna da Rafah pino marella per un errore di battitura ieri avevo avevo comunicato la data del 4 ottobre per il processo invece e' il 3 e me ne scuso



Par LA FAMILLE DE VIK



Les parents et la sœur de Vittorio vous veulent dire que l'urne avec les cendres de notre, votre aimé VIK ont été enterrés aujourd'hui, le 23.09.2011, dans le cimetière de Bulciago (Lc)

I GENITORI E LA SORELLA DI VITTORIO vi vogliono dire che l'urna con le ceneri del nostro, vostro amato VIK sono state sepolte oggi, 23.09.2011, nel cimitero di Bulciago (Lc)

VITTORIO'S PARENTS AND HIS SISTER  would like say to you that the urn with the ashes of our, your loved VIK were buried today, 23.09.2011, in the cemetery of Bulciago (Lc)

jeudi 22 septembre 2011

Les suspects de l'assassinat de Arrigoni font une réclamation d'aveux forcés

GAZA (AFP) - Un tribunal militaire de Gaza jeudi joué les confessions allégués de quatre hommes accusés en avril d'enlever et assassiner l'italien Vittorio Arrigoni militant de la paix. Parmi les quatre hommes, tous en provenance de Gaza, deux sont accusés d'assassinat, un tiers d'avoir aidé à l'enlèvement et le meurtre, et un quatrième d'avoir fourni la maison où le corps de Arrigoni a été retrouvé pendu, quelques heures après qu'il a été arraché. Les accusés ont comparu au tribunal de la ville de Gaza sans manettes et en civil. Ils semblaient calmes et ils ont répondu aux questions de trois juges de la Cour.

L'accusation a présenté quatre CD contenant les prétendument filmées  des confessions de chacun des défendeurs. Les juges ont appelés chacun des accusés au banc pour observer une partie de leurs prétendus confessions qui ont étés joué sur un ordinateur portable, qui n'était pas visible au public du tribunal. "Est-ce que c'est votre confession?" l'un des juges a demandé à Tamer al-Husasna, 25 ans, qui est chargé d'assassinat.

«Oui, mais elle a été prise de moi par la force,» répondit-il, en alléguant qu'il avait été torturé par les forces du Hamas de la sécurité intérieure. Les trois autres accusés ont également affirmé que leurs aveux ont été extorqués par la torture, même si ils n'ont donné aucun détail de leurs mauvais traitements. Un avocat en observant le procès au nom d'un groupe de droits de l'homme de Gaza a déclaré sous couvert d'anonymat que le procès avait été ajourné au 3 octobre, lorsque la poursuite a été prévu de présenter des témoignages supplémentaires.

Les trois autres accusés dans le cas sont , Mahmoud al-Salfiti de 23 ans, qui est chargé d'assassinat, Khadr Faruk Jerim, 25 ans, qui est accusé d'avoir aidé dans l' enlèvement et assassinat, et Amer Abou Ghola, également de 25 ans, qui aurait fourni la maison dans laquelle l'enlèvement a eu lieu et Arrigoni a été tué plus tard. Arrigoni, un membre de longue date du mouvement pro-palestinien de solidarité internationale, a été enlevé le 14 avril. Peu de temps après sa disparition, un groupe salafiste inconnu a publié une vidéo sur YouTube montrant un Arrigoni meurtri et ensanglanté et en menaçant de le tuer dans  30 heures si le Hamas n'aurait échoué à libérer un groupe de prisonniers jihadistes. Les forces de sécurité ont trouvé le corps de Arrigoni peu de temps après, en avance sur la date limite, dans une maison abandonnée dans le nord de Gaza.

Parmi ceux qui le groupe a exigé être libéré a été un leader du groupe salutiste  Tawhid wal Jihad (Unité et Guerre Sainte), qui a nié toute implication dans l'incident. Le Hamas rapidement a arrêté plusieurs des suspects dans l'affaire, et une semaine plus tard, a fait une descente dans une maison où trois autres suspects auraient été cachés. Deux ont été tués durant le raid, et un troisième a été placé en détention. La mort de Arrigoni a choqué la communauté locale et les travailleurs humanitaires internationaux et des activistes dans la bande de Gaza, où il avait vécu et travaillé pendant plus de trois ans avant sa mort.

dimanche 18 septembre 2011

Procès Arrigoni. Le «nouveau» Egypte permettra ou pas l'accès à la défense italienne?

