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jeudi 12 avril 2012

Procès Arrigoni: Maintenant les accusés rétractent


C 'est une claire tentative  de charger tous les responsabilités   sur les deux autres membres du (présumé) groupe salafiste», qui a enlevé Vittorio, et qu'ils ont étés tués dans une fusillade avec la police et qui donc ne peuvent pas raconter leur version des événements.

Gaza 12 Avril 2012, Nena News

Trois des quatre Palestiniens accusés d'enlèvement et de l'assassinat des Vittorio Arrigoni, qui a eu lieu le 15 Avril de l'an dernier dans la ville de Gaza, ont largement rétracté les aveux qu'ils ont faits au cours des interrogatoires qui ont suivi leurs 'arrestations par la police du Hamas.

Lors de la séance qui a eu lieu ce matin devant le tribunal militaire de Gaza dans une salle pleine des amis et des connaissances de Vittorio, Mahmoud Salfiti, Tamer Hasasnah et  Jram Khader, ont déclaré qu'ils avaient avoué «sous pression» leur participation à la l'enlèvement. Jusqu'à maintenant, ils avaient dit qu'il avaient disposé l'enlèvement dans le but d'obtenir la libération du cheikh al Maqdissi, le chef du groupe salafiste Tawhid wal Jihad arrêté quelques mois avant par le Hamas. Pour la plupart ils ont nié qu'ils étaient au courant du plan de tuer le militant italien qu'ils disent, avait été secrètement mis au point par les deux «leaders» du groupe, le Jordanien   Abdel Rahman Breizat et par  Bilal Omari, les quels ont été tués peu de temps après 'l'assassinat de Vittorio dans une fusillade avec la police.

Les trois, presque à l'unisson, ils ont dit que leur seul but était de "donner une leçon à l'italien," qui, selon eux menait une vie  inadaptée aux traditions et aux sentiments religieux qui prévalent dans la bande de Gaza.

C'est une tentative évidente mené par les avocats de la défense pour décharger toute responsabilité pour l'assassinat de Vittorio Arrigoni sur  Breizat   et Omari qui ne peuvent pas donner leur version des événements. 

source : Nena News

samedi 17 mars 2012

VITTORIO ARRIGONI, VICTIME OUBLIÉE D'UNE FARCE DE PROCÈS



La maman du Pacifiste italien : "à Gaza seulement des retards et des déceptions seulement et aucune aide du gouvernement italien ». 
Pendant six mois et après une douzaine des audiences, le débat s'est empêtré dans des procédures du tribunal militaire du Hamas 


GAZA —C'est inutile de frapper. Personne ne vous ouvre pas.
Ce jeudi à 10b heures, dans la ville de Gaza, la Cour est fermée, la petite porte verte interdite. Mais ne devait on pas assister à l'audience du procès Arrigoni ?


«  C'est Retourné ».








Une fois ici, il y avait l'asile des Arafat. Aujourd'hui, qui au contraire ce lieu hôte la justice du Hamas, dans le Hall d'entrée, dans une entrée humide  il y a un huissier en pantoufles avec des réponses à la main écrites sur une feuille de papier:


« Rien, aucun procès ! Raisons de sécurité ! N'avez vous pas vu qu'ils sont les bombardements israéliens ? ».


Mais s'ils se sont arrêté depuis trois jours...


« Non, c'est trop dangereux. Pour la sécurité des juges, des accusés et aussi la vôtre. Donc c'est juste un retour ».


Il sera pour quand alors ?


« Je ne sais pas. »


La déception est commune à peu de gens. Quelques amis, quelques journalistes, sans surprise. Il se passe de cette façon depuis des mois : un document de la procure pas traduit, un papier sans timbre, un témoin a été absent (pas) justifiée, le procureur qui s'les est oublié à la maison questions à faire, les avocats qui ne peuvent être  à côté de la cage...


« Chaque fois ils inventent quelque excuse », sourit Nathan Stuckey, 34 ans, qui était un broker à Chicago et vit maintenant comme coopérant du Ism, le mouvement de solidarité International:
« Nous pensons que les véritables tribunaux sont autre chose que ça. Et que l'attention du monde, ici, ce n'est pas comparable au procès de O.J. Simpson en ce cas...».


Tous debout, la Cour entre. Au contraire non pas du tout. Entre un mois, il sera le premier anniversaire de la mort de Vittorio « Vik » Arrigoni, le pacifiste qui a vécu à Gaza et en l'espace d'une demi-journée il a été enlevé, battu,filmé et étranglé immédiatement avec du fil de fer par un groupe de fanatiques salafistes.


Depuis six mois et une douzaine des audiences, le procès aux quatre accusés s'empêtre dans des procédures du tribunal militaire du Hamas, dans un silence presque total des médias, dans l'indifférence générale de l'opinion publique.


Les tueurs ont avoué tous.


Et si à Gaza il faut habituellement juste un demi-heure de procès pour infliger une pendaison, dans ce cas on dilate le temps depuis longtemps et sans des raisons évidentes.


« En théorie, au moins deux des quatre accusés risque la pendaison —nous anticipe le procureur-général, Ahmad à Allam,au  béret vert et au Coran  sur la table — Mais il y a un mois qui nous est arrive une lettre de la mère d'Arrigoni. Ou elle nous apprend qu'elle s'oppose à la peine de mort : et on doit en prendre compte ».


Jeunes, à la longue barbe, chaque fois qu'ils viennent ici les accusés ils récitent la part des killer star.


« Tout est déjà décidé, à la première audition, je les ai vu rire et j'ai eu un attaque de nausée  » , Il nous dit Riziq Ebaa un mec palestinien qui a le nom de Vik tatoué sur le bras.


« les défendeurs et leurs familles ont une façon de se montrer à nous très hostile — dit Rosa Schiano, 29 ans, napolitaine —  une fille bénévole du Ism. —   La chose étonnante c'est que dans la salle du tribunal ils peuvent prendre la parole, bavarder, se transmettre des messages, la dernière fois qu'il s'est passé, je me suis levé debout et j'ai protesté.»


Quand Victor a été tué par des Palestiniens, lui qui à Gaza, il était venu pour aider les Palestiniens, lui qui a toujours contesté comme injuste à Israël le droit de sceller un million et demi d'habitants, son cercueil ne fut pas rapatrié en passant de Tel-Aviv. Le Hamas n'est pas entrain de le remercier d'une telle amitié en se portant dans une façon respectueuse.


L'enquête est résumée dans les deux petites pages de mise au jour :
On sait bien qui a été le coupable ; Il n'est pas connu si, quand et à combien de temps de prison les coupables pourront  être condamnés. La dernière personne qui a vu Arrigoni vivant, Salman Hat, le gardien de la maison où il vivait, il n'a pas encore été entendu par la court. Deux des accusés étaient du Hamas : Ils n'ont pas encore expliqué qui les a envoyé , ni pourquoi ils ont choisi juste Vittorio.


Les juges  mêmes , qui portent des longue barbe égales  à ceux des accusés, ils ne cherchent pas du tout de demander quelque chose de plus que des information générales seulement. Mêmes le chef de la bande, Abdel Rahman Breizat, le mystérieux jordanien qui est entré dans la bande de Gaza deux semaines avant le crime : on a dit soudainement qu'il aurait voulu permuter l'otage Arrigoni avec le Cheikh Salafi  Al Maqdisi, son guide spirituel, détenu à Gaza. Mais personne ne pourra jamais arriver à une certitude à ce sujet : Car ce Jordanien, avec une autre personne du groupe,il  a été tuée immédiatement par la police.


« J'ai contacté le frère de Breizat à Amman — il nous raconte Khalil Shanin, du Centre palestinien pour les droits de l'homme — et j'ai réalisé que la version du Cheikh ne tient pas l'eau. Le chef de la bande soutenait la résistance palestinienne, et il avait été une année à Londres payé par le (gouvernement) d'Amman. Quoi il avait a partager avec les salafistes? ».


