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samedi 28 juillet 2012

Syrie : libérés les deux italiens qui travaillaient en Syrie pour le groupe Ansaldo, mais il dira quoi Giulio Terzi ?

Sûrement Terzi ira exprimer sa joie pour la libération des deux italiens, mais sera-t-il capable de tolérer que sa version des faits ne correspond pas à ce qui s'est réellement passé aux deux techniciens ?




(ASCA) - Rome, Juillet 28 - Deux ingénieurs italiens, qui ont travaillé pour le groupe Ansaldo en Syrie, ont été libérés après avoir été disparu depuis une semaine. Il l'a rapporté l'agence l'officielle syrienne SANA, comme rapporté par l'AFP. Ce lundi dernier, le ministère italien des Affaires étrangères avait annoncé que les deux avaient été arrêtés par la police syrienne sur la route entre Damas et l'aéroport alors qu'ils s'apprêtaient à quitter le pays. L' agence Sana écrit plutôt que'' lors des opérations pour dégager les insurgés dans certaines régions, les troupes syriennes ont libéré les deux experts italiens qui avaient été enlevés par des groupes terroristes.'' Selon les rapports sur le site Web du journal génois Il Secolo XIXe , la télévision d'Etat syrienne a montré des images de deux Italiens, en fournissant leurs noms: ce sont le génois Oriano Catani (64 ans) et le romain Domenico Tedeschi (36), bien que'' translittération'' des noms et «a été prise de l'arabe, de sorte qu'elle pourrait être inexacte. Les visages des deux ingénieurs italiens ont fait leur apparition pendant quelques instants sur l'écran et pendant les images transmises en bref, les deux sont apparus fatigués mais en bonne santé. Employés de la centrale de Deir Ali, près de Damas, les deux hommes avaient disparus le 18 Juillet dernier. Red-uda /

source: http://www.asca.it/news-Siria__liberati_due_italiani_che_lavoravano_per_gruppo_Ansaldo-1182179-EST.html

VOICI L'INTERVIEW QUE LES DEUX DE OTAGES TECHNICIENS ITALIENS DE L' ANSALD
O ENLEVÉS "PAR LES" REBELLES "ONT DÉLIVRÉ À LA TÉLÉVISION SYRIENNE EN PARLANT DE LEUR EXPÉRIENCE PASSÉ, NOUS LA PUBLIONS DANS LA LANGUE ORIGINALE SOUS-TITRÉE EN ITALIEN AVANT QUE, PENDANT LEUR VOYAGE DE RETOUR EN ITALIE, ILS SERONT PRESSÉS AFIN DE MODIFIER LEUR TÉMOIGNAGE.

pour voire la vidéo cliquer ici: https://www.facebook.com/photo.php?v=504446356249127


jeudi 12 avril 2012

Procès Arrigoni: Maintenant les accusés rétractent


C 'est une claire tentative  de charger tous les responsabilités   sur les deux autres membres du (présumé) groupe salafiste», qui a enlevé Vittorio, et qu'ils ont étés tués dans une fusillade avec la police et qui donc ne peuvent pas raconter leur version des événements.

Gaza 12 Avril 2012, Nena News

Trois des quatre Palestiniens accusés d'enlèvement et de l'assassinat des Vittorio Arrigoni, qui a eu lieu le 15 Avril de l'an dernier dans la ville de Gaza, ont largement rétracté les aveux qu'ils ont faits au cours des interrogatoires qui ont suivi leurs 'arrestations par la police du Hamas.

Lors de la séance qui a eu lieu ce matin devant le tribunal militaire de Gaza dans une salle pleine des amis et des connaissances de Vittorio, Mahmoud Salfiti, Tamer Hasasnah et  Jram Khader, ont déclaré qu'ils avaient avoué «sous pression» leur participation à la l'enlèvement. Jusqu'à maintenant, ils avaient dit qu'il avaient disposé l'enlèvement dans le but d'obtenir la libération du cheikh al Maqdissi, le chef du groupe salafiste Tawhid wal Jihad arrêté quelques mois avant par le Hamas. Pour la plupart ils ont nié qu'ils étaient au courant du plan de tuer le militant italien qu'ils disent, avait été secrètement mis au point par les deux «leaders» du groupe, le Jordanien   Abdel Rahman Breizat et par  Bilal Omari, les quels ont été tués peu de temps après 'l'assassinat de Vittorio dans une fusillade avec la police.

Les trois, presque à l'unisson, ils ont dit que leur seul but était de "donner une leçon à l'italien," qui, selon eux menait une vie  inadaptée aux traditions et aux sentiments religieux qui prévalent dans la bande de Gaza.

C'est une tentative évidente mené par les avocats de la défense pour décharger toute responsabilité pour l'assassinat de Vittorio Arrigoni sur  Breizat   et Omari qui ne peuvent pas donner leur version des événements. 

source : Nena News

samedi 17 mars 2012

VITTORIO ARRIGONI, VICTIME OUBLIÉE D'UNE FARCE DE PROCÈS



La maman du Pacifiste italien : "à Gaza seulement des retards et des déceptions seulement et aucune aide du gouvernement italien ». 
Pendant six mois et après une douzaine des audiences, le débat s'est empêtré dans des procédures du tribunal militaire du Hamas 


GAZA —C'est inutile de frapper. Personne ne vous ouvre pas.
Ce jeudi à 10b heures, dans la ville de Gaza, la Cour est fermée, la petite porte verte interdite. Mais ne devait on pas assister à l'audience du procès Arrigoni ?