En deux jours, l'avocat la famille  Arrigoni, accompagné par une petite délégation de citoyens italiens, se rendra à la ville de Gaza pour la deuxième journée du procès qui devrait faire la lumière sur l'assassinat et les assassins de ce qui, pour des dizaines de milliers de personnes, 
était "la voix de la bande de Gaza." 
À une distance de 48 heures du départ, l'avocat Pagani, même  ne sais pas si l'Egypte va lui donner la permission de traverser le passage de Rafah. 
Les représentants de l'Etat italien, dont le devoir est d'établir la vérité et obtenir justice pour son citoyen assassiné il ya cinq mois, quoi qu'ils font pour remplir leur tâche? 
Nous savons que Victor était une voix inconfortable aussi pour notre gouvernement, mais cela ne peut pas empêcher la recherche de la vérité ou la réduite du devoir par le ministre des Affaires étrangères, à faire tout ce qui est possible - et ce qui est dû - au but de garder  la Justice à la mémoire de Vik. Le président Napolitano, a déclaré Avril 16me "Vérifier immédiatement la vérité." 
Il a été cinq mois depuis cette déclaration, pour ça nous demandons que l'Etat italien doit faire son devoir au but que les mots de Napolitano n'ont pas le son de la pure rhétorique.


Bureau de Presse FreedomFlotilla Italia
Contacts: +39 338.1521278


source: PROCESSO ARRIGONI. IL “NUOVO” EGITTO CONSENTIRÀ O NO L’INGRESSO ALLA DIFESA ITALIANA?

mercredi 7 septembre 2011

IL MANIFESTO Vik Arrigoni pour demain le procès


Update sur cet article: La première audience a eu lieu aujourd'hui dans le procès pour l'assassinat du activiste italien Vittorio Arrigoni qui a brusquement pris fin lorsque le président de la Cour a refusé d'admettre l'avocat de la famille Arrigoni, Iyad al-Alami du Centre pour les droits de l'homme à Gaza, dans le démarches. Il avait une procuration de la famille Arrigoni. Le procès a été reporté pour le 22 Septembre.


source: New details emerge as Arrigoni murder case goes to trial by MICHELE GIORGIO on SEPTEMBER 8, 2011 Update from Michele Giorgio's Facebook page:

IL MANIFESTO 

Vik Arrigoni pour demain le procès

07/09/2011
 Michele Giorgio

traduction par Erminia Scaglione

Vittorio Arrigoni a été étranglée entre 23 heures du 14 avril et une heure du15me. Il était encore vivant dans la vidéo tournée par ses ravisseurs et mise en ligne. Le visage tuméfié et ensanglanté du militant et journaliste italien montré par les images filmées a été le résultat de coups durs qu'il avait reçu, en particulier l'un frappé à la tête avec la crosse d'un fusil par Bilal al Omari, son compagnon occasionnel du club de gym, dans le premières phases de la saisie afin d'arrêter sa tentative de se libérer et à s'échapper. À rapporter nous ces détails ci et beaucoup d'autres d'avance de l'ouverture, demain à Gaza City du procès contre quatre Palestiniens accusés d'enlèvement et de l'assassinat de Vittorio, a été hier Mohamed Najar, avocat de Jram Khadr, 26 ans, un des jeunes palestiniens du camp de réfugiés de Chati, avec une affectation dans les pompiers, qui a avoué qu'il avait lui-même indiqué Victor comme l'étranger à capturer au groupe, (prétendument) salafiste qu'en avril dernier, sous le commandement du Jordanien Abdel Rahman Breizat, a revendiqué l'enlèvement de Vik. Najar, en nous montrant des photocopies des documents officiels reçus par le bureau du procureur militaire, a lu les passages les plus pertinents des confessions faites par les accusés pendent les interrogatoires. C'est "la vérité des accusés" - Mohamed Salfi, 23 ans d'Karama; Tarek Hasasnah, 25 ans deChatt, Amer Abou Ghoul, 25 ans de Chatt et Khadr Jram - qui peut-être ne correspond pas entièrement à ce qui s'est passé. En outre, les deux autres membres du groupe des ravisseurs le jordanien et le palestinien Breizat Omari, considérés les «leaders» de la cellule salafiste, ne peuvent pas dire leur version. Ils ont été tués quelques jours après la découverte du corps de Vik pendant le Blitz fait, dans leur retraite de Nusseirat par une unité spéciale du Hamas. Cependant, il est la première fois, cinq mois après l'assassinat de Vittorio, qui est révélée, même partiellement, les fichiers d'enquêtes menées par le bureau du procureur militaire du Hamas, (tous les quatre accusés sont membres avec des différentes tâches des forces de sécurité) et qui a été jamais livré à aux avocats de la famille Arrigoni. Il ya deux jours qu'il est enfin arrivé à Gaza en provenance d'Italie la poursuite, (basé sur les critères fixés par le mouvement islamique) en faveur du Centre palestinien pour les droits de l'homme, qui représentera les parents de Vik à l'audience demain. Il est à espérer que le Hamas ne peut pas trouver plus d'excuses pour ne pas la reconnaître.