Il y a quelques semaines que l'informateur de la gang, Aamer Abu Ghula, un mec qui en sait beaucoup, il a été inexplicablement mis en liberté et il est disparu.
« Même dans l'Ouest, il existent des procès par défaut — dit nous Allam le procureur avec suffisance  — et cependant nous sommes engagés dans la chasse à lui », comme si c'était compliqué de trouver un fugitif dans une zone fermée de 40 kilomètres : Aamer s'est enfui à travers le tunnel, sans doute, et ils i sont des rumeurs qui disent qu'ils est en Égypte.


Ce procès est une farce très triste.


« J'ai jamais vu une chose tellement approximative », nous dit malheureux Gilberto Pagani, l'avocat de la famille Arrigoni: « J'ai pu assister à une séance seulement. Mais même si je les aurait suivies toutes ... Il en sort rien du tout. Les interrogatoires sont simplement ridicules. Les actes du procès sont évasifs. Les témoins ne sous sont communiquées. Nous nous sommes constitué partie civile, mais nous n'étions pas admis dans la salle d'audience du Tribunal, parce que la Loi militaire ne le permet pas. L'Italie, qui dans ces temps se montre très active dans la protection des "Marò", (les soldats du bataillon de la Marine S.Marco) en Inde, on l'a pas vue une seule fois dans la salle d'audience du Tribunal, ( c'est à dire n'a rien fait pour Vittorio). Le Hamas est considéré comme une organisation terroriste, Rome ne la reconnaît pas comme interlocutrice et pendant ce procès l'Italie n'a pas envoyé, jamais, pas même un seul observateur.


La maman de Vik, Egidia Beretta, maire de Bulciago petit village près de Lecco, ainsi que l'avocat a écrit au Président de la République Napolitano, parement aux anciens ministres des affaires étrangères et de la justice, Frattini et Nitto Palma, en se plaindrant et demandant la raison de cette indifférence.


Mais personne n'a jamais répondu:
« Mes lettres sont tombées dans l'air mince — elle dit — le gouvernement italien n'a rien fait. Par la Farnesina nous n'avons eu plus aucun contact ni aucune nouvelle depuis avril. De toute évidence, l'assassinat d'un bénévole italien est sans une relevante importance et il est d'un valeur même mineur le respect pour sa famille. En décembre, j'ai écrit aussi aux nouveaux ministres, Giulio Terzi et Paola Severino ».


« En février, il m'a répondu enfin le Garde des Sceaux. Pour me dire qu'il avait donné instruction au personnel d'examiner cette question. Et je sais combien il admirait mon opposition à une éventuelle peine de mort. C'est Vittorio qui me l'a appris, " Restons humains" : comme j'aurait pu, sinon, répéter encore cette phrase? »


Le papa d'Arrigoni meurt quelques mois plus tard que Vik et Egidia a douté avec lui jusqu'aux dernier moments, d'une vérité vraiment trop superficielle:


« Au sujet du procès, dans un premier temps j'avais confiance. Maintenant je me sens déçue, je ne peut pas en voir la fin. Ni la réponse à ce que nous voulons vraiment savoir, c'est à dire : Pourquoi ? Vittorio, à cette époque, il était à la veille du retour. Si je ne pleurai pas. j'aurai envie de sourire lorsque j'entends qui aurait été frappé parce qu'il était trop "occidentale": Vittorio il a été un Palestinien parmi les Palestiniens . Comment peut on croire, que volontairement, un jeune Jordanien a pu entrer dans la bande de Gaza par les tunnels et surtout en raison de frapper Vittorio ? Puis-je être sceptique ?».


Maman Beretta peut-être elle ira voir Gaza pour la première fois le 15 avril prochain, pendant l'anniversaire de la mort de Vittorio, lorsque on nommera en souvenir de son fils un nouveau put d'eau destiné à plus des 20.000 familles de réfugiés.
A l'attendre, si il viendra, il sera un vieil homme avec le visage ridé, Farur Gharami, de 64 ans. C'est le père d'un des quatre coupables, Khader, ceci qui a fait le guet:


« Je veux juste dire le merci car elle a demandé de ne les pas condamner à mort. »


Il pleut, dans la cabine gelée du camp de Shaati. Et Farur a dans ses bras une nouveau-née presque nue. Dans l'autre main une torche parce la lumière manque de la bande de Gaza depuis plus d'un mois. Le vieil homme, il pleur:


« Mon fils a été un idiot. Et nous la mort nous l'avons déjà dans nous même à l'intérieur ».


Francesco Battistini
Source: www.corriere.it
VITTORIO ARRIGONI, VITTIMA DIMENTICATA DI UN PROCESSO FARSA
16.03.2012


traduction d'E.Scaglione





En 2007, nous avons essayé en vain d'entrer à Gaza à travers le passage de Erez contrôlé par Israël. À l'époque les factions palestiniennes rivales du Hamas et du Fatah ont été engagées dans une guerre sanglante pour le contrôle de cette minuscule bande de terre. Le Hamas a gagné. Lorsque le gouvernement de l'Egypte post-Moubarak a décidé de commencer à laisser passer un petit nombre de gens à Gaza grâce à leur passage de Rafah, nous avons compris que c'était notre chance pour enfin obtenir un rare aperçu de la crénelée bande de Gaza et de voir comment c'était la vie sous la règle des lois du Hamas. 

CRIME AND PUNISHMENT IN THE GAZA STRIP

lundi 9 janvier 2012

Aucune Vérité pour Vik, Pourtant Pas...

« À chaque séance se répète la pantomime pseudo - garantiste pour laquelle de temps en temps le procureur militaire se digne de fournir des lambeaux de preuves recueillies en avril, les avocats éxigents un report de l'audience pour l'examiner la Cour l'accorde et donc de référence en référence le temps passe dans l'espoir que la situation puisse décanter et que sur la mort de Victor descend la poussière de l'oubli. Des choses incompréhensibles se produisent, surtout si nous considérons que le procès a lieu devant un tribunal militaire, dans une situation de guerre, dans le contexte que nous connaissons : les témoins ne se produisent pas, la Cour le note, et voila une nouvelle référence ».

C'est ça que écrit Gilberto Pagani – pour Il Manifesto  avocat de la famille Arrigoni- à la suite des « premières 10 » séances du procès contre les accusés de l'enlèvement et du meurtre de Vittorio Arrigoni. Il y a quelques jours une nouvelle soi-disant audience a eu lieu dans les tribunaux militaires de la ville de Gaza, qui s durée juste assez longtemps pour désigner le 16 janvier comme date de la prochaine séance.

Lorsque nous savons que Michele Giorgio se prépare à publier la relation d'une autre étape de ce procès, je crois que – comme nous – nombreux des gens se précipiter pour essayer d'acheter un des rares exemplaires du Manifesto au kiosque, dans l'espoir de savoir, enfin, au moins un minimum de vérité. Après on ferme le journal avec un sentiment d'impuissance et de déception. Dans la soirée du 14 avril, la question que nous nous sommes posée est : pourquoi Vittorio a été kidnappé ? C' était le 15 avril  : et pourquoi fut tué avant l'expiration de l'ultimatum ?

C' est impossible de « se contenter » de la version des premières heures : un groupe de soi-disant salafistes qui choisissent un « occidental » pour demander la libération d'un tel Hisham Al-Saidni. C' est impossible, car une vérité n'était pas écrite, et la justice n'a pas été accomplie. Il y n'a eu aucune enquête, il y n'a eu aucun intérêt par les institutions italiennes et, malgré les garanties données par le Hamas, immédiatement après le meurtre, le doute que le gouvernement de Gaza, veuille interdire la clarté devient toujours plus fort.