«  C'est Retourné ».








Une fois ici, il y avait l'asile des Arafat. Aujourd'hui, qui au contraire ce lieu hôte la justice du Hamas, dans le Hall d'entrée, dans une entrée humide  il y a un huissier en pantoufles avec des réponses à la main écrites sur une feuille de papier:


« Rien, aucun procès ! Raisons de sécurité ! N'avez vous pas vu qu'ils sont les bombardements israéliens ? ».


Mais s'ils se sont arrêté depuis trois jours...


« Non, c'est trop dangereux. Pour la sécurité des juges, des accusés et aussi la vôtre. Donc c'est juste un retour ».


Il sera pour quand alors ?


« Je ne sais pas. »


La déception est commune à peu de gens. Quelques amis, quelques journalistes, sans surprise. Il se passe de cette façon depuis des mois : un document de la procure pas traduit, un papier sans timbre, un témoin a été absent (pas) justifiée, le procureur qui s'les est oublié à la maison questions à faire, les avocats qui ne peuvent être  à côté de la cage...


« Chaque fois ils inventent quelque excuse », sourit Nathan Stuckey, 34 ans, qui était un broker à Chicago et vit maintenant comme coopérant du Ism, le mouvement de solidarité International:
« Nous pensons que les véritables tribunaux sont autre chose que ça. Et que l'attention du monde, ici, ce n'est pas comparable au procès de O.J. Simpson en ce cas...».


Tous debout, la Cour entre. Au contraire non pas du tout. Entre un mois, il sera le premier anniversaire de la mort de Vittorio « Vik » Arrigoni, le pacifiste qui a vécu à Gaza et en l'espace d'une demi-journée il a été enlevé, battu,filmé et étranglé immédiatement avec du fil de fer par un groupe de fanatiques salafistes.


Depuis six mois et une douzaine des audiences, le procès aux quatre accusés s'empêtre dans des procédures du tribunal militaire du Hamas, dans un silence presque total des médias, dans l'indifférence générale de l'opinion publique.


Les tueurs ont avoué tous.


Et si à Gaza il faut habituellement juste un demi-heure de procès pour infliger une pendaison, dans ce cas on dilate le temps depuis longtemps et sans des raisons évidentes.


« En théorie, au moins deux des quatre accusés risque la pendaison —nous anticipe le procureur-général, Ahmad à Allam,au  béret vert et au Coran  sur la table — Mais il y a un mois qui nous est arrive une lettre de la mère d'Arrigoni. Ou elle nous apprend qu'elle s'oppose à la peine de mort : et on doit en prendre compte ».


Jeunes, à la longue barbe, chaque fois qu'ils viennent ici les accusés ils récitent la part des killer star.


« Tout est déjà décidé, à la première audition, je les ai vu rire et j'ai eu un attaque de nausée  » , Il nous dit Riziq Ebaa un mec palestinien qui a le nom de Vik tatoué sur le bras.


« les défendeurs et leurs familles ont une façon de se montrer à nous très hostile — dit Rosa Schiano, 29 ans, napolitaine —  une fille bénévole du Ism. —   La chose étonnante c'est que dans la salle du tribunal ils peuvent prendre la parole, bavarder, se transmettre des messages, la dernière fois qu'il s'est passé, je me suis levé debout et j'ai protesté.»


Quand Victor a été tué par des Palestiniens, lui qui à Gaza, il était venu pour aider les Palestiniens, lui qui a toujours contesté comme injuste à Israël le droit de sceller un million et demi d'habitants, son cercueil ne fut pas rapatrié en passant de Tel-Aviv. Le Hamas n'est pas entrain de le remercier d'une telle amitié en se portant dans une façon respectueuse.


L'enquête est résumée dans les deux petites pages de mise au jour :
On sait bien qui a été le coupable ; Il n'est pas connu si, quand et à combien de temps de prison les coupables pourront  être condamnés. La dernière personne qui a vu Arrigoni vivant, Salman Hat, le gardien de la maison où il vivait, il n'a pas encore été entendu par la court. Deux des accusés étaient du Hamas : Ils n'ont pas encore expliqué qui les a envoyé , ni pourquoi ils ont choisi juste Vittorio.


Les juges  mêmes , qui portent des longue barbe égales  à ceux des accusés, ils ne cherchent pas du tout de demander quelque chose de plus que des information générales seulement. Mêmes le chef de la bande, Abdel Rahman Breizat, le mystérieux jordanien qui est entré dans la bande de Gaza deux semaines avant le crime : on a dit soudainement qu'il aurait voulu permuter l'otage Arrigoni avec le Cheikh Salafi  Al Maqdisi, son guide spirituel, détenu à Gaza. Mais personne ne pourra jamais arriver à une certitude à ce sujet : Car ce Jordanien, avec une autre personne du groupe,il  a été tuée immédiatement par la police.


« J'ai contacté le frère de Breizat à Amman — il nous raconte Khalil Shanin, du Centre palestinien pour les droits de l'homme — et j'ai réalisé que la version du Cheikh ne tient pas l'eau. Le chef de la bande soutenait la résistance palestinienne, et il avait été une année à Londres payé par le (gouvernement) d'Amman. Quoi il avait a partager avec les salafistes? ».