Pour quoi Vittorio a été tué à Gaza où il avait passé les dernières années de sa vie et où il jouissait de l'estime de beaucoup de Palestiniens? L'avocat Najar a une longue réponse àcette question que plusieurs des gents se posent depuis des mois "Par les confessions et déclarations de mon client et des autres inculpés c'est clair que l'intention du groupe, de manière informelle pas une véritable organisation, était de saisir un Occidental pour obtenir la libération du cheikh Abdel-Walid al-Maqdissi, arrêtés par le Hamas pour des activités subversives ", a déclaré Najar. "Breizat était retourné à Gaza (la première fois il yest entré il y a un an et il était revenu avec des faux documents, entre Février et Mars du 2011, ndlr) dans le but exprès de trouver un moyen pour libérer le cheikh Maqdissi que a été son maître en Jordanie ", a ajouté l'avocat en faisant valoir que" grâce à l'enlèvement les jeunes voulaient affirmer l'existence de leur cellule armée (idéologiquement liée àTawhid wal Jihad, ndlr) et qu'ils n'avaient aucune intention de tuer l'italien ". Vrai où Faux?Najar soulève ses épaules. "C'est ce quoi j'ai lu dans les actes." Pourquoi lui c'est à dire Vittorio Arrigoni? "Mon client (Jram) qui travaillait dans la caserne des pompiers en face d'un bâtiment fréquenté par Vittorio m'a dit qu'il avait insisté beaucoup sur ce nom parce qu'il était connu dans la bande de Gaza et, selon lui, l'Italien menait une vie mal adaptée aux coutumes locales, et trop occidentale " Pratiquement , l' avocat a déclaré: "Le bout del'enlèvement était de faire liberer avant tout Maqdissi et immédiatement après avoir donné une leçon à l'italien: l'écraser, lui faire peur pour ensuite le libérer."
Mais choses se sont passèes autrement et Vik a été brutalement tué. "La police du Hamas, (le soir du 14 avril, ndlr) a reconstruit dans quelques heures la dynamique de l'enlèvement et a arrêté Jram immédiatement et Khadr Jram qui suivait les mouvements de Vittorio Arrigoni, qui lui avait parlé le soir de l'enlèvement et il avait rapporté ses mouvements aux complices. Pour éviter la capture de sorte Breizat a tué l'Italien et les autres deux complices ont essayé de faire perdre ses traces, ainsi que deux les autres (al Omari et Salfi, ndlr), mais ils ont été rapidement identifiés ". La figure du Jourdain, décrite comme homme froid et calculateur par les autres membres du groupe, reste mystérieux, même dans l'enquête menée par le Hamas. Avec le défilement des actes l'avocat Najar a déclaré que le bureau du procureur militaire n'a pas été capable d'établir les liens entre Breizat et "forces extérieures"concernés à l'élimination de Vittorio Arrigoni, mais les enquêteurs ne les excluent pas.

L'impression que nous avons acquis, hier est que pendant le procès L'avocat Najar et les légales des autres accusés adosseront à Breizat et à al Omari, qui ne peuvent plus parler, les principales responsabilités . Salfiti, par exemple, a déclaré lors de son interrogatoire que lorsque Vittorio a été tué ", il était aux toilettes" et n'a rien vu. Hasasnah a donné une version similaire. Jram, au contraire prétend d'avoir joué un rôle secondaire, et pas du tout opératif , dans la gestion de la saisie et al Goula dit qu'il a seulement loué l'appartement utilisé par les ravisseurs pour cacher Vittorio et qu'il n'avait jamais entendu parler des intentions du groupe armé. Donc nous allons voir un intensif " pète en gueule". En attendant Jrar se déclare "très désolé" d'avoir insisté sur l'enlèvement de Vik et il espères dans une condamnation à peu des années de prison. C'est au juge militaire Abou Omar Atallah de clarifier l'événement en mettant un terme à la réticence des autorités du Hamas qui pendant cinq mois n'ont pas publiée aucune déclaration sur l'assassinat de Vittorio. Et  même la date du procès n'a pas été encore annoncé.



GAZA CITY (Ma’an) -- The first session of a trial to sentence the murderers of Italian activist Vittorio Arrigoni is due to start on Thursday in a Gaza court. 
The Italian activist and journalist was murdered after being kidnapped by a group that identified itself as Salafist, on April 15, 2011.
He was found hanged in a house northwest of Gaza City.
Hamas security forces were able to find the group responsible for the murder in An-Nuseirat refugee camp, three days after the murder.
Clashes erupted between the group and Hamas forces killing two of the accused murderers.