Aux deux questions d'avril, les points d'interrogation suspendus dans un ciel de colère et de douleur, s'ajoute la chose la plus amère c'est à dire de savoir si on fera jamais justice ou pas à l'homme qui a lutté pour en apporter un peu à cette terre. Une terre violée par l'injustice dans un silence assourdissant. Pourtant, une fois de plus la famille Arrigoni, avec un esprit  rare et admirable, nous montre le chemin, en ravivant une faible lumière de l'espoir que d' instant après instant devient toujours plus faible. Dans une lettre révélée par le PCHR de Gaza, Egidia et Alessandra demandent la vérité et, en tout cas, et que ne s'applique pas aux auteurs  la peine de mort. Car de cette façon aurait voulu Vittorio. Car il s'agit d'un revirement dans l'histoire de ce coin du monde, dont le moteur est trop souvent la soif de vengeance et  la violence qui mène autre violence.

Ilaria Brusadelli
source: http://www.lavocedinomas.org/news/nessuna-verita-per-vik-ancorahttp://www.lavocedinomas.org/news/nessuna-verita-per-vik-ancora

vendredi 6 janvier 2012

VITTORIO,déception pour le développement du procès

La procédure qui avait promis vérité et justice semble s'enliser rapidement. De nouveaux détails émergent par les aveux des accusés Vittorio été traqué pendant deux mois. A le tuer ils ont étés trois personnes.

MICHELE GIORGIO

Gaza, 06 Janvier 2012, Nena News -

Il y a une limite à la compréhension des problèmes et des difficultés que dans la bande de Gaza traverse le système judiciaire. Il est inacceptable ce qui s'est passé hier à la Cour militaire de la Bande, où pendant quatre mois est en cours le procès aux accusés pour l'enlèvement et l'assassinat de Vittorio Arrigoni accomplis à Gaza cet avril dernier par une auto-proclamé cellule salafiste.

Des rumeurs ont annoncé une séance d'une importance particulière. Donc, nous espérions de voir une véritable épreuve et un débat réel, au sujet des raisons pour lesquelles a été commis un enlèvement et un assassinat qui ont généré une grande indignation dans la bande de Gaza et en Italie. Vittorio était un ami des Palestiniens, il avait entrepris de diffuser des informations détaillées sur la situation de Gaza et de chercher de protéger et , avec sa présence dans les zones à risque, les agriculteurs et les pêcheurs (les gents plus touchés par mesures de restriction appliquées aux autorités de Gaza , par l'armée israélienne). Mais les choses d'hier sont allées dans le sens inverse de ce qu'on espérait. La dernière séance a été la plus courte des neuf qui ont eu lieu depuis l'8 Septembre à ce jour et aussi le plus inutile et,à certains égards, aussi la plus paradoxale.
La première surprise est venu par Abu Amr Ghoula un des quatre accusés, en résidence surveillée, car il est accusé des infractions mineures. Abou Ghoula hier il ne s'est fait pas trouver dans la cage des accusés, en violation de l'ordre de comparaître à l'audience. Le tribunal, après avoir enregistrée son absence, il a immédiatement émis un mandat d'arrestation, mais jusqu'à hier soir au sujet de Abou Ghoula on ne savais rien. La deuxième surprise a été la rapidité avec laquelle le même tribunal, après avoir appris que la défense n'avait pas reçu certains documents relatifs aux éléments de preuve produite par le bureau du procureur militaire, a ajourné le procès au 16 Janvier. De quatre à cinq minutes en tout, il est temps de l'audience. Bon tout ça c'est inacceptable.


En Septembre, le procureur avait parlé d'un calendrier serré pour la réalisation du procès en pleine conformité avec, bien sûr, des droits des accusés et de toutes les parties impliquées.Sans parler des assurances données à la famille Arrigoni à l'Italie par Ghazi Hamad, ministre adjoint des Affaires étrangères du gouvernement du Hamas. Mais les mois qui sont déjà passées sont quatre et neuf sont les auditions qui n'ont pas étés suffisantes pour aller à lasubstance d'une un assassinat que le mois d'avril dernier a fait parler de soi le monde entier. Il s'agit d'un affront à notre avis, à la famille Arrigoni qui a également choisi la confidentialité, en évitant de commenter publiquement au sujet de l'enquête et du procès. Sans oublier que Egidia Beretta et Alessandra Arrigoni, la mère et la soeur de Vittorio, le mois dernier,en répondant à un appel lancé par proches des accusés, avaient ouvertement exprimé leuropposition à une possible condamnation à mort (dont on est certains à Gaza).

Egidia Beretta et Alessandra Arrigoni cependant, elles avaient également demandé justice et clarté au sujet d'un crime qui se révèle chaque fois terrible pendant qu'ils ressortent des nouveaux détails par les aveux faits par les accusés (qui maintenant n'affirment plus de les avoir signés sous la pression). Une source journalistique de Gaza a livré au journal Il Manifesto les textes des aveux de deux des accusés, Mahmoud Salfiti et Khader Ijram, qui ajoutent des détails importants à des faits déjà connus. Ijram - pompier à la gare de la défense civile située en face du bâtiment où Victor avait vécu pendant une longue période - a fourni pendant deux mois des informations détaillées à la (présumée) cellule salafiste au sujet des mouvements du militant italien. Aux enquêteurs, il a expliqué candidement que «il n'a pas eu la force de dire non» à son ami, Tamer Hasasnah un des accusés, et selon ce qui est émergé celui qui a été jugé responsable de l'organisation technique de l'enlèvement. Plus important encore sont les aveux de Mahmoud Salfiti. Qui en répondant aux questions de la police après son arrestation, Salfiti a dit que tous les membres de la cellule avaient accepté sans hésitation, la décision prise par le «chef», Le jeune jordanien Abdel Rahman Breizat (qui a été tué avec le palestinien Bilal Omari dans une fusillade avec la police du Hamas), "d' éliminer l'otage" en face au refus par le gouvernement de Gaza de libérer le cheikh salafiste al Maqdissi qu'ils voulaient échanger avec Vittorio. Salfiti a également dit aux enquêteurs qu'ils sont étés trois entre eux à tuerl'italien et pas seulement Breizat comme, cependant, au debut on avait appris . La décision de ne respecter pas l'ultimatum et de tuer l'otage, afin de s'échapper, a été prise par Breizat mais toujours avec le consentement plein et a convaincu des autres membres de la cellule. Reste valide, toutefois l'hypothèse que l Jordanien ait réalisée des instructions d'un diecteur, par l'extérieur décidé de réduire au silence une voix désagréable. 


source: Nena News

Aspettando l'articolo del Manifesto da tradurre...