Il y a quelques semaines que l'informateur de la gang, Aamer Abu Ghula, un mec qui en sait beaucoup, il a été inexplicablement mis en liberté et il est disparu.
« Même dans l'Ouest, il existent des procès par défaut — dit nous Allam le procureur avec suffisance  — et cependant nous sommes engagés dans la chasse à lui », comme si c'était compliqué de trouver un fugitif dans une zone fermée de 40 kilomètres : Aamer s'est enfui à travers le tunnel, sans doute, et ils i sont des rumeurs qui disent qu'ils est en Égypte.


Ce procès est une farce très triste.


« J'ai jamais vu une chose tellement approximative », nous dit malheureux Gilberto Pagani, l'avocat de la famille Arrigoni: « J'ai pu assister à une séance seulement. Mais même si je les aurait suivies toutes ... Il en sort rien du tout. Les interrogatoires sont simplement ridicules. Les actes du procès sont évasifs. Les témoins ne sous sont communiquées. Nous nous sommes constitué partie civile, mais nous n'étions pas admis dans la salle d'audience du Tribunal, parce que la Loi militaire ne le permet pas. L'Italie, qui dans ces temps se montre très active dans la protection des "Marò", (les soldats du bataillon de la Marine S.Marco) en Inde, on l'a pas vue une seule fois dans la salle d'audience du Tribunal, ( c'est à dire n'a rien fait pour Vittorio). Le Hamas est considéré comme une organisation terroriste, Rome ne la reconnaît pas comme interlocutrice et pendant ce procès l'Italie n'a pas envoyé, jamais, pas même un seul observateur.


La maman de Vik, Egidia Beretta, maire de Bulciago petit village près de Lecco, ainsi que l'avocat a écrit au Président de la République Napolitano, parement aux anciens ministres des affaires étrangères et de la justice, Frattini et Nitto Palma, en se plaindrant et demandant la raison de cette indifférence.


Mais personne n'a jamais répondu:
« Mes lettres sont tombées dans l'air mince — elle dit — le gouvernement italien n'a rien fait. Par la Farnesina nous n'avons eu plus aucun contact ni aucune nouvelle depuis avril. De toute évidence, l'assassinat d'un bénévole italien est sans une relevante importance et il est d'un valeur même mineur le respect pour sa famille. En décembre, j'ai écrit aussi aux nouveaux ministres, Giulio Terzi et Paola Severino ».


« En février, il m'a répondu enfin le Garde des Sceaux. Pour me dire qu'il avait donné instruction au personnel d'examiner cette question. Et je sais combien il admirait mon opposition à une éventuelle peine de mort. C'est Vittorio qui me l'a appris, " Restons humains" : comme j'aurait pu, sinon, répéter encore cette phrase? »


Le papa d'Arrigoni meurt quelques mois plus tard que Vik et Egidia a douté avec lui jusqu'aux dernier moments, d'une vérité vraiment trop superficielle:


« Au sujet du procès, dans un premier temps j'avais confiance. Maintenant je me sens déçue, je ne peut pas en voir la fin. Ni la réponse à ce que nous voulons vraiment savoir, c'est à dire : Pourquoi ? Vittorio, à cette époque, il était à la veille du retour. Si je ne pleurai pas. j'aurai envie de sourire lorsque j'entends qui aurait été frappé parce qu'il était trop "occidentale": Vittorio il a été un Palestinien parmi les Palestiniens . Comment peut on croire, que volontairement, un jeune Jordanien a pu entrer dans la bande de Gaza par les tunnels et surtout en raison de frapper Vittorio ? Puis-je être sceptique ?».


Maman Beretta peut-être elle ira voir Gaza pour la première fois le 15 avril prochain, pendant l'anniversaire de la mort de Vittorio, lorsque on nommera en souvenir de son fils un nouveau put d'eau destiné à plus des 20.000 familles de réfugiés.
A l'attendre, si il viendra, il sera un vieil homme avec le visage ridé, Farur Gharami, de 64 ans. C'est le père d'un des quatre coupables, Khader, ceci qui a fait le guet:


« Je veux juste dire le merci car elle a demandé de ne les pas condamner à mort. »


Il pleut, dans la cabine gelée du camp de Shaati. Et Farur a dans ses bras une nouveau-née presque nue. Dans l'autre main une torche parce la lumière manque de la bande de Gaza depuis plus d'un mois. Le vieil homme, il pleur:


« Mon fils a été un idiot. Et nous la mort nous l'avons déjà dans nous même à l'intérieur ».


Francesco Battistini
Source: www.corriere.it
VITTORIO ARRIGONI, VITTIMA DIMENTICATA DI UN PROCESSO FARSA
16.03.2012


traduction d'E.Scaglione





En 2007, nous avons essayé en vain d'entrer à Gaza à travers le passage de Erez contrôlé par Israël. À l'époque les factions palestiniennes rivales du Hamas et du Fatah ont été engagées dans une guerre sanglante pour le contrôle de cette minuscule bande de terre. Le Hamas a gagné. Lorsque le gouvernement de l'Egypte post-Moubarak a décidé de commencer à laisser passer un petit nombre de gens à Gaza grâce à leur passage de Rafah, nous avons compris que c'était notre chance pour enfin obtenir un rare aperçu de la crénelée bande de Gaza et de voir comment c'était la vie sous la règle des lois du Hamas. 