A third was injured and a fourth detained.
President Abbas condemned the murder of Arrigoni as a "grotesque and disgraceful crime."
News of the Italian activists' murder was greeted with widespread condemnation and demonstrations and vigils were held across the West Bank in his memory.







Gaza - Palestine Presse -       

La complexité d'un tribunal palestinien du gouvernement de Gaza aujourd'hui a écarté sa première session pour examiner la question de la solidarité du procès contre les tueurs du pacifiste italien Vittorio, qui a été tué dans la ville de Gaza, le 14me du mois d'avril. Le journaliste italien pacifiste Vittorio enlevé pendant moins de vingt quatre heures avant qu'il a été tué par ses ravisseurs, et trouvé pendu dans la zone du projet Amer au nord-ouest de la ville de Gaza. Forces de sécurité du gouvernement, trois jours après par le siège du groupe responsable de l'enlèvement et l'assassinat dans le camp de Nusseirat, où des affrontements violents ont eu lieu au moment ont conduit à la mort de deux des accusés de l'assassinat et ont blessé un troisième et embarqué un quatrième avec son arrestation. Il s'avère que l'un des ravisseurs est un ressortissant jordanien, et il a été transféré à Amman, où ont eu lieu là-bas ses obsèques .




Du journaliste italien Michele Giorgio

"Le premier jour du procès aux assassins de Vittorio Arrigoni est retardé au 22 Septembre"

Le premier jour du procès des tueurs de Vittorio Arrigoni a pris fin en un ajournement hâtif au 22 Septembre. Vittorio a été kidnappé et après quelques heures étranglé dans la bande de Gaza en avril dernier. Le juge en chef n'a pas permis d'entrer à Eyal-Alami avocat du Centre des Droits Humains à Gaza qui a reçu le patronage de la famille de Vittorio.


From Italian journalist Michele Giorgio

"Vittorio Arrigoni's trial put off until 22 September"

The first day of the trial to Vittorio Arrigoni's killers ended in an hasty adjournment to September 22 . Vittorio was kidnapped and strangled after a few hours in the Gaza Strip last April. The Chief Justice didn't allow to get in Eyal-Alami lawyer of the Human Rights Center in Gaza who received the patronage from Vittorio's family.




Breaking news: Procès Arrigoni
de Meri Calvelli, activiste italienne à Gaza: - Il nous a faits un certain effet entrer dans le tribunal et de voir les prévenus, qui riaient , trop sûrs de soi même pour le dégoûtant crime qu'ils ont fait. Le procès de toute façon a été renvoyé au 22 septembre. -


http://www.facebook.com/notes/international-solidarity-movement/vittorio-arrigoni-trial-day-one/10150784519335258

8 September 2011 | International Solidarity Movement, Gaza

The trial of four surviving defendants in the April 14 kidnapping and murder of Italian journalist and International Solidarity Movement activist Vittorio Arrigoni began today in a Gaza military court.


The hearing, which began at 10:30 am, was open to the public. Two International Solidarity Movement members, along with a number of Vittorio’s Palestinian and international friends, observed it.


It was held in a light, airy hall in Gaza’s military court compound. The four defendants, Abu Ghoul, age 25, Khader Jram, age 26, Mohammed Salfi, age 23, and Hasanah Tarek, age 25, appeared to be in good health, occasionally smiling or waving to family in the courtroom.


Proceedings began with a request by attorneys from the Palestinian Center for Human Rights (PCHR), which holds power of attorney for Vittorio’s family in Bulciago, Italy, that they be allowed to participate in the trial.


Military judge Abu Omar Atallah responded that while Palestinian military law does not allow for participation in criminal trials by third parties, the case and its files would be open to PCHR as well as the public.


After the PCHR attorneys moved their chairs from the front of the courtroom back into the public seating, prosecutors attempted to introduce the video contents of a compact disk, as well as a forensic report on the crime scene, as evidence.


The defense counsel responded that the prosecution had not yet made these materials available to them, and that they would need time to review them before deciding on their legal strategy.


Prosecutors also asked that testimony from their witnesses be postponed to allow them further time to prepare. The defense counsel objected, noting that testimony had been scheduled to begin today.


Taking these positions into account, Atallah opted to allow time for the preparation of witnesses by the prosecution, and the review of evidence by the defense. Before adjourning the court at 11:30 am, he scheduled its next hearing for Thursday, September 22.