Sto aspettando l'articolo del Manifesto da tradurre… Senza speranze, nonostante l'annuncio roboante di rivelazioni inedite degli assassini, so dai resoconti di Rosa Schiano e dall'articolo di Nena-News che si è trattata della solita macchietta di cinque minuti di udienza, in cui gli accusati o i testimoni non si presentano in aula, uno dei primi addirittura a piede libero, le carte non ci sono o non vengono consegnate in tempo tecnico alle parti, un colpo di martello sul banco e via… ancora si rimanda a Gaza. Si rimanda non una sentenza, ma si rimanda un udienza processuale, in cui si dovrebbe per ambito specifico, soltanto indagare sui fatti e cercare di motivare attraverso la ricerca di un movente un crimine barbaro, su una delle persone a cui tanti troppi hanno voluto bene, perché con un impegno sociale coraggioso e senza ripensamenti, se lo è davvero meritato. E invece niente, dopo nove mesi ancora niente, un papocchietto in aula dopo l'altro e poi il silenzio. Già il silenzio… Un silenzio che è un cazzotto nello stomaco dopo l'altro per chi lo ha amato, conosciuto, apprezzato e seguito, per chi di Vittorio era un amico, perché anche questo Vik aveva come dote, sapeva dare di se indistintamente a tutti, non solo ai palestinesi. Faceva sentire il suo calore umano a chiunque avesse la fortuna di mettersi in relazione con lui e con il suo cuore generoso. Motivava la gente, il suo esempio e parlo dell'interezza della sua persona, perché includo anche l'ambito della sua capacità di comunicare, dava spunto per un coinvolgimento non solo nel destino di questo popolo martoriato, ma di tutti i popoli o meglio gli esseri umani martoriati e sofferenti del pianeta. Non a caso la gente che componeva la rete dei suoi contatti era stranamente eterogenea in senso di appartenenza ideologica e culturale. E' vero anche che smuoveva critiche rabbiose, ma quelle al contrario del suo pubblico, rivelavano testé la loro connotazione ideologica e dimostravano il disturbo mediatico che una voce così chiara e limpida può dare a chi è deciso a mantenere lo status quo a qualunque costo, profittando dell'ingiustizia più totale. E qui che queste critiche cadevano e che risultavano zoppe, nel non riuscire a nascondere la loro matrice… Ce ne sono state tante, oserei dire troppe ed ignobili, ma non hanno fatto altro che rafforzare l'immagine di questo nocchiero solitario del bene che si scagliava sulla sua barchetta contro titani, senza nessuna paura e con la sola arma della sua coscienza limpida di idealista d'altri tempi. Non so chi ci ha tolto Vittorio, o almeno si, so chi sono gli assassini, ma non so perché e non lo so perché questa corte militare si sta comportando in ambito processuale in maniera ignobile oserei suggerire mafiosa … Così come è mafioso l'atteggiamento del nostro governo, che dovrebbe anche a dispetto delle proprie posizioni politiche a riguardo, prendere provvedimenti ed immediatamente a questo punto per intimare che si faccia chiarezza sulla sua morte e non perché è Vittorio, ma perché Vittorio è un cittadino italiano…  Ma nessuno dice niente, chiede niente neanche a casa nostra, silenzio assoluto, silenzio amaro e silenzio altrettanto criminale di chi ce lo ha tolto, rubandogli la vita. E quindi mafiosi, onerosi e schiavi del sistema siamo anche noi se non cominciamo a parlarne…
Vorrei dire qualcosa di più diretto, ma non lo faccio perché dovrei sparare a zero su tanti dei nostri anche  ed andare nello specifico e non interessandomi affatto una rissa da 4 soldi, come quelle a cui spesso ho assistito, taccio... C'è una rete di complicità in questo silenzio, non solo nazionale, ma internazionale, si ha paura che lo scomodare persone sminuisca la causa, ma è il contrario invece. Chi ci tiene e veramente non può non tuonare contro questo stato di cose, con Vik è morta una speranza dei Palestinesi e cioè quella di avere qualcuno vicino a loro come esseri umani, qualcuno che si preoccupava di portare alla luce le loro istanze, senza per altro avere l'esigenza di mettersi un un etichetta, un marchio di fabbrica che ne definisse l'appartenenza. Vittorio è stato grande soprattutto per questa sua spontaneità che si è tradotta nel suo semplice appello ad un'empatia umana nel rapportarsi al problema Palestina, proprio perché lui questo appello lo faceva, da essere umano puro e semplice . La verità dei sentimenti e degli ideali, sconcerta i potenti, piccoli o grandi del mondo che siano, perché li obbliga a guardarsi dentro ed a misurarsi con piccole persone, di ben più alto livello morale ed il confrontarsi con loro, sparendo come corpuscoli in questo confronto. Ecco perché questo apparato cerca nel rallentare ed ostacolare la ricerca della verità, di arrivare al silenzio, perché Vittorio li fa svanire anche dopo morto, davanti a lui, un puro, chiunque di loro e parlo anche di gente che è  coinvolta nella causa, fa ribrezzo. Scusate lo sfogo ma in questi giorni ricorre la morte di Impastato che è un altro di quei personaggi che per molti versi a Vittorio mi rimanda per una serie infinita di istintive analogie e correlazioni, soprattutto mettendo in relazione gli ambiti in cui si muovevano entrambi, apparati corrotti ed immorali contro cui hanno lottato, con il potere immenso e temibile della parola…

mardi 20 décembre 2011

A.A.A. On cherche Vérité et justice… à l'impasse le procès à Gaza

Après 10 séances on a pas progressé. Il y a seulement une vérité officielle, illogique et boîteux, dont nous ne pouvons contenter, tandis que les points obscurs restent tous irrésolus. Et l'État italien ne fait rien.

GILBERTO PAGANI * 20.12.2011

Le procès Arrigoni à gaza est arrivé à l'impasse. Après 10 séances, ( le procès est entamé en réalité à juillet et il y a été une audience aussi en août même si ça s'est appris récemment) On peut dire que on n'a pas progressé dans la recherche de la vérité. Dans chaque audience La pantomime pseudo-garantiste répétée pour laquelle de temps en temps, le procureur militaire se daigne de fournir éléments de preuve recueillis en avril, les avocats de la défense donc demandent une remise de l'audience pour les pouvoir examiner, le tribunal l'accorde, et donc d'un renvoi à l'autre les temps passe dans l'espoir que le la situation décantes et que sur la mort de Vittorio se pose la poussière de l'oubli. Ils arrivent des choses incompréhensibles, d'autant plus si l'on considère que le procès se déroule devant un tribunal militaire, dans une situation de guerre, dans le contexte que nous connaissons: les témoins n'arrivent pas, la Cour prend note de ça, nouveau renvoi.  Les informations sont identiques à celles q'on se connaissaient déjà, donc on sai bien que deux des assassins sont morts, même si il n'est pas confirmé que l'un (le jordanien présumé directeur l'opération ) s'est suicidé. Il y a beaucoup de points obscurs au sujet de la reconstruction de cette opération policière.Les trois autres auteurs de l'enlèvement et de l'assassinat ont adossées les responsabilités principales aux deux sujets qui ne seront jamais en mesure de fournir leur version des événements. Les déclarations mêmes des accusés , cependant, confirment que deux d'entre eux (en outre des deux victimes) ont matériellement eu concurrence dans le assassinat de Vittorio. 
Les aveux ne sont pas crédibles quand ils essaient de diminuer leur participation directe à l'assassinat, et surtout il n'est pas particulièrement crédible que les accusés ne savent pas ou ne veulent pas expliquer les raisons qui les ont induits à accomplir les crimes qu'ils ont avoué. C'est aussi très curieux que, comme on sait bien, les enquêteurs n'a pas estimé d'approfondir les détails des faits, en se contentant de l'aveu de l'enlèvement et de l'assassinat, sans faire aucun effort pour parvenir à la constatation de la vérité. Il ya une vérité officielle, illogique et boitant, dont on ne peut pas se contenter. Toutes les questions que nous posons sont encore sans réponse, en particulier les deux principaux, c'est à dire pourquoi juste Vittorio a été enlevé et pourquoi il a été tué avant même que l'expiration de l'ultimatum. Les enquêtes, au moins celles "officielles"» ont été fragmentaires, pour utiliser un euphémisme. L'impression nette, c'est que on veut couvrir la complicité des appareils d'Etat (de toute façon en effet trois des accusés sont des militaires), afin que la vérité n'émerge pas. Dans cette situation déprimante, dans laquelle parmi des autres choses, la condition et les possibilités d'action des volontaires internationaux à Gaza sont gravement compromises, brille comme un phare d'espoir à la lettre aux familles des accusés que la famille Arrigoni a rendue publique aujourd'hui parmi le Palestinian Center for Human Rights. Comme on le sait la famille Arrigoni a exprimée clairement sa décision de demander que, s'ils seront condamnés, ne soit pas imposée la peine de mort pour les meurtriers.C'est un geste noble et généreux dans un moment où la haine et la vengeance sont le paradigme des relations sociales et juridiques, pas seulement dans le Proche-Orient, mais aussi chez nous, comme on sait très bien. Je ne sais pas combien d'autres personnes qui ont vu leur fils et frère tué dans une façon si barbare et inhumaine, seraient prêtes à un tel geste. Il ne s'agit pas de pardon, qui ne pourra être pas donné qu'après un repentir sincère pentiment et la pleine révélation de la vérité par les meurtriers. Il s'agit d'un message de vie dans un monde de mort, un cri d'espoir, un cri pour la paix et la fraternité, toutes les choses pour les quelles Vittorio a vécu, parce que on ne peut pas lutter contre la barbarie avec la barbarie et 'la haine avec la haine. La vérité sur la fin de Victor est certainement à Gaza, mais elle ne se trouve pas seulement là. Outre au message de condoléances du président de la République nos institutions n'ont rien fait pour faire la lumière sur l'assassinat de Vittorio, revenant sur une obligation juridique spécifique, même les ministères des Affaires étrangères et de la Justice et bien ils n'ont même pas envisagé de répondre à une invitation formelle à cet égard que j'ai leurs adressée ce Juin dernier. Bien sûr, la situation est compliquée, pas seulement ça, la Palestine n'est pas un Etat reconnu ,mais le Hamas (le parti au pouvoir à Gaza) est considéré comme une organisation terroriste par notre gouvernement, et bien que des autres gouvernements occidentaux ne partagent pas cette position et ont au moins des relations humanitaires avec Gaza. Ceci ne devrait pas être un obstacle qui empêche d'aider à faire la lumière sur l'assassinat d'un de nos compatriotes à l'étranger. Au contraire par contre, il pourrait être une occasion de surmonter ces positions obtuses qui ne sont pas bénéfiques, même à la politique étrangère du gouvernement.Aujourd'hui j'ai encore écrit au Président de la République et aux ministres des Affaires étrangères et de la justice pour les exhorter à faire leur devoir, c'est-à-dire de donner tout le soutien possible à la recherche de la vérité.Je souhaite que notre gouvernement tient à s'assumer se responsabilités et qu'il sorte de la ligne d'apathie et d'indifférence suivie dans le passé, en fournissant à la famille Arrigoni tout le soutien approprié et nécessaire. 