CRIME AND PUNISHMENT IN THE GAZA STRIP

vendredi 6 janvier 2012

VITTORIO,déception pour le développement du procès

La procédure qui avait promis vérité et justice semble s'enliser rapidement. De nouveaux détails émergent par les aveux des accusés Vittorio été traqué pendant deux mois. A le tuer ils ont étés trois personnes.

MICHELE GIORGIO

Gaza, 06 Janvier 2012, Nena News -

Il y a une limite à la compréhension des problèmes et des difficultés que dans la bande de Gaza traverse le système judiciaire. Il est inacceptable ce qui s'est passé hier à la Cour militaire de la Bande, où pendant quatre mois est en cours le procès aux accusés pour l'enlèvement et l'assassinat de Vittorio Arrigoni accomplis à Gaza cet avril dernier par une auto-proclamé cellule salafiste.

Des rumeurs ont annoncé une séance d'une importance particulière. Donc, nous espérions de voir une véritable épreuve et un débat réel, au sujet des raisons pour lesquelles a été commis un enlèvement et un assassinat qui ont généré une grande indignation dans la bande de Gaza et en Italie. Vittorio était un ami des Palestiniens, il avait entrepris de diffuser des informations détaillées sur la situation de Gaza et de chercher de protéger et , avec sa présence dans les zones à risque, les agriculteurs et les pêcheurs (les gents plus touchés par mesures de restriction appliquées aux autorités de Gaza , par l'armée israélienne). Mais les choses d'hier sont allées dans le sens inverse de ce qu'on espérait. La dernière séance a été la plus courte des neuf qui ont eu lieu depuis l'8 Septembre à ce jour et aussi le plus inutile et,à certains égards, aussi la plus paradoxale.
La première surprise est venu par Abu Amr Ghoula un des quatre accusés, en résidence surveillée, car il est accusé des infractions mineures. Abou Ghoula hier il ne s'est fait pas trouver dans la cage des accusés, en violation de l'ordre de comparaître à l'audience. Le tribunal, après avoir enregistrée son absence, il a immédiatement émis un mandat d'arrestation, mais jusqu'à hier soir au sujet de Abou Ghoula on ne savais rien. La deuxième surprise a été la rapidité avec laquelle le même tribunal, après avoir appris que la défense n'avait pas reçu certains documents relatifs aux éléments de preuve produite par le bureau du procureur militaire, a ajourné le procès au 16 Janvier. De quatre à cinq minutes en tout, il est temps de l'audience. Bon tout ça c'est inacceptable.


En Septembre, le procureur avait parlé d'un calendrier serré pour la réalisation du procès en pleine conformité avec, bien sûr, des droits des accusés et de toutes les parties impliquées.Sans parler des assurances données à la famille Arrigoni à l'Italie par Ghazi Hamad, ministre adjoint des Affaires étrangères du gouvernement du Hamas. Mais les mois qui sont déjà passées sont quatre et neuf sont les auditions qui n'ont pas étés suffisantes pour aller à lasubstance d'une un assassinat que le mois d'avril dernier a fait parler de soi le monde entier. Il s'agit d'un affront à notre avis, à la famille Arrigoni qui a également choisi la confidentialité, en évitant de commenter publiquement au sujet de l'enquête et du procès. Sans oublier que Egidia Beretta et Alessandra Arrigoni, la mère et la soeur de Vittorio, le mois dernier,en répondant à un appel lancé par proches des accusés, avaient ouvertement exprimé leuropposition à une possible condamnation à mort (dont on est certains à Gaza).

Egidia Beretta et Alessandra Arrigoni cependant, elles avaient également demandé justice et clarté au sujet d'un crime qui se révèle chaque fois terrible pendant qu'ils ressortent des nouveaux détails par les aveux faits par les accusés (qui maintenant n'affirment plus de les avoir signés sous la pression). Une source journalistique de Gaza a livré au journal Il Manifesto les textes des aveux de deux des accusés, Mahmoud Salfiti et Khader Ijram, qui ajoutent des détails importants à des faits déjà connus. Ijram - pompier à la gare de la défense civile située en face du bâtiment où Victor avait vécu pendant une longue période - a fourni pendant deux mois des informations détaillées à la (présumée) cellule salafiste au sujet des mouvements du militant italien. Aux enquêteurs, il a expliqué candidement que «il n'a pas eu la force de dire non» à son ami, Tamer Hasasnah un des accusés, et selon ce qui est émergé celui qui a été jugé responsable de l'organisation technique de l'enlèvement. Plus important encore sont les aveux de Mahmoud Salfiti. Qui en répondant aux questions de la police après son arrestation, Salfiti a dit que tous les membres de la cellule avaient accepté sans hésitation, la décision prise par le «chef», Le jeune jordanien Abdel Rahman Breizat (qui a été tué avec le palestinien Bilal Omari dans une fusillade avec la police du Hamas), "d' éliminer l'otage" en face au refus par le gouvernement de Gaza de libérer le cheikh salafiste al Maqdissi qu'ils voulaient échanger avec Vittorio. Salfiti a également dit aux enquêteurs qu'ils sont étés trois entre eux à tuerl'italien et pas seulement Breizat comme, cependant, au debut on avait appris . La décision de ne respecter pas l'ultimatum et de tuer l'otage, afin de s'échapper, a été prise par Breizat mais toujours avec le consentement plein et a convaincu des autres membres de la cellule. Reste valide, toutefois l'hypothèse que l Jordanien ait réalisée des instructions d'un diecteur, par l'extérieur décidé de réduire au silence une voix désagréable. 


source: Nena News

mardi 20 décembre 2011

A.A.A. On cherche Vérité et justice… à l'impasse le procès à Gaza

Après 10 séances on a pas progressé. Il y a seulement une vérité officielle, illogique et boîteux, dont nous ne pouvons contenter, tandis que les points obscurs restent tous irrésolus. Et l'État italien ne fait rien.