* l'avocat de la famille Arrigoni

mercredi 7 décembre 2011

7 ème audition ce matin pour Vik

7 ème audition ce matin 05/12/2011 pour Vik une grande présence d'amis et de proches des accusés, le procès commence par l'écoute d'un autre témoin, Abdel Razek Abou Harb, 40 ans résidant à Gaza, qui travaille au ministère de l'incendie (où ils travaillent aussi les autres accusés) les avocats de la défense s'opposent. 

L'avocat: nous nous opposons car "ce texte n'est pas écrit dans les procès-verbaux de l'enquête et donc son témoignage n'est pas légal. Nous n'avons pas eu communication de ça rien et alors il dit ce témoin pour nous, il n'est pas "acceptable.

Accusation: Le témoin a déjà publié sa déclaration, et si vous regardez attentivement entre les copies de l'enquête, il y a lu aussi. Pour nous la preuve ça va, nous n'avons pas d'autres questions à poser. La défense au contraire veut toujours allonger le temps donc demande qu'ils soient ajoutés des autres témoins clés, et lui demande de retarder le procès encore.

Juge: Le témoin sera entendu au tribunal et nous refusons la demande de la défense de l'omettre et de reporter la session. Le témoin présent est déjà écrit dans les actes avec sa déposition.

En suite il fait un reproche aux avocats de la défense: 
Juge: Vous ressemblez àdes enfants assis en classe qui n' écoutent pas la leçon, vous ne faite jamais aucune référence à l'enquête de la cause et demandez toujours références sans aucune intervention au sujet des actes d'accusation. Abdel le témoin est entendu 

Juge:. Est ce que tu connais quelqu'un des accusés? Est ce qu'ils y sont tes proches parmi eux? confirme tu ta déposition déja publié?

Abdel: J'ai des relations avec l'un des accusés, je ne connais qu'un seul, je confirme la déposition relâchée sans aucune pression sur moi.

Procureur: Il nous suffit la déposition on a pas d'autre questions. 

Avocat: connaissez vous les accusés? 

Abdel: seulement le 2 eme , Hasasna, je le connais parce qu'il est un co-travailleur.En tant que moi il travaille à Rimal dans les pompiers 

Avocat: Dans ton témoignage, quand on te demandait de quel parti faisait partie cette personne, tu a répondit qu'il était salafiste, pourquoi? l'ai tu connu avant ou après les faits? Abdel: J'ai répondu que j'ai entendu que c'était un salafiste, après les faits. 

Avocat: Avez-vous remarqué quelque chose de bizarredans son comportement avant que les faits? Est ce qu'ils y sont des motifs ou des preuves pour démontrer qu'il avait un rôle dans ce parti? 

Abdel: Je n'ai jamais été un ami de lui, je ne l'ai jamais fréquenté, donc je ne sais pas. 

Avocat: Vous avez dit que vous avez vu la victime souvent accompagnés par des femmes, sais tu s'il avait des relations sexuelles avec eux?

Abdel: Non, je ne sais pas.

Avocat: A tu jamais vu les femmes sortir tard dans la nuit de son domicile?

Abdel: Oui j'ai vu des femmes allant et venant de l'appartement. 

Avocat: A tu quelque chose de plus, quelque chose de bizarre ou qui n'était pas bonne?

Abdel: Non, je n'ai jamais vu rien d'étrange. 

Il est appelé le second témoin, mais Ahmad n'est pas présent, alors la défense a une autre fois demandé de reporter la session. Intervient dans la cour Khader Jreme un proche de l'accusé et demande au juge que soit entendu l'accusé et que sa position soit finalisé, ils y sont 8 mois, qu'il est détenu et la garantie vient à expiration (?) Les autres accusés sortent de la cage,en ne laissant que Khadr Jreme tout seul, le juge décide d'entendre ce qu'il a à dire la défense (l'Avocat Najar) à l'égard de son client.

Avocat: l'accusé est détenu depuis le 16 avril 2011 depuis environ 8 mois. Il a nié son implication dans l'enlèvement et dans l'assassinat, devant cette cour.
Il est actuellement chargé d'une accusation grave sans aucune preuve de son implication dans les événements. En outre les dates du rapport du Procureur général sont fausses entre la premiere et la deuxième interrogation. Nous déduisons qu'il ne fait pas partie de cette charge, il a avoué et a découvert ce qui s'était passé en travaillant avec la sécurité intérieure, il a tout dit et il a aidé la justice à prendre les autres accusés. Ce n'est pas juste qu'il reste en prison et il doit quitter immédiatement car il n'existe aucune preuve contre lui. Conséquent, nous demandons que l'accusé Jreme soit libéré parce que innocent et pas impliqué dans ce procès 

Accusation: L'accusé a été arrêté conformément à la loi 82/2000, car il était considéré comme faisant partie du groupe. Conformément à la loi 204 / 1936 (loi turque), il a agi avec les autres pour l'enlèvement de la victime et il a signalé l'objectif et il a accepté avec d'autres au sujet des modalités et desobjectifs de l'enlèvement. La demande a été que le gouvernement devrait accepter la libération d'un détenu. Pour ces accusations, le Code prévoit la peine de mort par pendaison ou la prison à vie. L'accusé est donc considéré comme dangereux et le ministère publicdemande qu'il ne soit pas libéré sous caution, car il pourrait contaminer les éléments de preuve et ça ne permettrait pas la continuation du procès.

Avocat: Selon l'Accusation tous les éléments de l'acte d'accusation sont dans le fichier que vous avez dans vos mains. En fait, si nous regardons bien les actes, dans les informations il n'est pas indiquée en aucune façon sa participation au meurtre de la victime. 

Juge: Nous rejetons la demande de libération de l'accusé Khader Jreme. Le procès est mis à jour au ce 19 Décembre 2011 prochain.



lundi 5 décembre 2011

VITTORIO: LA SEPTIÈME SÉANCE, LA VÉRITÉ LOINTAINE...

Mis à jour le 19 Décembre l'audience contre les assassins de Vittorio Arrigoni. Rien de pertinent pour établir la vérité. Encore pas de responsables de l'enlèvement et assassinat du jeune activiste italien, tué à Gaza ce 15 Avril dernier 

MARTA FORTUNATO


Beit Sahour (Cisjordanie), 05 Décembre 2011, Nena News - «Dans la maison de Victor ont été beaucoup de femmes?". Avec ces mots, l'avocat de la défense s'est tourné vers le seul témoin entendu aujourd'hui pendant le septième jour du procès aux ravisseurs et assassins de Vittorio Arrigoni. Cette fois encore la session, qui a duré 45 minutes, et s'est concentrée sur des questions secondaires et trompeuses et l'accusation n'a pas encore enquêté sur la véritable raison qui a conduit les quatre accusés - Tamer Hasasnah, Mahmoud Salfiti, Khader Jramet Amer Abou Goula - à enlever et tuer Vittorio Arrigoni ce 15 avril dernier. Le procès a été reporté au 19 Décembre et s'est terminé sans que aucun élément nouveau soit émergé pour établir la vérité. Ce matin, dans le tribunal militaire de la ville de Gaza, l'accuse a continué la présentation des témoins commencé lors de l'audience de 4 Novembre dernièr. La défense s'était initialement opposé à l'écoute des témoignages de ceux qui sont appelés par l'accusation, en disant qu'il n'a été pas écrit dans les actes. Le juge a demandé à la défense de lire les documents des actes avant l'audience et l'a accusée d'être «comme des enfants à l'école», contraires à tout et pas du tout intéressés à résoudre l'affaire. L'un des deux témoins, qui aurait dû être entendu aujourd'hui, ne figurait pas dans la cour,tandis que le second, un collègue de Tamer Hasasnah, n'a fait que confirmer les déclarations faites pendant l'enquête. Ces dépositions qui n'ont pas été lues, mais seulement confirmés, en empêchant ainsi au nombre de spectateurs présents dans la salle d' apprendre ce que a été émis par le témoin immédiatement après l'assassinat de Vittorio.
 La défense a demandé le report de l'audience, mais quelqu'un de la famille de l'accusé Jram Khader a demandé que le procès devait être terminé. L'avocat de la défense a déclaré que Khader n'est pas accusé par les actes d'avoir pris part à l'enlèvement ou à l' assassinat de Vittorio, mais, au contraire il fut le premier à parler et à coopérer avec la police. L'accusation a été d'un avis différent: Khader n'aurait pas seulement pris part à l'enlèvement, mais il aurait lui même mentionné le nom de Vittorio au chef des salafistes. Alors que la défense a demandé la libération de Jram, le procureur a déclaré que la pénalité que Khader devra payer sera la réclusion à perpétuité ou la peine de mort.

L'audience a été ajournée au 19 Décembre.

Après plus de six mois depuis le brutal assassinat de Vittorio et après presque trois mois depuis la première audience, le procès aux ravisseurs de Vik est toujours en haute mer. Les temps rapides assurés par le gouvernement du Hamas n'ont pas été respectées et la vérité est encore loin d'être.
Cette séance, comme les deux précédents s'est terminée dans une impasse. Trois des quatre accusés restent en prison après la décision du 3 Octobre dernier de libérer Abu Amer Ghoula, accusé «seulement» d'avoir offert un refuge à deux leaders salafistes Breizat et al-Omari. Les accusés ont admis d'avoir enlevé Vittorio mais ils refusent tous les accusations à l'égard de l'assassinat du jeune activiste italien. Ils indiquent Breizat et al-Omari comme les deux meurtriers. Toutefois, les deux ont été tués lors d'une fusillade avec la police ce 17 avril dernier.

source: Nena News
VITTORIO: SETTIMA UDIENZA, VERITA’ LONTANA

mercredi 23 novembre 2011

Demain le sixième audition procès aux assassins de Vittorio

J'espère que le procès finalement arrive au point crucial et qui soient clarifiés les raisons de l'enlèvement et du meurtre de Vik 



Gaza, 23 novembre 2011, Nena News –


S'ouvre demain à la Cour militaire de la ville de Gaza la sixième audition dans laquelle on verra à la barre quatre Palestiniens accusés d'avoir enlevé et tué en avril dernier, le journaliste italien et activiste Vittorio Arrigoni. Il est à espérer que le débat entre enfin au point crucial. La dernière audience au début de novembre, n'avait fait enregistrer nouveautés importantes et elle a été fermé après 50 minutes. Il est souhaitable que le procureur demandera aux accusés – Tamer Hasasnah ,Mahmoud Salfiti , Khader Jram et Amer Abu Ghoula, ce dernier deja sorti de prison, parce qu'il est accusé d'infractions mineures – pour savoir pourquoi Victor a été enlevé ce 13 avril dernier et pourquoi il a été tué dans la nuit entre le 14 et le 15 avril. Les accusés au cours des enquêtes ont dit qu'ils appartiennent à une cellule salafiste dirigée par le jordanien Abdel Rahman Breizat et par Omari Bilal palestinien Gaza, tous les deux tués dans une fusillade avec la police deux jours après le meurtre de Victor. Sur les raisons de l'enlèvement la famille Arrigoni prévoit que finalement pleine lumière soit faite, en considération de l'engagement réalisée par Vittorio pour protéger les droits des Palestiniens de Gaza, assiégés par les israélien  . 

Nena News

vendredi 21 octobre 2011

Vittorio Audience Flash, Vérité encore très loin...

À l'ouverture du procès le Procureur militaire avait garantis des temps très rapides. Mais après quatre audiences le débat s'est arrêtée aux retroussements de la scène du crime. Personne n'a pas demandé aux accusés pourquoi  Vittorio a été kidnappé et plus tard tué.

MICHELE GIORGIO
Rome 21 Octobre 2011, Nena News

20 minutes. Seulement 20 minutes est durée hier, devant à la Court militaire de Gaza City, la quatrième audience du procès contre les responsables de l'enlèvement et de l'assassinat de Vittorio Arrigoni. Peut des répliques et le juge ha établi la cinquième audience au 3 de novembre. S'évanouissent donc les rassurantes données au début de Septembre par les chef de la Procure sur des temps rapides de la justice militaire. Jusqu'à aujourd'hui on n'a pas encore écouté par la voix des quatre accusés– Tamer Hasasnah, Mahmud Salfiti, Khader Jram e Amer Abu Ghoula – les raisons pour les quelles ils projetaient l'enlèvement, avec le Jordanien Abdel Rahman Breizat et avec Bilal Omari (les deux tués par la police) et pour la quelle raison ils décidèrent dans la nuit entre le 14 et 15 avril de tuer Vittorio. Le mois dernier l'avocat Khader Jram a rapporté les explications données par son assisté pendant les interrogatoires, en disant qu'elles étaient dues à un "manqué respect de la moralité et des coutumes locales". Mais ces ne sont pas convaincants et à la distance de six mois tout le monde, à commencer par la famille Arrigoni, s'attendent de connaître la vérité sur le meurtre de Vittorio, activiste engagé à soutenir les droits de Gaza et de tous les Palestiniens. Hier en salle il y avait encore Meri Calvelli l'activiste italienne qui est en train de suivre le procès depuis la première audience. Meri Calvelli a rapporté à "Il Manifesto" que le Procureur a présenté en salle un téléphone mobile contenant les images de Vittorio tenu en otage , ( répandues par les kidnappeurs sur youtube ) et un ordinateur avec un hard disk extérieur dans le quel elles ont étés retrouvés. Le téléphone et l'ordinateurs appartiennent à Tamer Hasasnah qu'il les a reconnus comme propres mais il a dit de ne pas être l'auteur de la vidéo et des photos. La cour a acquis aux actes tout ce qu'a été produit par le  public ministère malgré les objections de la défense. Et elle a ensuite ajourné le procès.