GILBERTO PAGANI * 20.12.2011

Le procès Arrigoni à gaza est arrivé à l'impasse. Après 10 séances, ( le procès est entamé en réalité à juillet et il y a été une audience aussi en août même si ça s'est appris récemment) On peut dire que on n'a pas progressé dans la recherche de la vérité. Dans chaque audience La pantomime pseudo-garantiste répétée pour laquelle de temps en temps, le procureur militaire se daigne de fournir éléments de preuve recueillis en avril, les avocats de la défense donc demandent une remise de l'audience pour les pouvoir examiner, le tribunal l'accorde, et donc d'un renvoi à l'autre les temps passe dans l'espoir que le la situation décantes et que sur la mort de Vittorio se pose la poussière de l'oubli. Ils arrivent des choses incompréhensibles, d'autant plus si l'on considère que le procès se déroule devant un tribunal militaire, dans une situation de guerre, dans le contexte que nous connaissons: les témoins n'arrivent pas, la Cour prend note de ça, nouveau renvoi.  Les informations sont identiques à celles q'on se connaissaient déjà, donc on sai bien que deux des assassins sont morts, même si il n'est pas confirmé que l'un (le jordanien présumé directeur l'opération ) s'est suicidé. Il y a beaucoup de points obscurs au sujet de la reconstruction de cette opération policière.Les trois autres auteurs de l'enlèvement et de l'assassinat ont adossées les responsabilités principales aux deux sujets qui ne seront jamais en mesure de fournir leur version des événements. Les déclarations mêmes des accusés , cependant, confirment que deux d'entre eux (en outre des deux victimes) ont matériellement eu concurrence dans le assassinat de Vittorio. 
Les aveux ne sont pas crédibles quand ils essaient de diminuer leur participation directe à l'assassinat, et surtout il n'est pas particulièrement crédible que les accusés ne savent pas ou ne veulent pas expliquer les raisons qui les ont induits à accomplir les crimes qu'ils ont avoué. C'est aussi très curieux que, comme on sait bien, les enquêteurs n'a pas estimé d'approfondir les détails des faits, en se contentant de l'aveu de l'enlèvement et de l'assassinat, sans faire aucun effort pour parvenir à la constatation de la vérité. Il ya une vérité officielle, illogique et boitant, dont on ne peut pas se contenter. Toutes les questions que nous posons sont encore sans réponse, en particulier les deux principaux, c'est à dire pourquoi juste Vittorio a été enlevé et pourquoi il a été tué avant même que l'expiration de l'ultimatum. Les enquêtes, au moins celles "officielles"» ont été fragmentaires, pour utiliser un euphémisme. L'impression nette, c'est que on veut couvrir la complicité des appareils d'Etat (de toute façon en effet trois des accusés sont des militaires), afin que la vérité n'émerge pas. Dans cette situation déprimante, dans laquelle parmi des autres choses, la condition et les possibilités d'action des volontaires internationaux à Gaza sont gravement compromises, brille comme un phare d'espoir à la lettre aux familles des accusés que la famille Arrigoni a rendue publique aujourd'hui parmi le Palestinian Center for Human Rights. Comme on le sait la famille Arrigoni a exprimée clairement sa décision de demander que, s'ils seront condamnés, ne soit pas imposée la peine de mort pour les meurtriers.C'est un geste noble et généreux dans un moment où la haine et la vengeance sont le paradigme des relations sociales et juridiques, pas seulement dans le Proche-Orient, mais aussi chez nous, comme on sait très bien. Je ne sais pas combien d'autres personnes qui ont vu leur fils et frère tué dans une façon si barbare et inhumaine, seraient prêtes à un tel geste. Il ne s'agit pas de pardon, qui ne pourra être pas donné qu'après un repentir sincère pentiment et la pleine révélation de la vérité par les meurtriers. Il s'agit d'un message de vie dans un monde de mort, un cri d'espoir, un cri pour la paix et la fraternité, toutes les choses pour les quelles Vittorio a vécu, parce que on ne peut pas lutter contre la barbarie avec la barbarie et 'la haine avec la haine. La vérité sur la fin de Victor est certainement à Gaza, mais elle ne se trouve pas seulement là. Outre au message de condoléances du président de la République nos institutions n'ont rien fait pour faire la lumière sur l'assassinat de Vittorio, revenant sur une obligation juridique spécifique, même les ministères des Affaires étrangères et de la Justice et bien ils n'ont même pas envisagé de répondre à une invitation formelle à cet égard que j'ai leurs adressée ce Juin dernier. Bien sûr, la situation est compliquée, pas seulement ça, la Palestine n'est pas un Etat reconnu ,mais le Hamas (le parti au pouvoir à Gaza) est considéré comme une organisation terroriste par notre gouvernement, et bien que des autres gouvernements occidentaux ne partagent pas cette position et ont au moins des relations humanitaires avec Gaza. Ceci ne devrait pas être un obstacle qui empêche d'aider à faire la lumière sur l'assassinat d'un de nos compatriotes à l'étranger. Au contraire par contre, il pourrait être une occasion de surmonter ces positions obtuses qui ne sont pas bénéfiques, même à la politique étrangère du gouvernement.Aujourd'hui j'ai encore écrit au Président de la République et aux ministres des Affaires étrangères et de la justice pour les exhorter à faire leur devoir, c'est-à-dire de donner tout le soutien possible à la recherche de la vérité.Je souhaite que notre gouvernement tient à s'assumer se responsabilités et qu'il sorte de la ligne d'apathie et d'indifférence suivie dans le passé, en fournissant à la famille Arrigoni tout le soutien approprié et nécessaire. 