cet article et' état publié le 21 octobre 2011 du quotidien IL MANIFESTO

jeudi 20 octobre 2011

Vittorio: Quatrième audience du procès

Aujourd'hui la Court Militaire de Gaza City a mis au jour au 3 Novembre le procès aux responsables de la mort de Vittorio Arrigoni. L'audience concernait principalement  les éléments présentés par le Procureur et retrouvés sur la scène de l'assassinat.

article de 
Marta Fortunato

Bethléem 20 Octobre 2011 Nena News- S'est passé ce matin dans la Court Militaire de al Mashtal à Gaza City la quatrième audience du procès pour l' enlèvement et l'assassinat de Vittorio Arrigoni. Établie au début le dernier 17 Octobre, l'audience a été ajournée selon la demande du procureur militaire a présentés aujourd'hui dans la salle d'audience des nouveaux éléments qui ont été trouvés sur les lieux du crime devant la maison des accusés: un téléphone mobile Jawwal contenant la reprise de l'enlèvement de Vittorio, qui a été utilisé pour demander le rachat, et un ordinateur avec un hard disk externe dans lequel ont été trouvés nombreuses photos de l'assassinat de Vittorio, qui a eu lieu le 15 avril dernier. Un rapide audition, 20 minutes seulement, qui sera mis à jour le 3 Novembre prochain. Tous les objets trouvés et considérée comme preuves par le Procureur Tamer Hasasnah appartiennent à l'un des quatre jeunes Palestiniens, membres d'une présumée cellule salafiste de Gaza, accusés du meurtre de l'activiste italien. Tamer a reconnu que les objets trouvés sont de sa propriété, mais il a dit de ne pas êtrel'auteur de la vidéo et les photos qu'ils contiennent. Avec lui, sont accusés dans l' assassinat de Vittorio Mahmoud Salfiti, Khader Jram et Amer Abou Ghoula. Selon l'accusation, trois d'entre eux avaient prémédité l'assassinat avec le leader du groupe, Abdel Rahman Breizat, tandis que selon la version de la défense, ils n'étaient pas au courant des véritables intentions de leur chef. En outre des objects électroniques, le Procureur a présenté comme des éléments contre les accusés la découverte de deux motocyclettes, utilisés pour l' assassinat de l'activiste italienne: l'une a été utilisée par Hasasnah mais est appartenant à Mahmoud Salafiti, tandis que La deuxième est détenue par un des deux leaders du groupe salafiste qui ont été tués après l'enlèvement de Vittorio dans un conflit avec les forces de sécurité du Hamas. L'avocat de la défense s'est opposé à la preuve présentée par le Procureur en déclarant qu'il ne le savait pas et n'avait pas reçu ce matériel documentaire et a contesté l'endroit et le moment de la découverte de ces objets. Toutefois, la Cour n'a pas accepté de l'opposition de la défense et a pris aux actes ce que a été présenté par le Procureur. La troisième audience, du 3 Octobre dernièr, avait fermé avec la décision de libérer Abu Amer Ghoula, accusé «seulement» d'avoir offert un refuge à deux leaders salafistes, et al-Omari Breizat, qui ont été tués dans la nuit du 15 avril. Amer, bien que libre, est encore chargé d'avoir assassiné l'activiste militant italien qui tous les jours, à travers des journaux et des sites internet, racontait la souffrance de la population de Gaza et qui accompagnait les agriculteurs et les bergers palestiniens menacés par le feu de l'armée israélienne. 

Source : Nena News

samedi 8 octobre 2011

Les adorateurs de la Nation

Rete ECO Les hébreux contre l'occupation

Gilberto Pagani décrit dans une façon très efficace (Il Manifesto du 29 / 9, p. 9), le simulacre du procès aux complices présumés de l'assassinat de Vittorio Arrigoni, en cours au tribunal militaire de Gaza. Un tribunal militaire dans un pays soumis à un régime comme celui du Hamas agit de cette façon. Mais c'est sure que ce qu'on préoccupe c'est que des tels régimes sont au pouvoir dans des nombreux pays, comme Israël de toute façon dans le Moyen-Orient, mais aussi de nombreux pays qui étaient censés comme pays civilisés. En Europe, l'Italie est sans doute le pays où on ira  rapidement perdre l'indépendance de la magistrature, comme dans les régimes dictatoriaux. Les tentatives répétées par le gouvernement Berlusconi d'assiéger système judiciaire, et aussi  d'abolir l'égalité formelle des citoyens devant la loi sont trop connus pour avoir à les énumérer ici. Comme dans une égale façon est très bien connu que la résistance du Parlement est rare et inefficace, et même celle ci du président  de la République. Pourquoi on s'habitue si facilement à la perte des libertés démocratiques que tous les citoyens devraient exiger dans un Etat de droit? Une réponse, simple, seulement dans sa formulation plus générale, et c'est l'acceptation par la presque-totalité des citoyens, des prérogatives de la nation: qui  a, littéralement, le pouvoir de vie et de mort sur ses citoyens, et peut exiger la loyauté totale, jusqu'à devenir des meurtriers des «ennemis» de la patrie, et de donner à elle sa propre vie , même pour des causes abjectes: un exemple? La guerre fasciste. Quiconque refuse de faire ça est un traître. Le phénomène est général, et est renforcé par le fait que, même dans les nations les plus puissantes, le pouvoir réel est désormais entre les mains d'un petit nombre de personnes, les puissants de la finance mondiale, qui ont mis à son service, même des gouvernements de la taille de la Etats-Unis (sans parler de la Grèce et l'Italie par exemple!). Un exemple dramatique des effets tragiques du nationalisme, encore pire quand  c'est fondée sur la religion et la race (je ne veut pas utiliser l'euphémisme «ethniques») est celle ci d'Israël. Les Juifs, dont la culture cosmopolite, a tant contribué à l'Europe  à la culture libérale et socialiste, au contraire en Israël sont devenus les admirateurs les plus fanatiques de la nouvelle idole, la Nation, les plus sanguinaires parmi ces qu'ils l'ont aimée dans l'humanité, à partir de veau d'or et après: il suffit de penser aux 55 millions de personnes qui ont été tués dans la Seconde Guerre mondiale, y compris les 6 millions de juifs tués dans l'Holocauste, et à tous les hommes de ces guerres «petites» et des moins petites qui ont suivi à elle. Aujourd'hui, en Israël, une petite minorité courageuse se rebelle: les Refusenick qui refusent la complicité à un pays qui opprime tout un peuple entier. Mais en général, qui porte un uniforme (intentionnellement ou car il est un mercenaire!) et obéis aveuglément aux supérieurs, en fait, à qui lui paie son salaire, dans des guerres déclarées ou faite sans les déclarer, comme on fait aujourd'hui, en s'évitant ainsi même l'approbation du Parlement, au nom du Peuple souverain.

vendredi 23 septembre 2011

VIK: deux accusés DÉNONCENT aveux extorqués

Tamer Mahmoud Hasasnah et Salfi, deux des quatre accusés de l'enlèvement et assassinat de Vittorio Arrigoni, affirment d'avoir avoué le crime sous la pression de la police de Gaza. Il pourrait juste être une stratégie de défense adoptée par les avocats des accusés.

de Michele Giorgio


Gaza, 23 septembre 2011, Nena - News. Hier dans la salle d'audience du tribunal militaire il était de Gaza City, en tant qu'observateur, Gilberto Pagani, avocat de la famille Arrigoni qui est arrivé mercredi soir dans la bande de Gaza.
 L'avocat, assis aux côtés de collègues du Centre palestinien pour les droits de l'homme (représentant la famille de Vittorio à Gaza), a pu assister à une audience, qui a marquédeux des quatre accusés dans l'enlèvement et l'assassinat du militant italien, en dénonçant qu' ils avaient avoué le crime sous des fortes pressions des enquêteurs et d'avoir subis des mauvais traitements. Ils ne pouvaient pas être présents au contraire les deux militants de laFlotille de la Liberté italienne, Germano Monti et Giuseppe Marella, qui étaient encore en attente depuis plusieurs heures au passage de Rafah. Les deux ont après fait savoir que les autorités frontalières palestiniennes et le Hamas, n'ont pas consideré documentation suffisante ce qui a été présenté au terminal de la frontière et, par conséquent, ils n'ont pas autorisé leur entrée dans la bande de Gaza.
En toute probabilité, ils retourneront immédiatement en l'Italie. Hier a été minime, la présence de journalistes dans la salle d'audience. D'ailleurs, cette dernière audiencecomme celle la du 8 Septembre (qui a ouvert le processus) n'ont pas trouvé place significative dans les chroniques de la presse locale. Au procès, cependant, ont étés témoins une vingtaine d'amis de Vittorio, palestiniens et italiens.
L'audience a débuté hier avec le témoignage de Youssef Abdel Ali, un agent des services de sécurité responsables de la verbalisation des interrogatoires. Abdel Ali a déclaré que les accusés ont signé sans aucune contrainte. Mais tandis que deux des accusés, Amer AbouKhader et Jram Ghoul, ont confirmé ce qu'ils avaient avoué pendant l'enquête, les autres deux , Tamer Mahmoud et Hasasnah Salfi, prétendent d'avoir subi "une forte pression" les jours suivants à leur arrestation. Les deux ont dit qu'ils avaient signé des aveux "en boîte", mais qu'ils les avaient signés dans un climat d'intimidation très fort des enquêteurs.
 Version qu'ils ont répété après le visionnement du film de leurs confessions, que le bureau du procureur militaire a mis à la disposition des juges. Le juge qui préside, à ce stade, a donc fait faire retour en salle d'audience l'agent Abdel Ali Youssef qui a insisté de ne pas avoir vu aucun acte d'intimidation contre les deux suspects et a seulement dit que, avant la signature ils avaient été maintenus dans des menottes et avec les yeux bandés.
La défense a ensuite souligné au tribunal un écart entre procès-verbal de l'interrogatoire etla déclaration faite par les accusés dans la vidéo tournée par les enquêteurs. Le Président a donc demandé au bureau du procureur militaire d'expliquer ce qui s'était passé et a appeléle médecin Alaa Khalil Astal à témoigner ce qui a effectué l'autopsie sur le cadavre de Vittorio. Mais l'homme n'était pas dans la salle. La procédure à ce point a été renvoyée au 3 d'Octobre.


Declaration de deux activistes de la Flottilla Italia en FB:

Pino Marella

IL PROCESSO AI PRESUNTI ASSASSINI DI VITTORIO ARRIGONI e' stato rinviato al 3 ottobre gli imputati hanno affermato che le confessioni gli sono state estorte e dunque li dovranno reinterrogare dunque il processo si allunga,la piccola delegazione italiana domani rientra in italia,ricordo che solo l'avvocato della famiglia ARRIGONI HA AVUTO IL PERMESSO DI ENTRARE A GAZA metre io ed un altro compagno siamo rimasti bloccati al valico di Rafah abbiamo tentato in tutti i modi di passare ma non ci siamo riusciti comunque ebbene chiarire che il valico di Rafah e' chiuso e gli egiziani fanno il bello e cattivo tempo e gli ingressi si fanno con il contagocce appena in italia ve la racconto tutta in questo momento ho una connessione di fortuna da Rafah pino marella per un errore di battitura ieri avevo avevo comunicato la data del 4 ottobre per il processo invece e' il 3 e me ne scuso



Par LA FAMILLE DE VIK



Les parents et la sœur de Vittorio vous veulent dire que l'urne avec les cendres de notre, votre aimé VIK ont été enterrés aujourd'hui, le 23.09.2011, dans le cimetière de Bulciago (Lc)

I GENITORI E LA SORELLA DI VITTORIO vi vogliono dire che l'urna con le ceneri del nostro, vostro amato VIK sono state sepolte oggi, 23.09.2011, nel cimitero di Bulciago (Lc)

VITTORIO'S PARENTS AND HIS SISTER  would like say to you that the urn with the ashes of our, your loved VIK were buried today, 23.09.2011, in the cemetery of Bulciago (Lc)

jeudi 22 septembre 2011

Les suspects de l'assassinat de Arrigoni font une réclamation d'aveux forcés

GAZA (AFP) - Un tribunal militaire de Gaza jeudi joué les confessions allégués de quatre hommes accusés en avril d'enlever et assassiner l'italien Vittorio Arrigoni militant de la paix. Parmi les quatre hommes, tous en provenance de Gaza, deux sont accusés d'assassinat, un tiers d'avoir aidé à l'enlèvement et le meurtre, et un quatrième d'avoir fourni la maison où le corps de Arrigoni a été retrouvé pendu, quelques heures après qu'il a été arraché. Les accusés ont comparu au tribunal de la ville de Gaza sans manettes et en civil. Ils semblaient calmes et ils ont répondu aux questions de trois juges de la Cour.

L'accusation a présenté quatre CD contenant les prétendument filmées  des confessions de chacun des défendeurs. Les juges ont appelés chacun des accusés au banc pour observer une partie de leurs prétendus confessions qui ont étés joué sur un ordinateur portable, qui n'était pas visible au public du tribunal. "Est-ce que c'est votre confession?" l'un des juges a demandé à Tamer al-Husasna, 25 ans, qui est chargé d'assassinat.

«Oui, mais elle a été prise de moi par la force,» répondit-il, en alléguant qu'il avait été torturé par les forces du Hamas de la sécurité intérieure. Les trois autres accusés ont également affirmé que leurs aveux ont été extorqués par la torture, même si ils n'ont donné aucun détail de leurs mauvais traitements. Un avocat en observant le procès au nom d'un groupe de droits de l'homme de Gaza a déclaré sous couvert d'anonymat que le procès avait été ajourné au 3 octobre, lorsque la poursuite a été prévu de présenter des témoignages supplémentaires.

Les trois autres accusés dans le cas sont , Mahmoud al-Salfiti de 23 ans, qui est chargé d'assassinat, Khadr Faruk Jerim, 25 ans, qui est accusé d'avoir aidé dans l' enlèvement et assassinat, et Amer Abou Ghola, également de 25 ans, qui aurait fourni la maison dans laquelle l'enlèvement a eu lieu et Arrigoni a été tué plus tard. Arrigoni, un membre de longue date du mouvement pro-palestinien de solidarité internationale, a été enlevé le 14 avril. Peu de temps après sa disparition, un groupe salafiste inconnu a publié une vidéo sur YouTube montrant un Arrigoni meurtri et ensanglanté et en menaçant de le tuer dans  30 heures si le Hamas n'aurait échoué à libérer un groupe de prisonniers jihadistes. Les forces de sécurité ont trouvé le corps de Arrigoni peu de temps après, en avance sur la date limite, dans une maison abandonnée dans le nord de Gaza.

Parmi ceux qui le groupe a exigé être libéré a été un leader du groupe salutiste  Tawhid wal Jihad (Unité et Guerre Sainte), qui a nié toute implication dans l'incident. Le Hamas rapidement a arrêté plusieurs des suspects dans l'affaire, et une semaine plus tard, a fait une descente dans une maison où trois autres suspects auraient été cachés. Deux ont été tués durant le raid, et un troisième a été placé en détention. La mort de Arrigoni a choqué la communauté locale et les travailleurs humanitaires internationaux et des activistes dans la bande de Gaza, où il avait vécu et travaillé pendant plus de trois ans avant sa mort.