* l'avocat de la famille Arrigoni

mercredi 7 décembre 2011

7 ème audition ce matin pour Vik

7 ème audition ce matin 05/12/2011 pour Vik une grande présence d'amis et de proches des accusés, le procès commence par l'écoute d'un autre témoin, Abdel Razek Abou Harb, 40 ans résidant à Gaza, qui travaille au ministère de l'incendie (où ils travaillent aussi les autres accusés) les avocats de la défense s'opposent. 

L'avocat: nous nous opposons car "ce texte n'est pas écrit dans les procès-verbaux de l'enquête et donc son témoignage n'est pas légal. Nous n'avons pas eu communication de ça rien et alors il dit ce témoin pour nous, il n'est pas "acceptable.

Accusation: Le témoin a déjà publié sa déclaration, et si vous regardez attentivement entre les copies de l'enquête, il y a lu aussi. Pour nous la preuve ça va, nous n'avons pas d'autres questions à poser. La défense au contraire veut toujours allonger le temps donc demande qu'ils soient ajoutés des autres témoins clés, et lui demande de retarder le procès encore.

Juge: Le témoin sera entendu au tribunal et nous refusons la demande de la défense de l'omettre et de reporter la session. Le témoin présent est déjà écrit dans les actes avec sa déposition.

En suite il fait un reproche aux avocats de la défense: 
Juge: Vous ressemblez àdes enfants assis en classe qui n' écoutent pas la leçon, vous ne faite jamais aucune référence à l'enquête de la cause et demandez toujours références sans aucune intervention au sujet des actes d'accusation. Abdel le témoin est entendu 

Juge:. Est ce que tu connais quelqu'un des accusés? Est ce qu'ils y sont tes proches parmi eux? confirme tu ta déposition déja publié?

Abdel: J'ai des relations avec l'un des accusés, je ne connais qu'un seul, je confirme la déposition relâchée sans aucune pression sur moi.

Procureur: Il nous suffit la déposition on a pas d'autre questions. 

Avocat: connaissez vous les accusés? 

Abdel: seulement le 2 eme , Hasasna, je le connais parce qu'il est un co-travailleur.En tant que moi il travaille à Rimal dans les pompiers 

Avocat: Dans ton témoignage, quand on te demandait de quel parti faisait partie cette personne, tu a répondit qu'il était salafiste, pourquoi? l'ai tu connu avant ou après les faits? Abdel: J'ai répondu que j'ai entendu que c'était un salafiste, après les faits. 

Avocat: Avez-vous remarqué quelque chose de bizarredans son comportement avant que les faits? Est ce qu'ils y sont des motifs ou des preuves pour démontrer qu'il avait un rôle dans ce parti? 

Abdel: Je n'ai jamais été un ami de lui, je ne l'ai jamais fréquenté, donc je ne sais pas. 

Avocat: Vous avez dit que vous avez vu la victime souvent accompagnés par des femmes, sais tu s'il avait des relations sexuelles avec eux?

Abdel: Non, je ne sais pas.

Avocat: A tu jamais vu les femmes sortir tard dans la nuit de son domicile?

Abdel: Oui j'ai vu des femmes allant et venant de l'appartement. 

Avocat: A tu quelque chose de plus, quelque chose de bizarre ou qui n'était pas bonne?

Abdel: Non, je n'ai jamais vu rien d'étrange. 

Il est appelé le second témoin, mais Ahmad n'est pas présent, alors la défense a une autre fois demandé de reporter la session. Intervient dans la cour Khader Jreme un proche de l'accusé et demande au juge que soit entendu l'accusé et que sa position soit finalisé, ils y sont 8 mois, qu'il est détenu et la garantie vient à expiration (?) Les autres accusés sortent de la cage,en ne laissant que Khadr Jreme tout seul, le juge décide d'entendre ce qu'il a à dire la défense (l'Avocat Najar) à l'égard de son client.

Avocat: l'accusé est détenu depuis le 16 avril 2011 depuis environ 8 mois. Il a nié son implication dans l'enlèvement et dans l'assassinat, devant cette cour.
Il est actuellement chargé d'une accusation grave sans aucune preuve de son implication dans les événements. En outre les dates du rapport du Procureur général sont fausses entre la premiere et la deuxième interrogation. Nous déduisons qu'il ne fait pas partie de cette charge, il a avoué et a découvert ce qui s'était passé en travaillant avec la sécurité intérieure, il a tout dit et il a aidé la justice à prendre les autres accusés. Ce n'est pas juste qu'il reste en prison et il doit quitter immédiatement car il n'existe aucune preuve contre lui. Conséquent, nous demandons que l'accusé Jreme soit libéré parce que innocent et pas impliqué dans ce procès 

Accusation: L'accusé a été arrêté conformément à la loi 82/2000, car il était considéré comme faisant partie du groupe. Conformément à la loi 204 / 1936 (loi turque), il a agi avec les autres pour l'enlèvement de la victime et il a signalé l'objectif et il a accepté avec d'autres au sujet des modalités et desobjectifs de l'enlèvement. La demande a été que le gouvernement devrait accepter la libération d'un détenu. Pour ces accusations, le Code prévoit la peine de mort par pendaison ou la prison à vie. L'accusé est donc considéré comme dangereux et le ministère publicdemande qu'il ne soit pas libéré sous caution, car il pourrait contaminer les éléments de preuve et ça ne permettrait pas la continuation du procès.

Avocat: Selon l'Accusation tous les éléments de l'acte d'accusation sont dans le fichier que vous avez dans vos mains. En fait, si nous regardons bien les actes, dans les informations il n'est pas indiquée en aucune façon sa participation au meurtre de la victime. 

Juge: Nous rejetons la demande de libération de l'accusé Khader Jreme. Le procès est mis à jour au ce 19 Décembre 2011 prochain.



lundi 5 décembre 2011

VITTORIO: LA SEPTIÈME SÉANCE, LA VÉRITÉ LOINTAINE...

Mis à jour le 19 Décembre l'audience contre les assassins de Vittorio Arrigoni. Rien de pertinent pour établir la vérité. Encore pas de responsables de l'enlèvement et assassinat du jeune activiste italien, tué à Gaza ce 15 Avril dernier 

MARTA FORTUNATO


Beit Sahour (Cisjordanie), 05 Décembre 2011, Nena News - «Dans la maison de Victor ont été beaucoup de femmes?". Avec ces mots, l'avocat de la défense s'est tourné vers le seul témoin entendu aujourd'hui pendant le septième jour du procès aux ravisseurs et assassins de Vittorio Arrigoni. Cette fois encore la session, qui a duré 45 minutes, et s'est concentrée sur des questions secondaires et trompeuses et l'accusation n'a pas encore enquêté sur la véritable raison qui a conduit les quatre accusés - Tamer Hasasnah, Mahmoud Salfiti, Khader Jramet Amer Abou Goula - à enlever et tuer Vittorio Arrigoni ce 15 avril dernier. Le procès a été reporté au 19 Décembre et s'est terminé sans que aucun élément nouveau soit émergé pour établir la vérité. Ce matin, dans le tribunal militaire de la ville de Gaza, l'accuse a continué la présentation des témoins commencé lors de l'audience de 4 Novembre dernièr. La défense s'était initialement opposé à l'écoute des témoignages de ceux qui sont appelés par l'accusation, en disant qu'il n'a été pas écrit dans les actes. Le juge a demandé à la défense de lire les documents des actes avant l'audience et l'a accusée d'être «comme des enfants à l'école», contraires à tout et pas du tout intéressés à résoudre l'affaire. L'un des deux témoins, qui aurait dû être entendu aujourd'hui, ne figurait pas dans la cour,tandis que le second, un collègue de Tamer Hasasnah, n'a fait que confirmer les déclarations faites pendant l'enquête. Ces dépositions qui n'ont pas été lues, mais seulement confirmés, en empêchant ainsi au nombre de spectateurs présents dans la salle d' apprendre ce que a été émis par le témoin immédiatement après l'assassinat de Vittorio.
 La défense a demandé le report de l'audience, mais quelqu'un de la famille de l'accusé Jram Khader a demandé que le procès devait être terminé. L'avocat de la défense a déclaré que Khader n'est pas accusé par les actes d'avoir pris part à l'enlèvement ou à l' assassinat de Vittorio, mais, au contraire il fut le premier à parler et à coopérer avec la police. L'accusation a été d'un avis différent: Khader n'aurait pas seulement pris part à l'enlèvement, mais il aurait lui même mentionné le nom de Vittorio au chef des salafistes. Alors que la défense a demandé la libération de Jram, le procureur a déclaré que la pénalité que Khader devra payer sera la réclusion à perpétuité ou la peine de mort.

L'audience a été ajournée au 19 Décembre.

Après plus de six mois depuis le brutal assassinat de Vittorio et après presque trois mois depuis la première audience, le procès aux ravisseurs de Vik est toujours en haute mer. Les temps rapides assurés par le gouvernement du Hamas n'ont pas été respectées et la vérité est encore loin d'être.
Cette séance, comme les deux précédents s'est terminée dans une impasse. Trois des quatre accusés restent en prison après la décision du 3 Octobre dernier de libérer Abu Amer Ghoula, accusé «seulement» d'avoir offert un refuge à deux leaders salafistes Breizat et al-Omari. Les accusés ont admis d'avoir enlevé Vittorio mais ils refusent tous les accusations à l'égard de l'assassinat du jeune activiste italien. Ils indiquent Breizat et al-Omari comme les deux meurtriers. Toutefois, les deux ont été tués lors d'une fusillade avec la police ce 17 avril dernier.

source: Nena News
VITTORIO: SETTIMA UDIENZA, VERITA’ LONTANA

mercredi 23 novembre 2011

Demain le sixième audition procès aux assassins de Vittorio

J'espère que le procès finalement arrive au point crucial et qui soient clarifiés les raisons de l'enlèvement et du meurtre de Vik 



Gaza, 23 novembre 2011, Nena News –


S'ouvre demain à la Cour militaire de la ville de Gaza la sixième audition dans laquelle on verra à la barre quatre Palestiniens accusés d'avoir enlevé et tué en avril dernier, le journaliste italien et activiste Vittorio Arrigoni. Il est à espérer que le débat entre enfin au point crucial. La dernière audience au début de novembre, n'avait fait enregistrer nouveautés importantes et elle a été fermé après 50 minutes. Il est souhaitable que le procureur demandera aux accusés – Tamer Hasasnah ,Mahmoud Salfiti , Khader Jram et Amer Abu Ghoula, ce dernier deja sorti de prison, parce qu'il est accusé d'infractions mineures – pour savoir pourquoi Victor a été enlevé ce 13 avril dernier et pourquoi il a été tué dans la nuit entre le 14 et le 15 avril. Les accusés au cours des enquêtes ont dit qu'ils appartiennent à une cellule salafiste dirigée par le jordanien Abdel Rahman Breizat et par Omari Bilal palestinien Gaza, tous les deux tués dans une fusillade avec la police deux jours après le meurtre de Victor. Sur les raisons de l'enlèvement la famille Arrigoni prévoit que finalement pleine lumière soit faite, en considération de l'engagement réalisée par Vittorio pour protéger les droits des Palestiniens de Gaza, assiégés par les israélien  . 

Nena News

jeudi 20 octobre 2011

Vittorio: Quatrième audience du procès

Aujourd'hui la Court Militaire de Gaza City a mis au jour au 3 Novembre le procès aux responsables de la mort de Vittorio Arrigoni. L'audience concernait principalement  les éléments présentés par le Procureur et retrouvés sur la scène de l'assassinat.

article de 
Marta Fortunato

Bethléem 20 Octobre 2011 Nena News- S'est passé ce matin dans la Court Militaire de al Mashtal à Gaza City la quatrième audience du procès pour l' enlèvement et l'assassinat de Vittorio Arrigoni. Établie au début le dernier 17 Octobre, l'audience a été ajournée selon la demande du procureur militaire a présentés aujourd'hui dans la salle d'audience des nouveaux éléments qui ont été trouvés sur les lieux du crime devant la maison des accusés: un téléphone mobile Jawwal contenant la reprise de l'enlèvement de Vittorio, qui a été utilisé pour demander le rachat, et un ordinateur avec un hard disk externe dans lequel ont été trouvés nombreuses photos de l'assassinat de Vittorio, qui a eu lieu le 15 avril dernier. Un rapide audition, 20 minutes seulement, qui sera mis à jour le 3 Novembre prochain. Tous les objets trouvés et considérée comme preuves par le Procureur Tamer Hasasnah appartiennent à l'un des quatre jeunes Palestiniens, membres d'une présumée cellule salafiste de Gaza, accusés du meurtre de l'activiste italien. Tamer a reconnu que les objets trouvés sont de sa propriété, mais il a dit de ne pas êtrel'auteur de la vidéo et les photos qu'ils contiennent. Avec lui, sont accusés dans l' assassinat de Vittorio Mahmoud Salfiti, Khader Jram et Amer Abou Ghoula. Selon l'accusation, trois d'entre eux avaient prémédité l'assassinat avec le leader du groupe, Abdel Rahman Breizat, tandis que selon la version de la défense, ils n'étaient pas au courant des véritables intentions de leur chef. En outre des objects électroniques, le Procureur a présenté comme des éléments contre les accusés la découverte de deux motocyclettes, utilisés pour l' assassinat de l'activiste italienne: l'une a été utilisée par Hasasnah mais est appartenant à Mahmoud Salafiti, tandis que La deuxième est détenue par un des deux leaders du groupe salafiste qui ont été tués après l'enlèvement de Vittorio dans un conflit avec les forces de sécurité du Hamas. L'avocat de la défense s'est opposé à la preuve présentée par le Procureur en déclarant qu'il ne le savait pas et n'avait pas reçu ce matériel documentaire et a contesté l'endroit et le moment de la découverte de ces objets. Toutefois, la Cour n'a pas accepté de l'opposition de la défense et a pris aux actes ce que a été présenté par le Procureur. La troisième audience, du 3 Octobre dernièr, avait fermé avec la décision de libérer Abu Amer Ghoula, accusé «seulement» d'avoir offert un refuge à deux leaders salafistes, et al-Omari Breizat, qui ont été tués dans la nuit du 15 avril. Amer, bien que libre, est encore chargé d'avoir assassiné l'activiste militant italien qui tous les jours, à travers des journaux et des sites internet, racontait la souffrance de la population de Gaza et qui accompagnait les agriculteurs et les bergers palestiniens menacés par le feu de l'armée israélienne. 

Source : Nena News